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L’affaire d’accusation de viol et de menace portée par la « masseuse » Adji Sarr, employée de l’institut « Sweat Beauty » contre le leader de Pastef, Ousmane Sonko continue de susciter des réactions. Dans une déclaration transmise à notre rédaction hier, Déthié Faye, président du parti Convergence pour la Démocratie et la République (Cdr/Fonk sa kaddu) a appelé au « respect et la préservation des valeurs morales et éthiques qui fondent la société sénégalaise et à la décrispation de l’espace politique qui commande que la justice édifie l’opinion en disant le droit et rien que le droit ».
En effet, soulignant que dans ce « dossier qui défraie la chronique, seuls les deux protagonistes savent ce qui s’est réellement passé », le coordonnateur du pôle des Non-alignés au sein de la Commission cellulaire du dialogue politique a déploré l’absence de fair-play dans le champ politique au Sénégal marqué selon lui, « par l’usage d’armes non conventionnelles ». « Il faut constater, pour le condamner, que le combat politique au Sénégal est marqué par l’usage d’armes non conventionnelles et la stigmatisation systématique de l’autre.
Pour être à l’abri de surprises dues à la non vigilance, à la trahison d’un compagnon ou au complot d’un adversaire, il y a une posture qui s’impose à chaque acteur politique », a notamment martelé Déthié Faye qui dit par ailleurs, « partager la peine du Président Sonko face à cette épreuve douloureuse et garde le ferme espoir que la vérité éclatera pour le bien de notre société ».
NANDO CABRAL GOMIS