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News (1041)

Les informations  générales et dépêches  publiées

LA PRESSE


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L’Afrique est une plaque tournante du trafic de drogue. De zone de transit, il y a quelques années l’Afrique est devenu un continent de consommation de la drogue dure (cocaïne, héroïne)  et des drogues de synthèse, en plus du cannabis. Et aucune région du berceau de l’humanité n’est épargnée. Pis, 12, 4% des adultes en Afrique de l’Ouest consomment de la cocaïne. Ces trafics illicites des produits stupéfiants coutent au continent 1,250 million de dollars.    

L’Organe international de contrôle des stupéfiants, dans son rapport fait remarquer qu’en Afrique de l’Ouest 12,4% des adultes consomment cette de la cocaïne. 
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   Abdoulaye Wade a encore franchi le Rubicon. Cette fois, le pape de la division et de la discorde a touché le fond dans sa volonté de faire libérer son fils par tous les moyens. A dire vrai, Gorgui a complètement disjoncté face à la détermination du régime de Macky Sall d’aller jusqu’au bout, pour éviter à notre justice une issue aux allures du fameux protocole de Rebeuss de 2006, par lequel Idrissa Seck, accusé d’avoir détourné des milliards de FCfa a été libéré en plein match de demi-finale de coupe d’Afrique des nations entre le Sénégal et l’Egypte.  

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La cellule de communication du Président Hissein Habré tient à apporter des clarifications par rapport aux dernières sorties dans la presse du Procureur Général des Chambres Africaines Extraordinaire (CAE), Mbacké Fall et de celles de Sidiki Kaba.

En moins d'une semaine, par deux interventions médiatiques, Mbacké Fall a lancé une campagne de désinformation sur l'affaire Habré. Animant un point de presse à Dakar, le 17 février 2015, et une réunion-débat à Saint-Louis, le 19 Février 2015.
Mbacké Fall a déclaré : "Les Chambres africaines extraordinaires d'Assises seront dirigées par un magistrat sélectionné par l'Union Africaine. Il sera assisté de deux magistrats choisis, eux aussi, par l'Union Africaine sur proposition du Conseil supérieur de la magistrature du Sénégal. ». (Le Témoin Numéro 111 du 18 février 2015.) 

Mbagnick Ndiaye: « Wade est un Khone fafe* »
Rédigé le Dimanche 1 Mars 2015 à 10:46 | | 5 commentaire(s)
Les vagues d’indignations se suivent contre Me Wade, suite aux propos qu’il tenu contre le chef de l’Etat, Macky Sall. Un des inconditionnels du Président Sall en l’occurrence son ministre de la Culture est sorti de son mutisme pour porter le combat.


«Il faut que ça soit clair, on ne peut pas laisser impunément un vieillard sénile se comporter de cette manière déstabilisatrice, aux antipodes de notre société qui est une société de paix et de cohésion sociale (…)

Abdoulaye Wade n’est pas un vieillard de la dimension de Hampathé Bâ qui dit qu’’un vieillard qui meurt est une bibliothèque qui brûle; Abdoulaye Wade n’est pas une bibliothèque qui brûle mais c’est un Seytané qui disparait et les sérères l’appellent le Khone fafe* », a clamé le ministre de la Culture ce samedi en marge d’une rencontre avec les militants de l’Apr. 

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Cheikh Modou Kara Mbacké a décidé inviter Me Wade à son domicile sis à Mermoz pour le soutenir spirituellement. La date de la rencontre sera communiquée après lecture, 14 millions de fois, du poème "Bax Baxaa", écrit par le vénéré Cheikh Ahmadou Bamba, lecture que le Général de Bamba avait recommandée à ses condisciples mourides. Lors de cette rencontre pour soutenir Wade sur le plan spirituel, Cheikh Modou Kara va lancer un appel à l'apaisement et formuler des prières pour une paix durable. Par ailleurs, informe L'As, Kara se solidarise avec Wade.

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Sénégal   Comment parler de la Conférence de Berlin autrement que sous la forme… d’une conférence qui, 130 ans après la délimitation des frontières de l’Afrique, se demande ce qu’il en reste et ce que celle-ci implique encore aujourd’hui comme enjeux. Autour de la table installée ce jeudi 26 février dans une des salles du Goethe-Institut, l’historien Ndiouga Adrien Benga, l’écrivain Boubacar Boris Diop et les journalistes Abdoulaye Bamba Diallo et Fadel Barro. Avec dans le rôle de l’animateur le président de la Fondation du mémorial de la traite des noirs, Karfa Sira Diallo. Dans le public, des universitaires, des intellectuels, des étudiants, des panafricanistes convaincus pour qui l’Afrique doit se prendre en main.  

samedi, 28 février 2015 00:00

TF1 dément la mort de Martin Bouygues

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L'AFP avait plus tôt dans l'après-midi annoncé la mort de l'industriel dans sa résidence de l'Orne de La Roche Mabile, près d'Alençon, citant le maire de la commune voisine de Saint-Denis-sur-Sarthon. Contacté par francetv info, l'élu explique qu'il s'agit d'un malentendu avec l'agence. "Il y a bien un monsieur Martin qui est mort ce matin, mais ce n'est pas Martin Bouygues, indique-t-il. Le journaliste m'a parlé de cette mort et j'ai confirmé que Monsieur Martin était décédé."

La sortie de l’ancien Président, Me Abdoulaye Wade, a provoqué le courroux d’un des conseillers de l’actuel locataire du Palais présidentiel. Oumar Ndiaye, plus connu sous le sobriquet de Angloma, ne s’est pas fait prier pour apporter la réplique à Wade. Il a fermement condamné hier les propos offensants de ce dernier sur Macky Sall. 

Ce responsable politique de l’Apr à Mbacké a martelé que le Sénégal mérite mieux que d’être un ancien président de la République qui agit comme particulier. Pire, il qualifie «d’anormal» Me Wade.

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Frère Secrétaire Général national,

Par devoir et par conviction, je suis dans l'obligation morale de vous exprimer mes vifs sentiments de désapprobation à la suite de vos propos à l'endroit du Président de la République. Je sais que vous avez été trahi, aujourd'hui sali, vilipendé et meurtri. Cependant, ni votre parcours, ni votre statut actuel ne vous soustraient du rôle de patriarche qui est le vôtre.

Je comprends la légitime amertume dans laquelle vous êtes plongé à cause d'une majorité dont les méthodes sont unanimement condamnées. Au demeurant, l'adversité politique et la surdité dont fait montre le pouvoir d'en face à propos de vos appels incessants et sincères pour un dialogue politique fécond, ne sauraient justifier un tel discours, une telle escalade et un piétinement des valeurs qui fondent la République que nous avons en partage ainsi que l'élégance que nous imposent nos traditions ancestrales faites de dignité, de retenue et de dépassement. 

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Revue de presse du Mercredi 25 Février 2015 avec Ahmed Aidara sur Zik Fm