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Il a été noté au sein de l’Alliance pour la République (Apr) et de ses alliés de Benno Bokk Yakaar (Bby), des répliques disparates aux sorties au vitriol de Idrissa Seck de Rewmi et de Abdoulaye Bathily de la Ligue démocratique, contre les démarches politiques du Président Sall et son projet d’instituer le parrainage à la prochaine présidentielle.
Le camp du pouvoir a enregistré un renfort de taille dans la bataille. Un Mamouth politique bien connu des assaillants a fait sa réapparition sur la scène et s’invite dans ce combat pour recadrer les choses. C’est de Paris où il séjourne depuis des semaines, que Mahmout Saleh, présenté comme le chef du laboratoire politique du chef de l’Etat, a envoyé les premiers signaux qui pourraient faire réfléchir Idy et Bathily.
Le ministre d’Etat auprès du chef de l’Etat, a dressé un vif réquisitoire contre ces deux personnalités politiques, alliant parfois rappel historique et défiance politique. Au président de Rewmi qui l’a convoqué dans sa dernière sortie, faisant allusion au coup d’Etat rampant, Mahmout Saleh lui dénie tout droit de parler de démocratie. Lui qui « a piétiné le socle de la démocratie que constitue le suffrage universel ».
Dans raisonnement, Mahmout Saleh repart de juillet 2002, pour dater « l’initiative de l’ancien Premier ministre de soustraire au Président Wade de ses prérogatives constitutionnelles à lui confiées par le peuple ». Pour faire plus précis, le ministre d’Etat auprès du Président Sall rappelle « qu’en posant cet acte de défiance vis-à-vis du suffrage universel, Idrissa Seck a montré qu’il entretient un rapport d’antagonisme irréductible avec la démocratie ».
L'Observateur