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Les informations  générales et dépêches  publiées

LA PRESSE


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L’OBS – Quatre victimes et témoins des crimes commis au Tchad, entre le 7 juin 1982 et le 1erdécembre 1990, sont arrivés à Dakar. Ils ont été confrontés à l’ex-président tchadien,  Hissène Habré, dans le cadre de l’enquête confiée aux Chambres africaines extraordinaires par l’Union africaine.

Après la quatrième commission rogatoire consacrée à l’analyse des ossements et des restes découverts dans les charniers au Tchad, les Chambres africaines extraordinaires (Cae) se sont définitivement installées dans la dernière ligne droite vers l’organisation du procès de l’ex-président tchadien Hissène Habré, prévu à Dakar au mois de mars 2015.

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La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’Homme (Raddho) a appris avec consternation la mort de Charles Paul Alphonse Ndour, migrant Sénégalais tué le 30 août 2014 à Tanger au Maroc, suite à « un accrochage entre habitants d’un quartier de la ville et candidats à l’émigration clandestine », selon la Préfecture de Tanger.

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Karim Wade est plus que convaincu que son procès est purement politique. Le fils de l'ex-président Wade, qui se considère comme “un prisonnier politique”, a laissé entendre à la barre, hier, que “le pouvoir cherche à le condamner afin de l’empêcher de se présenter aux prochaines présidentielles car sa candidature hante le sommeil du président Macky Sall”. 

L’OBS – Depuis le 2e rejet de la demande de constitution de partie civile de l’Etat tchadien par la Chambre africaine extraordinaires (Cae), le Tchad tarde à respecter sa promesse de transférer les complices d’Hissène Habré vers le Sénégal. D’où les craintes de l’Union africaine, du Sénégal et des partenaires, quant à la tenue d’un procès correct.    

L’Union africaine, le Sénégal et les partenaires affichent leurs craintes. 

  Attrait à la barre hier, mardi 02 septembre 2014, Karim Wade ne s'est pas laissé entraîner dans l'interrogatoire sur le fond voulu par la Cour présidée par le magistrat Henri Grégoire Diop. Par le biais d'une déclaration, l'ancien ministre des Infrastructures, de la coopération internationale et de l'énergie s'est prononcé par contre sur toutes les accusations formulées à son encontre. Qui plus est, il a décidé  de ne plus répondre à une quelconque question de la Crei, «tant que Bibo Bourgi ne se sera pas soigné et en état de comparaître». Karim Wade qui s'est adressé pour la première fois à la Cour a expliqué par ailleurs que le pouvoir cherchait à le condamner afin de l'empêcher de se présenter à la prochaine élection présidentielle car sa candidature hante le sommeil du Président Macky Sall.  

Mes lectures de vacances m’ont conduit à vous écrire pour partager avec vous et mon peuple, ce que l’histoire politique, autour d’un grand homme d’Etat, peut sceller pour longtemps dans la voie difficile d’une démocratie toujours à bâtir.  

L’histoire commence ainsi, empruntée au livre d’Alain Frerejean: Georges Pompidou, alors Premier ministre du général de Gaulle, vient de démissionner suite à  une motion de censure de l’opposition. La raison est que le Président de la République veut changer en profondeur l’esprit de la Constitution de la Vème République. De Gaulle refuse sa démission. Pompidou lui répond qu’il n’a plus aucune légitimité pour rester. Le général lui rétorque: «Vous n’êtes pas renversé, puisque je vous garde.»

Soupçonnant une infidélité, il passe les menottes à sa femme et lui coupe des cheveux : le directeur de la police municipale de Poissy (Yvelines) a été mis en examen dimanche 31 août pour violences conjugales et écroué, a-t-on appris par le Parquet de Versailles.

Présenté à un juge d'instruction, il a été mis en examen pour "séquestration", "violences volontaires aggravées" et "menaces de mort" à l'encontre de sa femme, qui a porté plainte vendredi. Il a été placé sous mandat de dépôt.

L'enquête a été confiée à la brigade de protection de la famille de la sûreté départementale des Yvelines.

Après avoir indiqué les modalités de remplacement des 690 élèves-maîtres ayant bénéficié de notes falsifiées à l’occasion du concours de recrutement de la session 2013-2014, le ministère de l’Education nationale porte à la connaissance de l’opinion publique les remplaçants, déclarés admis aux épreuves écrites, sont autorisés à se présenter à l’entretien de confirmation au niveau des Centres régionaux de formation des personnels de l’éducation et de la formation (Crfpe).

Ces candidats, qui sont au nombre de 49 pour l’option «arabe» et 641 pour l’option «français», «ont été retenus par la Commission de délibération, après une vérification minutieuse des notes réellement obtenues, parmi les meilleurs candidats de la liste d’attente et qui auraient été déclarés admis si des fraudes n’avaient pas été opérées»

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L’OBS – «L’habit ne fait pas le moine», a-t-on coutume de dire. Mais le voile ne fait pas non plus la chaste. Si les femmes «Ibadou» sont connues pour leur grand respect des préceptes de l’Islam, il y’en a parmi elles certaines qui utilisent le voile juste pour leurrer leur monde. Comme les filles libérées et friponnes, ces voilées-là sont entre quatre murs de grandes perverses. En cachette, elles font pire que les autres. Et quand leur masque tombe, bonjour les dégâts. C’est le cas de K. Fall. Elève dans une école coranique à Thiès, cette fille âgée d’une vingtaine d’années a non seulement commis le péché de la chair, mais pis, elle a jeté son bébé à la rue après 9 longs et douloureux mois de grossesse

 

Sénégal   Après le séminaire d'harmonisation et les travaux des commissions dans les régions initiés par le comité de pilotage des Assises nationales de l'Education et de la Formation, place désormais à la grande messe nationale sur ce secteur à l'agonie depuis plus d'une décennie. Le ministre de l'Education nationale (Men) lance le pari d'amoindrir les résistances sur les conclusions desdites Assises qui vont au-delà du Programme d'amélioration de la qualité, de l'équité et de la transparence (Paquet). Serigne Mbaye Thiam faisait face à la presse hier, lundi 25 août 2014, au siège du comité de pilotage dirigé par le Professeur Abdou Salam Sall.  

Le spectre d’un début d’échec des directives du conseil présidentiel sur les Concertations nationales sur l’avenir de l’Enseignement supérieur (Cnaes) plane sur les conclusions des Assises nationales de l’Education et de la Formation.