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On a tourné la page Miiimi, avec douleur. Oui, nous qui adorions tirer sur la dame de «ferraille» que la presse présentait comme le Premier ministre politique qui aillait redresser le pays et réaliser les vœux de Macky sobriété. Sérieux ? La même presse s’est subitement mise à tirer sur la Dame, pour ensuite tresser des lauriers à son successeur, celui dont l’entrée discrète dans le gouv, avait provoqué une secousse de magnitude 5 sur l’échelle de la Primature. Et c’est désormais sur le successeur de Miiimi que nos flèches vont pleuvoir. Et vous comprendrez aisément, que ce n’est pas «John émergent» et son parcours taillé sur mesure qui vont faire émerger le pays, là où Miiimi et son ex-patron ont failli. Parce que s’il y a encore des pénuries d’eau dans Dakar et à l’intérieur du pays, conjuguées aux coupures de courant, c’est parce que SA Mackyesté ne bosse pas, qu’il est encore et toujours en stage au Palais d’une république «bad gamme» où des liens de parenté avec les intérimaires du Palais, peuvent ouvrir grandement, les portes du gouvernement. Vous allez comprendre…
Une victime et des rescapés
C’est donc tout le gouvernement qui a été soufflé par la tempête «John Emergent», avec pour objectif, détrôner la Mimi. Un exercice qui a plus consisté à faire du neuf avec du vieux : plus de 20 ministres sur les 33 (ou plus) que compte l’actuel gouvernement, appartiennent à l’équipe sortante. Ce à quoi il faut ajouter les 4 à 6 secrétaires d’Etat, ces ministères «bad gamme» qui ramènent le gouvernement à près de 40 membres, 39 pour être précis, en attendant les retouches éventuelles. Sans mentionner les ministres-conseillers dont personne ne connait le nombre exact. Ici à la Revue de p(a)resse, on cherche un enregistrement sonore dans lequel un «super-menteur» nous promettait un gouvernement de 25 membres…
John Emergent, au travail !
L’ami de Tony Blair… hérite d’un pays où rien ne marche. Et, puisque celui qui l’a nommé ne travaille pas depuis deux ans, il n’y a pas d’eau ni d’électricité dans le pays, sous Abdoul comme sous Miiimi. Et c’est tout le sens de l’appel «Au travail» lancé par le nouveau PM, qui s’adressait, on l’aura compris, à son employeur : Macky sobriété qu’il invite, sans le dire, à sortir de l’immobilisme. Nous, on a hâte que les deux arrêtent de parler et se mettent au travail, enfin !
Moi, clone d’Ali Bongo
Oui, le pays est dur. Surtout en ces périodes de ramadan où la faim et la pauvreté gagnent du terrain, dans les villes comme dans les campagnes. Alors que le gouvernement, lui, continue de se gaver comme une dinde de Noël, de prendre du poids à l’image de son Maître, notre stagiaire qui loge au Palais et dont on se demande s'il observe le ramadan... SA Mackyesté devenue le clone d’Ali Bongo, en plus de plagier le Gabonais, s’amuse à reproduire ses pratiques qui consistent à casser du manifestant. Les partisans de "Baldé 5 milliards" savent désormais à qui ils ont affaire. Rébellion, tous dans le Macky !
Le «Bal-dé» répressions
Macky sobriété réprime. Mieux que son prédécesseur. Les opposants en savent quelque chose. En tout cas il fait honneur à tous ceux qui pensaient qu’il n’allait pas restaurer l’Etat de «non-droit» dans le pays. Et franchement, nous nous garderons de reprocher au plus vieux collaborateur du vieux chauve, de mimer ce qu’il a vu faire des années durant. Enfin, SA Mackyesté peine à comprendre que même dans les «démocra-tures» modernes, «Mackym Yong-Un» réprime de moins en moins… Parce que la répression, c’est l’arme des faibles.
Un tuyau et des incompétents
Faibles ou incompétents ou les deux à la fois. Pas très loin de ceux qui se sont retrouvés à la tête d’un pays Pauvre Très Endetté où il y a quand même de quoi garder espoir : Macky sobriété va réaliser l’EMERGENCE à l’horizon 2035…pour ceux qui seront encore de ce monde. Qui ne mourront pas, entre temps, assoiffés. Dakar en tout cas est en train d’émerger à l’autre bout du monde des assoiffés qui ne boivent plus, qui ne se douchent plus en ces périodes de ramadan et de fortes chaleurs. Bonjour les odeurs !
Mec, mais pas trop
Puisqu’ils ne sont pas fichus de régler des questions aussi banales que l’eau ou le courant électrique, il y a de quoi se demander si on a affaire à des mecs dans le vrai sens du terme. Miiimi au moins, jouait l rôle…
«Sall» temps dans Dakar
Ces pénuries en tout genre, une nouvelle routine dans Dakar, demeurent pourtant le quotidien dans plusieurs localités du pays où votre branchement à la SDE ne suffit pas pour vous garantir une seule goutte d’eau du robinet. Et, comme pour couvrir la faillite d’un système bon pour la poubelle, l’autorité déclenche des «tra-faux» du fameux tuyau pour masquer l’incompétence des services en charge de l’exploitation et de la distribution de l’eau. Ces mêmes services qu’on a manqué de sanctionner lourdement, pour avoir privé d’eau toute une capitale pendant plus d’un mois. Comme quoi Mansour n’est pas la seule faille d’un système qui fait la promotion des frères et beaux-frères…des médiocres aussi.
Mansour, une «Faye» dans le système
Pire qu’une faille, c’est un virus qui s’est incrusté dans le système Macky. Un cheval de Troie qu’il fallait tenir à bonne distance des affaires publiques, après ce qui s’apparente comme un hold-up électoral dont a été victime la commune de Saint-Louis... Mais on aura compris : SA Mackyesté que l’on pensait beaucoup plus futé, ne fait que répéter les vilenies apprises sous la tente du vieux chauve, l’autre président qui avait nommé son fils adoré à tous les postes ministériels où il était question d’argent et de pouvoir. Ici, on a l’impression que tout échappe à l’actuel stagiaire du Palais. Tout, y compris ses propres nominations…
Ma famille d’abord
L’élève fait donc mieux que le maître ! Après les milliards de la Solidarité nationale sur lesquels Mansour ne rendra pas compte après deux ans de gestion, le beau-frère peut remercier quelqu’un sans qui sa nomination dans un gouvernement n’aurait été possible... Le pauvre ! A voir la tronche qu’il fait dans son costume, lui coller l’étiquette de «mini-chtre» suscite le rire. Notre gouvernement adoré, de par certains profils, n’a rien à envier aux petits plaisantins qui envahissent les écrans de télévision à l’heure de la rupture du jeûne. Vous avez dit, République « bad gamme » ?
Jules, la rétrograde
Au début de la présidence Macky, on ne voulait pas de lui au Palais pour les raisons que vous savez. Mais le bonhomme en avait fait des pieds et des mains pour s’imposer dans le cercle présidentiel, pour finalement s’occuper de sa communication. Sauf que l’infréquentable chroniqueur qui avait élu domicile dans les hôtels de Dakar et refusé de «prendre service» à Bruxelles, devra cette fois-ci tourner le dos aux quartiers chauds de la capitale pour vadrouiller dans la diaspora sénégalaise où il a été nommé secrétaire des « tares ». Pardon, secrétaire d’Etat.
Secrétaire des «tares»
Bon, ici, puisqu’il s’agit d’un poste «bad gamme» qui a l’équivalent d’un ministère, tant mieux pour notre chroniqueur pipolisé à qui nous souhaitons bonne chasse! Mais ceux qui savent lire entre les lignes ont sans doute compris, que le bonhomme, devenu encombrant dans l’entourage du président, a été tenu à bonne distance de la communication du Palais, de l’image d'un président qui a su faire le ménage dans ses rangs, afin d’éviter que demain, ses confidences les plus intimes se retrouvent sur la place publique. Sur ce point au moins, Macky garde la tête.
Bonne semaine à tous !
source: http://www.seneweb.com/news/Revue%20Presse/laquo-sall-raquo-temps-dans-dakar-une-ca_n_130394.html