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Ven, Nov

Recrudescence des accidents de la circulation: Qu’est devenue la « Tolérance zéro » de Macky Sall?

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Lorsqu’il était Premier ministre de Wade, le Président Macky Sall avait lancé le concept « Tolérance zéro » pour mettre fin à l’hécatombe des routes qui tuent plus que le « Bon Dieu » – si l’on verse un peu dans le fatalisme des Sénégalais-.

Une formule qui avait suscité en son temps beaucoup de commentaires et de frustrations de la part des éternels laxistes que nous sommes, qui préférons nous morfondre dans le louvoiement et la compromission plutôt que de faire face à la réalité de nos tares en prenant des mesures idoines.

Devenu Chef de l’Etat, Macky Sall a le devoir de revenir sur ce concept qui pourrait sauver bien des vies si l’on sait que les accidents de la circulation sont aujourd’hui la cause première de mortalité au Sénégal. Pas un jour ne passe sans son lot de morts et d’estropiés, tous victimes de la route.

Revue du Code électoral : L’opposition récuse l’arbitre Macky

Evaluant hier sa participation aux travaux de la commission de revue du code électoral, les techniciens du pôle de l’opposition se sont opposés à l’arbitrage du président de la République. Selon eux, la proposition de la majorité «émane de lui».

Le pôle de l’opposition est sur le pied de guerre ! A l’issue de leur participation aux travaux de la commission de revue du Code électoral, les techniciens membres du collectif des partis de l’opposition qui tenaient leur évaluation hier, se sont opposés à l’arbitrage du président de la République sur les deux points d’achoppements, pomme de la discorde entre la majorité et l’opposition. Ces derniers flairent derrière les propositions de la majorité des calculs politiciens émanant de Macky Sall.

Me Sidiki Kaba : «Ce sont les juges qui décideront d’une troisième mise en demeure pour Karim Wade»

Me Sidiki Kaba : «Ce sont les juges qui décideront d’une troisième mise en demeure pour Karim Wade»

iGFM (Dakar) L’hypothèse d’une troisième mise en demeure qui débouchera sur une nouvelle inculpation suivie d’un mandat de dépôt pour Karim Wade n’est pas exclue si l’on en croit nos confrères de l’As. Mais seulement selon le ministre de la justice Me Sidiki Kaba, cela ne dépend pas de  la chancellerie, mais plutôt des juges. Le garde des sceaux a fait cette déclaration dans l’émission  «Point de vue» de ce dimanche. Dans cet entretien avec notre confrère le ministre a abordé également l’affaire Hissène Habré.

• Guerre des tendances, clans, renouvellement des instances l’apr au bord de l’implosion à Matam

Matam est le seul département à n’avoir pas basculé dans le camp de l’alternance, lors de la présidentielle du 19 mars 2000. Erigée en région en 2001, Matam a tourné le dos à Abdoulaye Wade dès le 1er tour de l’élection présidentielle de 2012. Passée du vert socialiste au bleu libéral, la région de Matam arbore fièrement la couleur marron de l’Alliance pour la République (Apr) du Président Macky Sall.  Mieux, il n’y a presque plus d’opposition dans la 11ème région. Pourtant, les Locales de 2014 seront d’un grand enjeu. La guerre des tendances fait rage dans tous les trois départements que sont Matam, Kanel et Ranérou-Ferlo. Les Militants de la première heure de l’Apr sont confrontés au phénomène de la transhumance. Ce qui donne un cocktail explosif dont l’avant-goût a été donné par Farba Ngom, ce week-end.

ME SIDIKI KABA AU DEPUTE FARBA NGOM - «Une immunité n’est pas une impunité»

ME SIDIKI KABA AU DEPUTE FARBA NGOM - «Une immunité n’est pas une impunité»

L'OBS - Le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Me Sidiki Kaba a assuré hier que le député Farba Ngom, flingueur de Matam, qui fait du dilatoire avec le Procureur de la République à Matam, déférera, avec ou contre son gré, à la convocation de Cheikh Diankhoumpa.

Nul n’est au-dessus de la loi. Ce principe de la justice longtemps resté un slogan, Me Sidiki Kaba, ministre de la Justice, veut l’appliquer dans toute sa rigueur. Le ministre procédait hier à la signature de l’avenant contrat de subvention en faveur des Chambres africaines extraordinaires (Cae) avec l’ambassadeur, chef de délégation de l’Union européenne (Ue) au Sénégal, Dominique Dellicour. Et le flingueur de Matam, le député Farba Ngom, par ailleurs griot de Macky Sall, va servir d’exemple. F

GUET-NDAR - Intifada contre l’arraisonnement de leurs pirogues : Les pêcheurs lancent des filets de pierres

 

Les pêcheurs du quartier de Guet-Ndar ont certainement écrit hier l’une des pages les plus sombres de l’histoire de la ville de Saint-Louis. Ils ont transformé une marche pacifique autorisée par le préfet du département en une véritable «intifada», installant ainsi la ville dans le chaos pendant toute une journée.

Jamais de mémoire de Saint-Louisien on a vécu une telle situation dans une ville réputée calme et paisible. Les jeunes pêcheurs de la Langue de barbarie ont installé la peur chez les populations durant toute la journée d’hier en affrontant la police qui était déterminée à les empêcher d’installer le désordre. Tout est parti d’une marche pacifique pour dénoncer l’arraisonnement de leurs pirogues par les gardes côtes mauritaniens organisée par des pêcheurs des quartiers de Goxu Mbadj et de Ndar Toute, autorisée par le préfet du département et qui s’est déroulée dans de bonnes conditions suivant l’itinéraire tracé par les autorités.

Perquistion du domicile de Hissène Habré: Son avocat dénonce une violation des droits de la défense

Hissene Habre 2Les forces de l’ordre ont perquisitionné hier, dans la journée, le domicile de Hissène Habré, à Ouakam, à Dakar. L’avocat de l’ancien homme fort de Ndjamena, Me Elhadji Diouf, empêché par les policiers d’accéder à la villa de son client, y voit une violation du droit de la défense.

La population de Ouakam s’est réveillée hier dans une ambiance inhabituelle. En effet, c’est tôt le matin, rapportent des habitants du quartier, qu’une fourgonnette de la police nationale s’est garée devant la ruelle menant au domicile de Hissène Habré. Des éléments de la police, armés jusqu’aux dents, ont quadrillé toutes la zone. « Ils sont en train de perquisitionner la maison de Hissène Habré», souffle un proche de la famille.

AFFRONTEMENTS ENTRE APERISTES DE MATAM - La police auditionne les responsables, le Procureur reçoit des menaces

AFFRONTEMENTS ENTRE APERISTES DE MATAM - La police auditionne les responsables, le  Procureur reçoit des menaces

L'OBS - Suite à la dernière sortie du Procureur Près le Tribunal régional de Matam, les auditions ont démarré au commissariat de police de la ville. Au moment où les responsables politiques de l'Alliance pour la République commençaient à défiler devant les enquêteurs de la police, le Procureur de Matam déclare faire l'objet de menaces de la part de sa hiérarchie.

Convoqué à 9 heures, le maire de Matam s'est pointé dans les locaux quelques minutes avant l'heure indiquée sur la convocation. Après des minutes passées devant le commissaire Alassane Niane, Mamdou Mory Diaw est ressorti du commissariat pour déclarer : «J'ai été entendu par les enquêteurs qui m'ont posé toutes sortes de questions auxquelles j'ai apporté des réponses. Je pense que je ressors serein et rassuré. Mais je dois préciser aujourd'hui que c'est seulement samedi après-midi que j'ai reçu cette convocation. Donc, c'est bien après la sortie du Procureur que j'ai été convoqué. Ceci dit, je réitère ma volonté de bannir la violence sous toutes ses formes. En tant que responsable, j'appelle tous les frères à baisser la tension et privilégier le dialogue.» 

Il refuse de répondre à une convocation de la police : Farba Ngom risque d’être cueilli

Farba Ngom et le maire de Matam risquent d’être cueillis pour avoir refusé de déférer à la convocation du procureur de Matam. Ce dernier a tenu un point de presse pour annoncer sa détermination à faire respecter la loi.

Ça risque de chauffer pour Farba Ngom et le maire de Matam, Mamadou Mory Diaw, après la violence politique de dimanche dernier à Matam. Les deux responsables du parti au pouvoir ont, en effet, refusé de déférer à la convocation du procureur de la République, Cheikh Diakhoumpa, qui a tenu une conférence de presse à ce sujet. Interrogé par la Rfm, il dit, dans la version wolof : «Des voix se sont élevées pour dire que la justice n’a pas fait son travail dans ces évènements. Nous rappelons simplement que ce n’est pas le cas. 

Sénégal - L’Onu appelle l’Etat à lutter contre l’exploitation des mendiants

MendiciteLe Conseil consultatif national des droits de l’Homme s’est réuni, hier, sous l’égide des Nations unies et de la direction des droits humains du ministère de la Justice. La communauté internationale a appelé le Sénégal à assurer l’éducation des petits mendiants et à fournir des efforts supplémentaires pour  l’accès à une eau potable et l’amélioration du système d’assainissement en milieu rural.

Le Sénégal peut mieux faire. Ainsi pourrait-on  résumer le dernier rapport des Nations unies sur l’éducation au Sénégal, présenté comme un bon élève en raison des efforts considérables fournis dans ce domaine, en dépit de la faible prise en compte des besoins de scolarisation des petits mendiants. 

BLANCHIMENT D’ARGENT - Après leur face à face avec le Doyen des juges d’instruction : Salem Ould Merzoug et Cie placés sous contrôle judiciaire

L’ancien Haut commissaire de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (Omvs) a été libéré puis placé sous contrôle judiciaire dans le cadre d’une affaire de blanchiment présumé d’argent. Salem Ould Merzoug et trois autres mis en cause dont son épouse étaient placés en garde à vue, après avoir été cueillis vendredi dernier suite à un mandat d’amener lancé par le Doyen des juges d’instruction.

Placés en garde à vue depuis vendredi dernier, l’ancien Haut commissaire de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (Omvs), le Mauritanien Salem Ould Merzoug et trois autres mis en cause dont son épouse ont été libérés hier et placés sous contrôle judiciaire par le Doyen des juges d’instruction, Mahawa Sémou Diouf. Ils ont été cueillis vendredi dernier suite à un mandat d’amener lancé par le Doyen des juges d’instruction et avaient bénéficié par la suite d’un retour de Parquet avant qu’ils ne soient présentés hier au magistrat instructeur du premier Cabinet.

Pour l’’ex-commissaire de l’UEMOA, El Hadji Abdou Sakho, le document du PSE est truffé de fautes, de redites et de plagiat

Jamais dans l’histoire de notre pays, un document économique n’a soulevé autant de passion dans le pays et en dehors de ses frontières. La vie publique gagnerait pourtant à s’affranchir de la tyrannie de la politique.

Dans une démocratie de marché, politique et économie se ressemblent parfois et se complètent souvent, sans toutefois se confondre. Celle-là (ne) s’accommode (que) de la clameur publique, alors que celle-ci ne peut éclore, en tant qu’activité ou exercice intellectuel, que dans la sérénité et l’apaisement.

A présent que les esprits sont en passe de s’apaiser, il est temps de revisiter le document du Pse pour s’interroger sur sa valeur intrinsèque. Une lecture rapide et non exhaustive, amènera le citoyen doué de bon sens et d’outils de base pour comprendre les phénomènes économiques, à se poser des questions : qui a rédigé ce «document» ? Qui l’a validé et décidé de sa publication en l’état ? Un décideur peut-il s’en réclamer en l’état ?

Interdiction des "Zikr" au campus, Voici l'intégralité du rapport sur les pollutions sonores au campus socia

Interdiction des "Zikr" au campus, Voici l'intégralité du rapport sur les pollutions sonores au campus social

 iGFM (Dakar) Après la décision prise par le Directeur général du Centre des oeuvres universitaires de Dakar (COUD) d'interdire les "zikr" dans le campus , le reporter d'iGFM s'est rendu à l'université pour y voir plus clair. Il a pu se procurer le rapport du Comité de pilotage des concertations sur les pollutions sonores dans le campus social.



I.            Etat des lieux

 

VIOLENCE - Réunion de réconciliation des tendances de l’Apr : Matam contamine Mbacké

Mbacké aussi a connu la violence ce week-end, après Matam. La réunion  de réconciliation des militants de l’Apr que Moustapha Cissé Lô avait convoquée ce samedi n’a fait qu’attiser le feu entre les différents responsables. El Pistolero, sans pistolet, et ses partisans ont été obligés de quitter la mairie pour se réfugier dans le marché.

Après Matam le 2 mars dernier, la violence à l’Alliance pour la Répu­blique (Apr) s’est invitée samedi dernier à Mbacké. Même s’il n’y a pas eu de pistolet et de coups de feu en l’air. La réunion convoquée par Mousta­pha Cissé Lô en vue de trouver les meilleures formules pour établir une liste pour les élections locales du 29 juin a été émaillée d’incidents.

Gestion des finances publiques : Le Sénégal réitère sa volonté de renforcer la transparence

Le Sénégal a réitéré sa volonté de renforcer la transparence dans la gestion des finances publiques, a souligné le secrétaire général du ministère de l’Economie et des Finances du Sénégal, Ngouda Fall Kane. Il présidait hier l’atelier sur la transparence budgétaire, organisé en partenariat avec le Groupe d’études, de recherche et d’actions de développement (Gerad).
« L’adoption de la loi 2012-22 du 27 décembre 2012 portant  Code de transparence dans la gestion des finances publiques confirme, si besoin en est, la volonté du gouvernement réaffirmée, à travers l’axe 3 du Plan Sénégal émergent, d’asseoir un cadre de bonne gouvernance sans lequel aucune politique publique ne peut être réussie », a déclaré le secrétaire général du ministère de l’Economie et des Finances, Ngouda Fall Kane. Selon lui, en organisant cette rencontre,  en collaboration avec le Groupe d’études de recherche et d’actions de développement (Gerad), l’Usaid et l’International budget partnership (Ibp),  le ministère de l’Economie et de Finance marque sa volonté de renforcer la transparence dans la gestion des affaires publiques. M. Kane a également noté que le ministère accorde  un grand intérêt à l’initiative sur le budget ouvert ou Evaluation du budget ouvert  (Ebo) qui doit  permettre  la production d’un budget citoyen (Bc) et la publication de données budgétaires à l’intention des populations.

MATAM - Coups de feu à l’installation du comité életoral de l’Apr : Farba Ngom, l’autre «El pistolero»

Matam a inauguré hier le paroxysme de la tension des installations des comités électoraux de l’Apr. Et le député Farba Ngom, pris entre jets de pierres et coupe-coupe, a dû sortir son pistolet et dégainer pour disperser les foules.

Jusqu’ici, les renouvellements de l’Alliance pour la République se font sur fond de contestations. Mais hier, à Matam, c’était le feu. 

SUPPOSÉE BROUILLE ENTRE LA PRÉSIDENCE ET LA PRIMATURE Mimi appelle à ne pas se laisser divertir

 

Aminata Touré, le Premier ministre du Sénégal, est formelle. Toute la prétendue brouille existant entre le Président Macky Sall et elle n'est qu'une vue de l'esprit. Au contraire, les relations entre le chef de l'Exécutif et le chef du gouvernement sont au beau fixe. «Le président de la République est mon patron et dans ce cadre, nous avons des relations de travail intenses ». Invitée hier, dimanche de l'émission Grand jury de la Rfm, Aminata Touré a tenu, sur un ton ferme et explicite, à clarifier les choses sur cette polémique sans objet. Elle a invité ses compatriotes à ne pas « se laisser divertir et se focaliser sur l'essentiel » : l'émergence économique du pays dont la stratégie arrêtée, via le Programme Sénégal Emergent, a été plus que « plébiscitée » par la communauté internationale. Le Pm a dit par ailleurs ses « vérités » sur les grandes questions politiques de l'heure : réformes, élections locales de juin, de même l'ambition… présidentielle qui lui est prêtée. 

2 ans dont 3 mois ferme recquis contre l’artiste : Les temps sont durs pour Metzo Djatah

A la barre, le chanteur Metzo Djatah a regretté son geste et présenté ses excuses. Le Parquet a, néanmoins, requis 2 ans de prison dont 3 mois ferme contre l’auteur de Diembéring qui prolonge son séjour carcéral jusqu’au 13 mars.

A la barre, Metzo Djatah, Amed Siboudji Djatah à l’état civil, s’est sans doute rappelé les notes de son dernier album «Les temps sont durs». Avec sa voix cristalline, il chantait «qu’un jour se lève et nos souffrances s’achèvent». Là, il les affronte pour conjurer ce coup du «destin» qui vient de le rattraper. Il avait confondu… argent Faye et agent Ndiaye. Et il s’est retrouvé dans l’œil de la justice qui était appelée, hier, à prononcer à son endroit la sanction à la hauteur de la faute commise. Face au juge, il a perdu son charme et une partie de son identité.

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