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News (1040)

Les informations  générales et dépêches  publiées

LA PRESSE


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Quelques heures après les heurts qui ont escorté la visite du chef de l’Etat à l’Ucad, le pouvoir essaie de comprendre le comportement des étudiants qui ont «caillassé» Macky Sall. Même si les Rg avaient alerté les autorités que des troubles «fomentés par l’opposition» étaient prévus. Quoique conscient des risques, le chef de l’Etat a décidé d‘aller au Temple du savoir.

A partir d’aujourd’hui et jusqu’au mercredi, l’Etat-major va expulser les non-ayants droit qui occupent des logements aux Camps Leclerc, Bel Air, Mamelles, la Villa rose et Claudel 1 et 2. L’Armée a prévu un énorme dispositif de sécurité pour réussir cette opération. L’inquiétude et l’incertitude se confondent déjà dans les familles qui sont à la recherche de nouveaux points de chute. 

La députée Aida Mbodj organise une cérémonie de signature de pétition pour la libération de Karim Wade, ce matin, au Centre Daniel Brottier. La présidente du Conseil départemental de Bambey veut collecter des signatures pour exiger l’application de l’avis du Groupe de Travail de l'Onu qui demande à l'Etat du Sénégal la libération immédiate de Wade fils et toutes les personnes détenues arbitrairement au Sénégal. Mme Mbodj dit se battre pour mettre fin à la détention arbitraire dans notre pays. Tous les leaders politiques et les leaders d’opinion du pays sont conviés. La pétition sera remise au Président français François Hollande, à Barack Obama, à Hillary Clinton, à Ban Ki Moon et à l’Union Africaine.

source: http://www.leral.net/Liberation-de-Karim-Wade-Aida-Mbodj-lance-une-petition-destinee-a-Hollande-Obama-Hillary-Clinton-l-Onu-et-a-l-Ua_a150899.html

Le président de la BAD, Donald Kaberuka, fait ses adieux aux autorités tunisiennes en réitérant  le soutien de l’institution

 

Tunis, le 31 juillet 2015 – Le président de la Banque africaine de développement (BAD), Donald Kaberuka, dont le mandat s’achève le 31 août prochain, a fait ses adieux le 31 juillet  aux autorités tunisiennes, notamment au président de la République, Béji Caïd Essebsi.  Ce fut l’occasion pour Kaberuka d’exprimer toute sa gratitude aux autorités pour l’hospitalité  dont la BAD a bénéficiée lors de sa relocalisation de  2003 à 2014.

 

 «Nous sommes très reconnaissants de ce que la Tunisie a fait pour la Banque africaine de développement », a-t-il déclaré.

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Les allégations de la victime ont été battues en brèche par le prévenu. «Tout ce qu’il a dit n’existe pas. Nous étions en plein mois de ramadan. Comment, ferai-je de tels actes alors que j’avais déjà fait mes prières surérogatoires pour jeûner, le lendemain. Le bon sens interdit même de croire aux propos de ce garçon. Je l’ai invité à monter à bord de ma voiture, juste pour l’aider à ne pas se bagarrer avec ses amis», a déclaré Tamsir Jupiter N'diaye. 

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Le secrétaire d’Etat en charge des Sénégalais de l’extérieur croit dur comme fer que son ami Tamsir Faye n’a pas été démis de ses fonctions de Consul général à Marseille. Interpellé sur cette affaire, en marge d’une visite qu’il effectuait hier, à l’Hôpital général de Grand Yoff, Souleymane Jules Diop a déclaré que son "ami" reste toujours en poste dans la ville phocéenne. "Je ne suis pas au courant de son éviction, il est toujours à son poste. 

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Invité sur la radio Milele FM, Malik Obama n’a pas hésité à s’en prendre à son petit frère Barack Obama. Dans une interview en swahili, Malik livre des réponses inédites aux questions posées par le journaliste. 

Voici une traduction partielle de l’interview. 

Malik Obama : Mon frère a tout changé, il est devenu quelqu’un d’autre. Le Barack Hussein que j’ai connu n’est pas le même Barack qui préside les USA. Barack Obama était quelqu’un plus intelligent. Il aimait trop sa race et le continent africain. Il ne cessait pas de dire qu’il combattra pour la liberté des noirs et du continent africain. Mais voila qu’aujourd’hui qu’il est en mesure de mener son combat, il ne pense qu’à des petits intérêts qu’il devrait pourtant oublier pour le bien de la communauté noire. 

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Information Seneweb News. Mame Fatim Guèye, la fille d’Aminata Tall présidente du Cese, risque gros avec la justice française. En effet L’ambassadrice déléguée du Sénégal auprès de l’Unesco sera poursuivie pour esclavage moderne, emploi fictif et séquestration. Mame Fatim Guèye avait employé deux domestiques venues du Sénégal avec passeports diplomatiques pour des salaires misérables de 160 euros par mois.


Selon notre source, elle avait séquestré les deux pauvres filles en confisquant leurs documents de voyage. Les deux domestiques « mbindanes » ont profité d'une occasion pour sortir dénoncer leur employeur. Aujourd’hui l’association de lutte contre l'esclavage et la Ligue des droits de l’homme en France s’occupent de l’affaire des deux jeunes filles.

Petit à petit, la… guerre fait son nid entre Tanor et Khalifa Sall. A l’évidence, il y a deux camps qui s’affrontent pour la candidature socialiste et pour le candidat qui doit affronter Macky Sall.

Difficile de voir clair dans ce qui se passe au Parti socialiste. Un temps, avant le congrès, et la préférence affichée de Khalifa Sall pour Tanor qui affrontait Aïssata Tall Sall, on ne pouvait plus croire à une «dualité au sommet» entre le secrétaire général et le secrétaire à la Vie politique. Aujourd’hui, et au lendemain des Locales qui ont légitimé le leadership du maire de Dakar avec sa coalition Taxawu Dakar qui règne dans la capitale presque sans partage, on constate cette adversité entre les deux. Bien sûr menée par des seconds couteaux. 

Favorable à des concertations avec la presse, Me Sidiki Kaba estime que tout ne doit pas être posé sur la place publique. «Il est important d’engager des concertations avec la presse. Le Sénégal est une démocratie majeure. Cette démocratie est due au fait qu’il y a une relation profonde attachée aux valeurs de tolérance, de justice, de liberté mais aussi c’est dû aux acteurs politiques de tous bords. 
Mais également la presse qui joue un rôle important dans l’effectivité du droit à l’information qu’elle assure aux Sénégalais en apportant les faits qui sont commis par tous les citoyens, mais aussi les actes des dirigeants (…)», a commenté le ministre de la Justice.