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Le Pastef, parti d’Ousmane Sonko, candidat à la présidentielle de 2024, a été dissous le 31 juillet, peu après que l’opposant sénégalais a été arrêté et inculpé pour appel à l’insurrection. Un tour de plus dans un engrenage qui menace la stabilité du pays note la presse ouest-africaine.
Le “Pastef effacé de l’échiquier politique”, titre Le Quotidien, en référence aux Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité. Ce parti d’opposition fondé en 2014 par Ousmane Sonko a été dissous par le ministre de l’Intérieur par décret, lundi 31 juillet.
Un nouvel épisode de “la descente aux enfers”, selon le titre burkinabè Le Pays, du candidat à la présidentielle 2024. En effet, rappelle-t-il, Ousmane Sonko a été “condamné le 8 mai 2023, à six mois de prison avec sursis à l’issue d’un procès en appel pour diffamation, puis le 1er juin, à deux ans de prison ferme dans une affaire de mœurs”.
Mais c’est pour d’autres griefs qu’il a finalement été arrêté vendredi 28 juillet. Parmi les motifs énoncés : “avoir ‘volé avec violence le téléphone portable d’une femme gendarme’ et […] avoir ‘aussitôt appelé le peuple, par un message subversif divulgué sur les réseaux sociaux, à se tenir prêt’”, poursuit Le Pays.
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