Matar Ba sur les appels au départ de la fédération sénégalaise de football «le ministère ne polémique pas, il travaille sur des rapports»
Matar Ba, n’est pas en phase avec ceux qui soutiennent la démission immédiate de la Fédération sénégalaise de football au lendemain de la campagne infructueuse des Lions à la Can de Guinée équatorial. Le ministre des sports, qui a réceptionné hier, les clefs du stade « Alioune Sitoé Diatta » de Ziguinchor rénové, des mains de Xia Huang, ambassadeur de la République Populaire de Chine au Sénégal a soutenu que l’Etat travaille sur la base des rapports clairs et ne prendra de décisions que dans le sens de préserver et de renforcer le sport sénégalais.
Alors que «Dakar ne respire plus», «Dakar est une ville polluée», les autorités… politiques s’entêtent à détruire un des rares poumons verts de la capitale sénégalaise, le Technopole, en décidant d’y ériger la future arène nationale. Face à cette obstination du gouvernement à exécuter ce projet sur ce site des Niayes, des organisations de la Société Civile Environnementale, dans une déclaration, exhortent les pouvoirs publics à trouver un site alternatif pour la construction de cette infrastructure sportive. 
Terminus ! Les «Lions» rentrent au bercail. Comme en 2012, le Sénégal est encore éliminé dès le premier tour de la coupe d’Afrique des nations. Battus hier, mardi 27 janvier, par l’Algérie (2-0), les hommes d’Alain Giresse terminent à la 3ème place derrière le Ghana (1er) et l’Algérie (2ème). Les Bafana Bafana ferment la marche de la poule C. 
La convention des supporters de la Ligue sénégalaise de football n’est pas de même avis que de ceux qui pensent que la fédération sénégalaise de football (Fsf) doit démissionner après la débâcle à la coupe d’Afrique des nations. Au cours d’une point de presse qu’elle a tenu hier, lundi 2 février, son secrétaire général Matar Fall a souligné qu’une démission est non seulement du ressort des instances étatiques mais elle risque de plonger le football local dans la crise. 
L'attaquant Sadio Mané a des atouts que le l’équipe nationale doit utiliser, a dit Alain Giresse le sélectionneur national qui a souligné que c’est la raison pour laquelle il a été aligné pour la rencontre contre l’Afrique du Sud, vendredi dernier. 
A un peu plus de 24 heures de la première rencontre du Sénégal dans la Coupe d’Afrique des Nations, Alain Giresse s’est exprimé sur les adversaires des Lions dans la poule C. Pour le technicien français, il n’est pas intéressant de savoir qui est favori et qui ne l’est pas. Pour lui, la seule constante c’est qu’il y a des équipes solides. 
Le sélectionneur national Alain Giresse va quitter son poste, à la fin de son contrat en février, en laissant l’impression d’un énorme gâchis, vu l’importance du potentiel qu’il avait à sa disposition, mais surtout celle d'un technicien qui n'a pas atteint le niveau du joueur qu’il a été.
Alain Giresse et Bouna Coundoul, respectivement sélectionneur et capitaine de l’équipe nationale, regrettent le résultat nul (1-1) concédé, vendredi, contre l’Afrique du Sud, mais gardent toutes leurs chances de qualification au second tour.
Un large sourire lui fend le visage. Ses courses ne laissent place à aucune inquiétude. Sadio Mané attaque, défend, frappe, va au contact. A le voir mercredi à El Jadida et hier à l’entraînement à Mongomo, on peut être optimiste de le voir jouer au moins le deuxième match du Sénégal contre l’Afrique du Sud. Avec l’état de forme qu’il a montré pour sa première séance d’entraînement en compagnie du groupe, on peut même espérer le voir disputer quelques minutes contre le Ghana, ce lundi. Même Alain Giresse, qui annonçait lundi dernier qu’«une décision finale serait prise vendredi sur la participation ou non de Sadio Mané à la CAN» semble avoir oublié son compte à rebours. 
C'est officiel ! Alain Giresse n'est plus le sélectionneur de l'équipe nationale du Sénégal. Le technicien français a été limogé de son poste après l'élimination des Lions au premier tour de la 30e édition de la Coupe d'Afrique des Nations. La Fédération sénégalaise de football n'a pas donc attendu le retour de la délégation sénégalaise, qui se trouve en Guinée équatoriale où se joue la compétition, pour se séparer de l'ancien milieu de terrain de l'équipe de France. Au micro de RFM, Abdoulaye Sow, vice-président de la FSF, confirme la nouvelle. 
Tout un continent aura les yeux tournés vers Bata, où s’ouvre la 30e édition de la Coupe d’Afrique des nations. Le coup d’envoi sera donné ce samedi 17 Janvier, en Guinée Equatoriale à Malabo stadium (Guinée Equatoriale). Seize équipes seront sur la Ligne de départ pour soulever, au soir du 8 février prochain, le trophée continental. En l’absence du Nigeria, tenant du titre ou encore de l’Egypte (7 trophées), les gros cylindrées du football africain mondialistes sont présents. Le match d’ouverture oppose la Guinée Equatoriale, pays organisateur au Congo-Brazzaville qui effectue son retour en phase finale après quinze ans d'absence. Cette rencontre sera suivie du match Burkina Faso-Gabon, deuxième rencontre du groupe A. Pendant trois semaines (du 17 janvier au 8 février), la compétition réunira 368 joueurs. L’Afrique retient son souffle. 
