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Créé en 1996 en France par Christine Bruno, le Réseau international de femme de demain Afrique a pour mission d’identifier dans tous les pays africains, les présidentes, les dames dynamiques pour pouvoir représenter les différentes entités des femmes de demain. Ledit réseau s’engage pour l’humanisme au féminin. Après plusieurs pays visités, c’est au tour du Sénégal de porter sur les fonts baptismaux sa section. Le lancement a eu lieu hier, mercredi 28 février, à l’Institut africain de management (IAM).
«La femme doit être dans l’ère de la modernité, la femme doit accepter d’être aujourd’hui au devant de la scène, elle doit accepter de prendre des responsabilités et aussi faire rupture avec certains habitudes du passé car la femme africaine à tendance à être en retrait». C’est la pensée de la présidente du Réseau international femme de demain Afrique, Yolande Lida, qui invite par ailleurs ses sœurs à prendre des initiatives qui apporteront beaucoup de choses intéressantes aux différentes communautés. Elle s’exprimait ainsi hier, mercredi 28 janvier, lors de la cérémonie de lancement de l’association Femme de demain Sénégal (FDDS).
«L’humanisme au féminin» était au centre d’une discussion de panélistes constitués de l’artiste chanteuse Coumba Gawlo Seck, ambassadrice du réseau, de madame Christine Bruno, fondatrice du réseau, madame Thiamel Ndiadié, présidente de Femme de demain Sénégal, de madame Seyni Ba, sociologue, Moustapha Guirassy, président de l’IAM et des représentantes de l’ambassade de la France, etc. Lors de cette rencontre, madame Thiabel Ndiadié présidente de Femme de demain Sénégal a tenu à signaler que «les femmes de demain promeuvent l’humanisme au féminin».
Et d’ajouter: «Nous comptons faire une grande sensibilisation pour que toutes les femmes se rejoignent à cette plateforme pour pouvoir voir comment s’aider mutuellement, c’est ce féminisme que nous prônons pour demain…».
Pour sa par, l’artiste chanteuse Coumba Gawlo Seck soutient qu’«il faut se battre pour les droit des femmes. Il faut que les femmes en Afrique soient debout, il faut que les femmes puissent prendre les problèmes à bras-le-corps...»
Prenant la parole, en ce qui concerne les éléments qui façonneraient cette femme de demain, madame Yolande Lida fait savoir que «c’est avec le partage, la formation, l’éducation, la sensibilisation et surtout la prise de conscience des difficultés que nous rencontrons au quotidien. Car si nous faisons ce tour de difficultés nous trouverons des solutions». La fondatrice du réseau, madame Christine Bruno n’a pas manqué de rappeler que «le Front national a décidé d’accompagner ledit réseau».
source:http://www.sudonline.sn/l-humanisme-au-feminin-au-centre-du-debat_a_38562.html