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Dur, dur. Décidément aucun superlatif ne semble de trop pour les Bakélois pour qualifier la situation qu’ils vivent par ces temps qui courent. Du Vendredi 28 au Dimanche 30 janvier dernier le département était dans le noir au gré de l’insécurité, des moustiques et des maladies comme la bilharziose et la diarrhée. Assez pour tirer la sonnette d’alarme.
« On arrive plus à faire correctement notre travail. En plus, nous avons perdu toutes nos denrées. Nos matériels ont été détruits par les coupures d’électricité. C’est difficile, c’est fatiguant.
Les délestages sont choses courantes à Bakel mais des durées de 48 h à 72 h mettent tout le monde dans l'insécurité.Aucun bureau ne fonctionne, tous les portables sont éteints », peste un enseignant. A ce calvaire s’ajoutent les problèmes d’eau. La SDE cause fréquemment du tort aux consommateurs. Puis qu’elle fait encore la sourde oreille pour alimenter son groupe électrogène obligeant ainsi les populations à consommer l'eau du fleuve avec toutes ses conséquences. Malgré les marches qui ont été effectuées et les rencontres avec les autorités, les populations grincent les dents et menacent de passer à la vitesse supérieure.SOURCE: Tambacounda.info
AU pays de WADE - Tambacounda: Bakel sans eau ni électricité, les populations vivent un véritable calvaire
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