Le rapport finale de l'étude commanditée, entre autres, par le ministère de la Femme, de la Famille et de l'Enfance, le Fonds des Nations unies pour la population (Unfpa) et le ministère de la Santé à Dakar et Tamba, zones de fortes pratiques des mutilations génitales féminines montre que, 13% des responsables de la pratique sont des hommes.
13% des initiateurs (de la pratique) des mutilations génitales féminines chez la population locale et migrante à Dakar et Tambacounda sont des hommes. S’ils ne sont pas les commanditaires, ils apparaissent dans d’autres cas comme les exciseurs. C’est ce qui ressort d’un rapport sur la pratique des mutilations génitales féminines dans les deux localités cibles rendu public hier, vendredi 18 juillet, lors de l’atelier de restitution.
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Un Conseil interministériel, consacré à l'évaluation de la phase intermédiaire du programme décennal de lutte contre les inondations s'est tenu hier, jeudi 17 juillet, sous la présidence du Premier ministre, Mahammed Boun Abdallah Dionne. A l'issue de cette rencontre, le gouvernement a annoncé la reprise des travaux de réhabilitation des stations de pompage dans les départements de Pikine et de Guédiawaye, en arrêt depuis quelques jours ,pour des blocages liés aux lenteurs des procédures du Code des marchés publics.
Un écosystème mobile dont l’objectif est d’améliorer la santé et la nutrition des mères et de leurs enfants en Afrique subsaharienne
AMSTERDAM, Pays-Bas, 15 juillet 2014/ -- Gemalto (Euronext NL0000400653 GTO) (http://www.gemalto.com), leader mondial de la sécurité numérique, apporte son soutien à l’initiative panafricaine mHealth (PAMI) de la GSMA(1), un écosystème mobile dont l’objectif est d’améliorer la santé et la nutrition des mères et de leurs enfants en Afrique subsaharienne. Faisant partie des principaux partenaires de cette ambitieuse entreprise, Gemalto met à contribution son expertise en matière de sécurité numérique pour participer à deux programmes mHealth clés : la Stratégie mondiale des Nations Unies « Every Women Every Child » et l’initiative « Global Nutrition for Growth Compact ».
Le personnel de l’hôpital Albert Royer a organisé hier lundi un sit in dans la matinée, in pendant deux heures devant le hall de la structure pour protester contre l’état de la structure. Les travailleurs ont tenu à dénoncer les recrutements massifs d’agents, la chirurgie au ralenti, les ruptures fréquentes de médicaments et de consommables ainsi que la mauvaise gestion qui est à l’origine de tous les dysfonctionnements. C’était pour eux une manière de lancer un cri de détresse face à la situation de Albert Royer. L’hôpital est en train de mourir, disaient-il tout amers.
L’Institut panafricain pour la citoyenneté, les consommateurs et le développement (Cicodev) exhorte l’État de faire une mise à jour de la Couverture maladie universelle (Cmu) pour maximiser son efficacité. C’est ce qui ressort du premier rapport d’observation de la mise en œuvre de la Cmu du mois de mars présenté hier mercredi 16 juillet à la presse.
Le premier rapport d’observation de la mise en œuvre de la Couverture maladie universelle (Cmu) a été présenté hier mercredi 16 juillet à la presse dans un hôtel de la place. Ce rapport du mois de mars 2014 initié par l’Institut panafricain pour la citoyenneté, les consommateurs et le développement (Cicodev) insiste sur le besoin de mettre à jour la carte sanitaire pour les cinq années à venir car, celle qui est en place, est caduque.
Chaque hivernage, la foudre fait des ravages très importants en tuant plusieurs personnes et causant de nombreux dégâts dans plusieurs localités du pays, surtout en Casamance et au Sénégal oriental. Pour se prémunir de ses engins mortels imprévisibles, le ministère de l'Intérieur et de la Sécurité publique mise sur une large campagne d'information et de sensibilisation des populations pour le développement d'une culture de prévention d'accidents liés à la foudre avec des recommandations sur des règles à observer en attendant la couverture du territoire en paratonnerre.
Les produits alimentaires exposés et vendus en public, sans aucune norme de sécurité, interpellent les autorités du pays. Raison pour laquelle, le Comité national du codex alimentarius (Cnca) a été ressuscité avec un plan d’action, produit par rapport aux priorités et aux moyens humains, matériels et financiers disponibles, afin d’assurer la sécurité des produits que nous mangeons au Sénégal.
Les aliments non contrôlés vendus un peu partout dans le pays, surtout dans cette période de ramadan et qui ne répondent ni aux normes d’étiquetage, de préparation, de conservation ont une incidence dévastatrice sur la qualité et la sécurité sanitaire et la nutrition des ménages, car ils se répercutent sur leur santé et leur bien-être ainsi que sur l’accès à une nourriture saine et leur utilisation pour une bonne nutrition.
Le dépistage volontaire pour connaître son statut sérologique reste très problématique au Sénégal. Malgré les moyens mis à disposition pour multiplier les centres de conseil dépistage volontaire un peu partout dans le pays, le rythme de dépistage demeure lent. Dans le cadre de la convention qui nous lie avec le Conseil national de lutte contre le Sida (Cnls), Le Quotidien rappelle le dispositif mis en place depuis 2000 pour encourager le dépistage volontaire.
L’eau potable se fait rare en banlieue. Depuis maintenant quelques semaines, les populations de plusieurs quartiers souffrent le martyr, ne sachant plus où donner de la tête. A défaut d’une eau potable, buvable sans danger, les ménages reçoivent un liquide de piètre qualité, avec tout ce que cela comporte comme danger. En effet, des cas de diarrhée sont enregistrés au quotidien dans des zones comme Wakhinane Nimzatt, plus précisément dans le quartier Mbaye Fall. Le pire dans cette localité, c’est que les populations n’ont plus aucune goutte d’eau, depuis des jours. Les femmes font des kilomètres pour s’approvisionner en eau, dans des conditions très difficiles.
Ils tiennent à observer le jeûne au prix de leur santé. Les diabétiques tiennent à leur foi en mettant même en péril leur équilibre sanitaire extrêmement fragile. Mais, les médecins déconseillent fortement l’observation de la diète à certains diabétiques qui peuvent sombrer dans le coma. La plupart n’en ont cure : ils font passer Dieu avant leur vie malgré les conseils persistants des médecins. Ce qui fait que le taux de fréquentation du centre Marc Sankalé explose en cette période de l’année.
Il est aussi béni que redouté. Le Ramadan, qui emplit les cœurs de biens faits, est une période qui met à nu les fragilités sanitaires des musulmans qui tiennent à accomplir ce pilier de l’Islam. Car, il n’est donné à tous les fidèles de jeûner ses 30 jours. A l’image des diabétiques.
En tournée entre la forêt classée de Mbao et Diamniadio, la Présidente directrice générale du Fonds pour l'environnement mondial (Fem) a fait une appréciation négative de la gestion de la décharge de Mbeubeuss et du littoral à Bargny. Mais Mme Naoko Ishii a également salué le projet du pôle de Diamniadio et les réalisations au niveau de la forêt classée de Mbao.
En visite à Rufisque, la Présidente directrice du Fonds pour l’environnement mondial (Fem) n’a pas manqué de montrer son étonnement pour la décharge de Mbeubeuss et les dégâts causés par la houle sur le littoral, notamment à Bargny.
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Les chauves-souris sont accusées des maux et même de transmettre des maladies mortelles. Elles seraient en effet le réservoir de virus tels qu’ébola, marburg, nipah, rage. Pis, elles sont soupçonnées de contaminer aussi bien les hommes que les animaux. D’après un communiqué, parvenu au Quotidien, le chercheur Mathieu Bourgarel au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad) a remarqué que «les chauves-souris sont en nombre d’espèces, la 2ème famille de mammifères après les rongeurs. On en répertorie en effet plus de 1000 espèces. Seuls mammifères volants, elles peuvent se déplacer rapidement et sur de longues distances».
Les diabétiques de type 1, très dépendants de l’insuline, ne doivent pas jeûner, au risque de faire une hypoglycémie, avec tout ce qu’elle peut engendrer comme conséquences. Tout comme les personnes souffrant d‘hypertension devraient ajuster leur prise de médicaments ou s’abstenir de jeûner, si le médecin le leur conseille. Voilà entre autres conseils distillés hier, par des spécialistes, au cours de Jotaayu Sneips.