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Avec l’avènement des nouvelles technologies le secteur du tourisme a connu des avancées considérables qui ont permis de concevoir le voyage d’une façon différente. Un apport révolutionnaire pour le secteur touristique qui n’est pas sans conséquence pour les offices du tourisme, notamment en Afrique.
Le touriste d’aujourd’hui est internaute, une nouvelle donne qui au fur des ans a fini par bouleverser la culture des professionnels du tourisme. « Selon un sondage effectué en France, 77% des touristes préparent leurs voyages sur internet et cette tendance prend du terrain en Afrique. Quand on compare le nombre de réservation que nous avons pu enregistrer en un an sur notre plateforme, on se rend compte que l’internet devient très présent dans les habitudes de voyages des africains », explique Xavier Starkloff, Directeur Afrique de l’ouest de jovago.com. Dans ce contexte on comprend vite que les offices du tourisme classique sont confrontés à une concurrence non négligeable, environ « deux tiers des voyageurs n’entrent jamais dans un office de tourisme. Quand on observe la vitesse à laquelle le continent africain s’internalise, on comprend vite que les nombreuses offices présentent sur le continent ont du pain sur la planche.
Vers une numérisation des offices du tourisme
« Les technologies numériques représentent une formidable occasion de renforcer les rôles et missions des professionnels du tourisme, les visiteurs qui entre dans les offices viennent poser des questions d’ordre pratique, à faible valeur ajoutée, mais le plus souvent c’est sur internet qu’ils se renseignent d’abord », explique Xavier Starkloff de jovago.com. Les technologies numériques permettront de délester l’agent de ces tâches récurrentes au profit d’une mise en œuvre de ses compétences de conseiller. Pour les offices du tourisme, le numérique, est aussi un moyen d’assurer une présence de l’office sur les réseaux sociaux internet, notamment Facebook, Twitter ou Trip Advisor. En d’autres termes, l’office se positionne comme un expert de sa destination là où le touriste se trouve, c'est-à-dire sur internet. Cela permet de revaloriser la voix de l’office face aux nombreux sites d’avis et de commentaires dont se nourrissent les voyageurs mais qui ne sont pas contrôlés. Il n’y a donc pas lieu de s’alarmer pour les offices de tourismes africains, à l’instar de leur collègues européens ou d’ailleurs, avec internet bénéficient d’un grand nombre d’opportunité, le tout réside dans l’originalité de l’offre.
source: Ismael Kambel