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Les informations  générales et dépêches  publiées

LA PRESSE


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La rencontre initiée par le Président Macky Sall, avec les partis membres de la coalition Benno Bokk Yakaar, le samedi 20 septembre, a été l'occasion d'initier la relance de ladite coalition sur de nouvelles bases et aussi d'une mise à niveau des alliés sur les politiques publiques du gouvernement. C'est l'avis de Mamadou Ndoye, Secrétaire général de la Ligue Démocratique (Ld),  invité de l'émission Objection de Sud Fm d'hier, dimanche 21 septembre. Il est par ailleurs revenu sur les enjeux d'une telle rencontre, première du genre après l'accession du Chef de l'Etat à la magistrature suprême.

dimanche, 21 septembre 2014 00:00

France - Sarkozy "inquiète" 51% des Français

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La moitié des Français (52%) considère que Nicolas Sarkozy a "l'étoffe d'un président de la République", selon un sondage Ifop pour "Sud Ouest Dimanche". Cependant, l'ancien président, qui a annoncé vendredi son retour en politique, les "inquiète" dans la même proportion (51%) et les met "en colère" (50%).

Seules 45% des personnes interrogées estiment qu'il "veut vraiment changer les choses", 39% le jugent "sympathique", 36% considèrent qu'il "tient ses engagements", 33% qu'il "comprend les problèmes des gens". En outre, seuls 29% des sondés le jugent "honnête".

L’OBS – «Je vous en supplie, je ne veux pas encore tomber… Ce que j’ai fait n’est ni de l’escroquerie ni du banditisme»

L’audition de Pape Alioune Samba Diassé se poursuit. Hier, il a encore eu un malaise. Le co-accusé de Karim Wade devra repasser lundi prochain.

L’homme fait pitié. Mal-en-point, Pape Samba Alioune Diassé semble être dans un autre monde. Tantôt c’est sa mémoire qui lui joue des tours, tantôt ce sont ses oreilles qui ne cessent de bourdonner. Le présumé complice de Karim Wade pour enrichissement illicite souffre. En  plus de sa santé fragile, il doit supporter les mille et une questions des avocats de la partie civile.

Finie la brouille entre le chef de l'Etat et son ancien Premier ministre qu'il a limogé au lendemain de sa débâcle électorale à Grand Yoff. Selon L'As, Macky Sall et Aminata Touré ont eu un long tête-à-tête dimanche dernier au Palais de la République. Mais si rien n'a filtré de cette rencontre, le journal renseigne que les deux personnalités ont levé bien les équivoques et vont (re) cheminer ensemble.

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Il est heureux comme un môme. Après avoir presque frôlé la mort, le malade guinéen affiche un sourire béat au moment de prendre l’avion pour retrouver son pays ravagé par le virus ébola.

Sourire gêné, il présente ses excuses au Peuple sénégalais : «Je suis sincèrement désolé. Je ne voulais pas importer le virus au Sénégal.» Visage juvénile, voix cassée par un trémolo, Mamadou Aliou Diallo s’est confondu en remerciements au moment de dire adieu à cette terre qui l’a sauvé. 

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Sorti de son mutisme, plus de deux mois après son limogeage de son poste de ministre de l’Hydraulique, Pape Diouf a pris pour cible le ministre Mor Ngom. Au cours d’une conférence de presse qu’il a animée à son domicile, l’ex-poulain d’Idrissa Seck a déploré «l’attitude discourtoise de Mor Ngom» qui, dit-il, «tente vainement d’incriminer», ses camarades et lui du Mouvement pour la démocratie et la République (Mdr) sur ce qui est arrivé.

«Ce que le ministre Mor Ngom a volontairement omis de reconnaître, c’est tout le sacrifice que nous (Mdr) avions consenti pour aller avec l’Apr dans 9 collectivités locales sur les 13 que compte le département de Bambey. Malheureusement, sur les 4 autres, le comportement de Mor Ngom nous a obligés à prendre nos responsabilités (…)», a indiqué le ministre lors de la rencontre.

iGFM – (Dakar)  L’Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (Ocrtis) a procédé à l’incinération une importante quantité entre autres de cannabis, de cocaïne et d’héroïne saisis du 1 août au 18 septembre dernier par des éléments de la Police, la Douane et la Gendarmerie au niveau de la région de Dakar.

Le 15 septembre 1957, 23 fils d’Afrique rédigèrent et signèrent ensemble à Thiès le manifeste fondateur du Parti africain de l’indépendance (Pai). Les amis du Pai se sont retrouvés lundi à Douta Seck pour le point d’orgue de ces festivités. Auparavant, ils avaient organisé samedi à la Fondation Rosa Luxembourg une réflexion sur le marxisme, libéralisme et religion : espace de rencontres, espace de rupture.

A défaut d’avoir conquis le pouvoir et transformé la société, les signataires du Manifeste de 1957 comptent leurs disparus. Aujour­d’hui, ils ne sont plus que trois survivants. En eux, est conservée la mémoire vivace d’une génération dont Rufisque était l’épicentre d’une formation aux idées marxistes de transformation sociale de l’ordre établi par le colonialisme français. C’est là-bas, selon Bécaye Diop qui se considère comme un enfant du Pai (Parti africain pour l’indépendance), que ce vivier de jeunes esprits constitués par l’Union culturelle musulmane (Ucm) et les Jeunesses ouvrières catholiques (Joc) a garni les rangs de ce qui allait devenir le Pai dirigé par Majmouth Diop. 

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La coordination de Dakar du Syndicat autonome de l’Enseignement supérieur (Saes) insiste, dans un communiqué transmis, hier, mardi 16 septembre 2014, sur le départ des deux ministres dont la responsabilité est engagée (le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche et le ministre de l’Intérieur), suite à la mort de l’étudiant Bassirou Faye, tué par balle lors des affrontements entre étudiants et forces de l’ordre. 

Le Syndicat autonome de l’Enseignement supérieur (Saes), section Dakar,  a rendu public hier, mardi 16 septembre 2014, une déclaration, pour exiger le départ des deux ministres dont la responsabilité est engagée (le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche et le ministre de l’Intérieur) sur le drame du 14 août où l’étudiant Bassirou Faye a rendu l’âme lors des affrontements entre étudiants et forces de l’ordre. Un préalable nécessaire, selon le Saes, à un apaisement de l’espace universitaire.