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Ven, Déc

SCANDALE AU LYCEE DE TAMBACOUNDA : Deux élèves de Terminale engrossées par leurs professeurs

Tambacounda
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GrossesseC’est à la Une de tous les débats dans la capitale orientale, plus précisément au lycée Mame Cheikh Mbaye de Tambacounda, connu comme étant un lycée d’Excellence. Tout le monde en parle. Deux élèves de Terminale, M.D et A.C, risquent de ne pas subir les épreuves du Baccalauréat, voire même leurs études hypothéquées. Les deux élèves traînent des grossesses, au grand dam de leurs parents.

 Le pus écœurant dans ces histoires est qu’aucun comité de lutte contre les violences faites aux filles, n’a levé le ton pour dénoncer ces actes délictuels qui pourraient compromettre l’avenir de ces deux élèves. S’il y a un phénomène qui existe, et qui a tendance à prendre de l’ampleur, c’est bien les relations qu’entretiennent des profs avec leurs élèves.

 Nous parlons bien sûr des relations sentimentales, pour ne pas dire amoureuses. En effet, on n’a pas du tout besoin de porter des lunettes ou d’avoir le sens de l’analyse pour constater que de plus en plus, des professeurs sortent avec leurs élèves. Et ceci, au vu et su de tout le monde. Un phénomène qui, d’ailleurs, n’a pas épargné le lycée d’Excellence Mame Cheikh Mbaye de Tambacounda où deux élèves de Terminale viennent d’être engrossées par leurs professeurs. Il s’agit de M.D et A.C. Du sens de l’éducation qu’on leur a inculqué au cours de leurs formations, les professeurs, A. B. et P. M. D, n’y ont rien retenu. Sinon, comment comprendre leurs attitudes, qui consistent à fricoter avec leurs élèves des classes de Terminale. 

De surcroît, qui doivent préparer les examens de Baccalauréat, cette année. A chacune des visites des élèves chez leurs professeurs, les deux tourtereaux se laissent aller, chacun de son côté à de torrides ébats, sans qu’ils ne soient conscients de l’ampleur de leurs actes, qui finissent par être découverts, avec des ventres ballonnés des deux élèves, au grand dam de leurs parents, qui n’ont pu que constater les dégâts. Le plus écœurant dans ces histoires, est qu’aucun comité de lutte contre les violences faites aux filles, n’a levé le ton pour dénoncer ces actes délictuels qui pourraient compromettre l’avenir de ces deux élèves. L’avocat de la société, le représentant du ministère public, va-t-il s’auto saisir et prendre son bâton de pèlerin pour ouvrir une enquête et sévir ? Les prochains jours nous édifieront.

SOURCE L'OFFICE