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En ce mois béni de Ramadan, un important séminaire sur le changement climatique s’est tenu dans notre pays ; presque au même moment, l’UNESCO abritait une rencontre sur la même problématique ; et il s’agit là, entre autre, d’une campagne de sensibilisation sur la dimension environnementale du développement durable, en prélude au prochain Sommet sur le climat prévu en cette fin d’année à Paris. Mais contrairement à ce qu’ont veut faire croire aux gens, la théorie du ‘’réchauffement climatique’’ qui incrimine la responsabilité de l’homme, par la production exagérée de ‘’gaz à effet de serre’’, est loin de faire l’unanimité ; en effet, elle est décriée par des milliers de scientifiques ; entres autres, d’éminents spécialistes (en climatologie, science environnementale, astrophysique, paléoclimatologie, hydrogéologie, physique, mathématique, météorologie, etc.), exerçant dans les plus grandes universités du monde.
Oui, plus de 31.000 ont signé l’Orégon Petition entre 1999 et 2001 ; et cette liste impressionnante de scientifiques sceptiques sur le ‘’réchauffement climatique ne cesse de s’allonger ; ils sont sceptiques, tant sur la réalité d’un réchauffement climatique exceptionnel, que sur son origine humaine et ses conséquences négatives catastrophiques (1) ; oui, ils réfutent catégoriquement le rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), qui prédit la montée de la température de 2 à 3 degrés centigrades d’ici la fin du siècle, et qui entraînerait des pénuries alimentaires et d’eau, une fonte des glaciers, la montée du niveau de la mer, la multiplication des tempêtes tropicales, une généralisation de vagues de chaleur et d’épisodes de fortes précipitations (2) – bref, une situation pseudo apocalyptique !!!
Et tous les scientifiques opposés à la théorie de l'origine humaine du ‘’réchauffement climatique’’, insistent plutôt sur la dimension naturelle du phénomène et mettent en valeur les phénomènes naturels – essentiellement, l’activité solaire. Et même si certains considèrent que l'homme a une influence sur le climat, ils insistent sur le fait qu'il faut la minorer fortement (4). Et quoiqu’il en soit, l'origine humaine du réchauffement climatique ne peut être qu'une hypothèse et exige un débat scientifique (5).
Ainsi, la problématique du réchauffement climatique qui est loin d’être élucidée est entrain de diviser très profondément la communauté scientifique internationale ; et les divergences inconciliables entre partisans et détracteurs vont inexorablement sonner le glas de la ‘’Science Toute Puissante’’. Et à notre humble avis, cette très grave ‘’crise épistémologique’’ est très certainement liée à la faillite de la démarche scientifique (approche laïque) qui, de plus en plus, sous-estime l’importance du temps philosophique de la recherche, préalable incontournable qui doit convoquer toutes les sciences sociales – et la Religion en est une, non moins importante.
En vérité, selon l’approche laïque ou religieuse, ‘’la responsabilité de l’homme dans le phénomène du changement climatique’’ n’a pas la même signification. Et certes, la perspective religieuse tient compte de tout comportement néfaste pour l’homme et son environnement et le réprouve, mais elle incrimine surtout le comportement moral répréhensible, comme responsable de la plupart de nos maux :
(79) Tout bien qui t'atteint vient d'Allah, et tout mal qui t'atteint vient de toi-même. Et Nous t'avons envoyé aux gens comme Messager. Et Allah suffit comme témoin. (4. Les Femmes : 79 – An-Nisâ’) … (30) Tout malheur qui vous atteint est dû à ce que vos mains ont acquis. Et Il (Dieu) pardonne beaucoup. (31) Vous ne pouvez pas échapper à la puissance d'Allah sur la terre ; et vous n'avez en dehors d'Allah, ni maître ni défenseur. (42. La Consultation : 30 – Ach-Chûrâ’) … (22) Et nul malheur n'atteint la terre ni vos personnes, qui ne soit enregistré dans un Livre avant que Nous ne l'ayons créé … (57. Le Fer : 22 – Al-Hadîd)
Oui, c’est la généralisation de la turpitude (incrédulité, perversions sexuelles, commerce inéquitable, entre autres) qui est plus déterminante dans la genèse des troubles écologiques que la production des ‘’gaz à effet de serre’’.
Au demeurant, nous vivons actuellement une crise morale sans précédent doublée d’une crise rationnelle ; une ère de plus en plus complexe et perplexe que les conceptions philosophiques et scientifiques classiques ne permettent plus de décrypter ; en effet, malgré les avancées de la science dans tous les domaines, de plus en plus de phénomènes nous échappent ; c’est dire que la plupart des observateurs et experts sont dans la tourmente ; et c’est le désenchantement et la désillusion pour tous les positivistes et autres matérialistes qui rêvaient de maîtriser l’univers ; et cela, du fait de leur méconnaissance du « sens du temps », en rapport avec la ‘’fin des temps’’ et l’avènement du ‘’Fils de l’Homme’’ – ou du Mahdi, en d’autres termes [(Luc 12 : 54 - 56) ; (Luc 21 : 9-1O ... 25-28)]. Une perspective confirmée par le Prophète (PSL) et qui sera marquée par d’importantes mutations, et entre autres, des changements du climat (Rapporté par Tabarâni et Thirmidhi).
Oui, la ''fin des temps'' (akhirou zaman) est une époque particulièrement opaque et ténébreuse ; une époque de grande perplexité ; ‘’une époque où il devient évident sur terre que rien ne peut subsister s’il n’a pas été décidé ou exécuté selon la volonté de Dieu’’ - tel que annoncée par le Prophète Esaïe, il y’a des milliers d’années (Isaïe 8 : 9-13). Et dès lors, il est devenu illusoire d’envisager une stratégie cohérente pour faire face à la menace écologique, en dehors de Dieu. Et tout laisse croire que c’est faute d’admettre l’intervention de Dieu dans le changement climatique que certains scientifiques ‘’conspirent’’ pour imposer leur théorie ne se fondant que sur la responsabilité de l’homme par la production exagérée de ‘’gaz à effet de serre’’ et que d’autres (les sceptiques) ne se fondent que sur les ‘’facteurs naturels’’, tel que l’activité solaire ou le magnétisme de la terre (3) (5).
Et de rappeler que dans la perspective islamique, c’est le comportement moral de l’homme qui conditionne tout ; oui, l’homme est responsable de tout malheur qui l’atteint, du fait de ses péchés (42. La Concertation : 28). Et à ce titre, le Coran est très explicite et propose une solution globale pour toutes les problématiques de l’heure ; oui, menace écologique, pauvreté, Sida et Ebola doivent être considérés comme des Signes divins, et donc comme un rappel et un appel des scientifiques à plus de clairvoyance et d’humilité (41. Les Versets détaillés : 53 - Fussilat). Oui, la menace écologique est un signe divin, un avertissement ou un châtiment (‘’peste’’ ou ‘’plaie’’), comme il en fut pour le peuple de Pharaon et toutes les sociétés incrédules ou perverses [(50. Qâf : 12-14) ; (44. La Fumée : 8-11) ; (7. Al-Araf : 130-133 – Al-Arâf)].
Au vu de tout cela, pour un croyant (Musulman, Chrétien ou Juif), c’est évident que c’est la généralisation de la turpitude, en cette ‘’fin des temps’’ (akhirou zamân), qui est plus déterminante dans la genèse des troubles écologiques que la production des ‘’gaz à effet de serre’’. Ainsi, les « gros pollueurs » ne sont pas ceux que l’ont croit ! Oui, ce sont les incrédules et les pervers qui sont véritablement les plus grands pollueurs de l’environnement. Et certes, c’est toujours bon de polluer moins, en diminuant la production des ‘’gaz à effet de serre’’, mais c’est encore beaucoup mieux de rompre avec la turpitude, pour sauver la planète d’une catastrophe écologique imminente.
En vérité, croire au ‘’réchauffement climatique’’ - c’est comme croire à la ‘’théorie de l’évolution’’ (Darwinisme) – Une pseudo science, voire ‘’une nouvelle religion’’ !!! Et y croire, c’est implicitement renier le Coran et tous les autres ‘’Textes Sacrés’’ (Thora et Evangile) qui sont tous ‘’guide et lumière’’ (5. La Table Servie : 44-50 – Al-Ma’idah) – Une incrédulité sournoise !!!
Au demeurant, le véritable remède de la crise écologique passe la ‘’domestication’’ des vents ; oui, ils jouent un rôle vital dans notre existence : entre autres, la formation de la pluie (fragmentation des nuages), la fécondation des plantes (pollinisation des fleurs) et le mûrissement des plantes [(30. Les Romains : 48 – Ar-Rûm) ; (16. Les Abeilles : 68-69 – An-Nahl) ; (15. Al-Hijr : 23 – Al-Hijr) ; (30. Les Romains : 51 – Ar-Rûm)] ; en effet, dans plusieurs sourates, Dieu nous rappelle le rôle central qu’ils jouent dans la problématique environnementale ; oui, les vents conditionnent véritablement la pluviométrie, voire toute la météorologie et la climatologie. Et certes, ils constituent une immense miséricorde pour les croyants (pluies bienfaisante) ; mais pour les incrédules, ils demeurent redoutables, comme en témoigne la recrudescence des tempêtes, cyclones, typhons, ouragans, etc.), presque toujours le fait de la généralisation d’une turpitude [(77. Les Envoyés : 1-3 – Al-Mursalâte) ; (7. Al-Araf : 54 – 58 – Al-Arâf)]. Ainsi, pour un croyant (musulman, chrétien ou juif), la crise écologique qui frappe le monde n’est rien d’autre qu’un avertissement ou un châtiment divin, comme ce fut le cas pour tous les peuples incrédules ou pervers, à titre d’appel à la clairvoyance et de rappel [(50. Qâf : 7-15 - Qâf) ; (41. Les Versets détaillés : 15-16 – Fussilat) ; (69. Al-Hâqqah : 6-7)]. Et le remède est pratiquement le même pour toutes les crises (écologique, économique et financière, énergétique, sanitaire, politique, etc.) : c’est le retour à Dieu - et donc le repentir (71. Noé : 10-14 – Nûh). En vérité, si les hommes avaient la foi, ils pourraient, de par leur comportement moral (repentir essentiellement), moduler les vents, les domestiquer et conditionner la pluviométrie - et donc le climat ; oui, si les hommes s’amendent, Dieu sursoit au châtiment dont ils sont menacés et fait ‘’pleuvoir’’ ses bénédictions [(10. Jonas : 98 – Yûnus) ; (5. La Table Servie : 65-66 – Al-Mâ’idah) ; (41. Les Versets détaillés : 53 – Fussilat)]. Et voilà donc en toute clarté, un rappel éternel - la seule alternative crédible pour rompre le cycle infernal des cyclones, ouragan, inondations et autres calamités naturelles attribués à tort à un hypothétique réchauffement climatique !!!
Et pour conclure de méditer sur cette importante référence coranique :
(1) Tout ce qui est dans les cieux et la terre (y compris tout notre environnement) glorifie Allah. Et c'est Lui le Puissant, le Sage. (2) A Lui appartient la souveraineté des cieux et de la terre. Il fait vivre et il fait mourir, et Il est Omnipotent. (3) C'est Lui le Premier et le Dernier, l'Apparent et le Caché et Il est Omniscient. (4) C'est Lui qui a créé les cieux et la terre en six jours puis Il S'est établi sur le Trône ; Il sait ce qui pénètre dans la terre et ce qui en sort, et ce qui descend du ciel et ce qui y monte, et Il est avec vous où que vous soyez. Et Allah observe parfaitement ce que vous faites. (5) A Lui appartient la souveraineté des cieux et de la terre. Et à Allah tout est ramené. … (17) Sachez qu'Allah redonne la vie à la terre une fois morte. Certes, Nous vous avons exposé les preuves clairement afin que vous raisonniez. (57. Le Fer : 1-5 … 17 – Al-Hadîd)
https://docs.google.com/
DOCTEUR MOUHAMADOU BAMBA NDIAYE
Ancien Interne des Hôpitaux de Dakar
Pédiatre à Thiès
Recteur de l’Université Virtuelle « la Sagesse » de la Fondation Serigne Babacar SY Ihsaan-Bienfaisance (Thiès).
Rétro confirmateur (Consolateur) du Mahdi, Son Éminence Serigne El Hadj Madior CISSE, fils spirituel de Serigne Babacar SY, khalife de Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif - le ''Sceau des Saints'' et ''Christ de la Parousie'' (Jésus fils de Marie revenu).
http://sites.google.com/site/
http://sites.google.com/site/
RÉFÉRENCES :
(1) Liste de scientifiques sceptiques sur le réchauffement climatique. De Wikiberal.
(2) Les bases scientifiques du réchauffement climatique. Culture scientifique du Midi-Pyrénées. ladocumentationfrancaise.fr.
(3) David Archibald, scientifique australien, spécialiste de l'activité solaire et de son interaction avec le climat. [Rapporté dans (1)].
(4) David Legates, Ph.D., climatologue américain, professeur associé à l'université du Delaware ; il a signé l'Oregon Petition, qui liste plusieurs dizaines de milliers de scientifiques et de spécialistes qui rejettent cette thèse et l'existence d'un « consensus scientifique ».
(5) Jean-Louis Le Mouël, géophysicien français, ancien directeur de l'Institut de Physique du Globe de Paris, médaille d'argent du CNRS, lauréat de la Flemming Medal, spécialiste du magnétisme terrestre.