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Jeu, Nov

Guddi Town s’invite à Kaolack : Des Femmes exhibent leurs parties intimes

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SEXE SABARDakar risque d’être jaloux. Car, après que la capitale s’est tristement distinguée dans le feuilleton « Goudy Town, Yeunguél Down »,c’est au tour de Kaolack de lui damer le pion. Lors d’un Baptême, qui s’est déroulé, mardi dernier, au quartier Sara, dans la capitale du bassin arachidier, des dizaines de femmes, originaires et de la ville et venues de la Gambie, se sont livrées à des scènes obscènes. Lesquelles n’ont rien à envier aux images de la cassette vidéo qui avaient fait tomber la bande à la danseuse Ndèye Guèye.

Tenant à lever toute équivo­que sur la bonne moralité des parents de l’enfant qu’on. bapti­sait, les différentes personnes, qui ont assisté au « Taneber » organisé dans la soirée du lundi, veille du baptême, au quartier Sara, confient ne pas encore en revenir de l’obscénité du specta­cle, auquel elles ont eu droit.

D’ailleurs, selon certaines indis­crétions, tous les, « goordjiguène » du pays ont été conviés, l’an­née dernière, lors d’une cérémo­nie tenue dans cette maison. Seulement, dans le contexte actuel marqué par une homo­phobie ambiante, depuis l’écla­tement de l’affaire du mariage des homosexuels à Mbao, les pédés n’ont pas été de la fête. N’empêche, des proxénètes et des prostitués, venus en nombre important, se sont bien défou­lées. Pour l’occasion, à en croire le voisinage, les vendeuses de sexe, en provenance de la Gambie, sont venues à bord de deux cars « Ndiaga Ndiaye ».

Animé par un célèbre tam­bour-major de Kaolack, frère d’un chanteur qui cartonne fort, actuellement, dans la capitale sénégalaise, le « Taneber », qui a démarré, à minuit, s’est ter­miné aux environs de 4 heures du matin. Et, comme à l’occa­sion d’une manifestation d’en­vergure, c’est un grand espace, qui a été aménagé avec des centaines et des centaines de chaises. Le tout illuminé par de grosses lampes dites « maffe ».

A chaque fois qu’une nou­velle danseuse faisait son appa­rition sur la scène, l’assistance retenait son souffle, car elle avait droit, au moment du « teus­guine » ( l’arrêt du morceau pour permettre à une autre fille de venir sur scène), à du vérita­ble streap-tease. En effet, de nombreuses danseuses termi­nent leur chorégraphie, en exhi­bant leur parties génitales à la foule. Parmi les danseuses, la plupart étaient en petits pagnes communément appelés « nay degeuer ».

Faisant partie de la déléga­tion de femmes venues de la Gambie, une dame, manifeste­ment âgée de plus de 50 ans, s’est permise, de laisser tomber son pagne, plongeant complètement ainsi la foule dans le délire. La nou­velle s’étant répandue dans la ville comme une traînée de pou­dre, le temps d’une soirée, tous les noctambules, curieux et autres adeptes de spectacle « hot » ont accouru au « Taneber », afin de se délecter. Pour éviter des représailles venant des orga­nisateurs de la cérémonie salace, les voisins, interpellés, n’ont pas voulu, s’identifier, même s’ils se disent choqués.

Source : L’AS QUOTIDIEN