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Sam, Nov
La Une de la Presse

La Une de la Presse (1514)

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LES OFF DU POP DE CE WEEK-END

Pourquoi Mimi faisait de …
L’on en sait maintenant un peu plus sur les véritables raisons qui ont fait que Mimi ne voulait pas lâcher l’onctueux fromage de la Primature. Teigneuse, Mimi a argumenté les raisons pour lesquelles elle estimait ne pas devoir démissionner, demandant plutôt à son patron de prendre ses responsabilités et la limoger. Nos capteurs renseignent que pressée de débarrasser le plancher reluisant de la Primature à la lueur des résultats des Locales, Mimi aurait chèrement vendu sa peau. Elle a dit tout net à son patron qu’elle ne voit pas de raisons de démissionner malgré la défaite à Grand Yoff.

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EN COULISSES : ENQUETE DU WEEK-END

REMPLACEMENT D’AMINATA TOURE - Ces noms qui circulent…
C’ est décidément le temps des grandes manoeuvres. Si des noms de potentiels remplaçants d’Aminata Touré au poste de Premier ministre circulent depuis maintenant…trois mois, la cadence s’est accélérée, décélérée devrait-on dire, depuis lundi dernier, après les élections locales du dimanche 29 juin. Sans qu’on puisse faire avec précision la différence entre ce qui relève de l’intox, de la tentative de liquidation d’adversaires ou de la vraie info, des noms ont vraiment fait le tour de la place dakaroise. Si la mèche Amadou Bâ a été allumée, il y a deux mois, au point d’ailleurs de lui valoir beaucoup de bobos, c’est Abdoulaye Daouda Diallo qui va suivre sur la liste.

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SENETOILE NEWS a le plaisir de vous présenter la Une de l'hebdomadaire Le Témoin N°1171  du Jeudi 03 au mercredi 09 Juillet  2014.

 

Prix 300 francs CFA

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Après quelques jours  d’incertitudes, le président de la République, Macky Sall a pris la décision de  limoger le Premier ministre, Mme Aminata Touré hier, vendredi 4 juillet 2014. Une décision qui survient à la suite de sa défaite aux élections locales, notamment à grand Yoff où Mimi Touré était opposée à Khalifa Sall.

Le président de la République, Macky Sall a mis fin aux fonctions du Premier Ministre, Aminata Touré, hier, vendredi 4 juillet, comme le précise le décret qui est tombé après l’entrevue qu’il lui a accordée dans l’après midi.

Ce limogeage intervient moins d’une semaine après la défaite du Premier ministre aux élections municipales et départementales, dans sa commune de grand Yoff.

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C’est maintenant clair, Aminata Touré n’est plus le chef du gouvernement. Elle a été démise de ses fonctions par le chef de l’Etat Macky Sall après 11 mois passés à la Primature. Un nouveau Premier ministre est attendu dans les heures qui suivent ainsi qu’une nouvelle équipe gouvernementale. 
Aminata Touré n’est plus le Premier ministre du Sénégal. Le chef de l’Etat Macky Sall a mis fin à ses fonctions, hier, dans la soirée, selon un communiqué de la Cellule de communication de la Présidence de la République. « Le président de la République vient de mettre fin aux fonctions du Premier ministre », lit-on dans ledit communiqué. La notification du limogeage a été présentée à l’ancien Premier ministre à 18 heures. Dans la même note qui nous a été transmise, l’on signale que le chef de l’Etat rend hommage à Aminata Touré, le Premier ministre sortant, saluant « son dévouement à ses côtés et la félicite pour le travail accompli dans la quête d’un meilleur devenir pour le peuple sénégalais ». Aussi, le président de la République remercie l’ensemble des membres du gouvernement pour « leur engagement hardi à la tête de leurs départements respectifs et les sait disponibles au service de la République ». 

Mimi Touré est partie, emportant son gouvernement avec elle. Macky Sall a finalement mis fin à ce qui ressemblait à un bras de fer entre lui et son Premier ministre. Sa défaite à Grand Yoff est passée par là, mais aussi celle de nombre de ses hommes malmenés dans plusieurs grandes collectivités locales.

Le coup de sabre est tombé hier sur la tête du gouvernement ! Et c’est le Premier ministre, Aminata Touré qui saute la première. Un communiqué signé par les services de la Présidence indique : «Le président de la République vient de mettre fin aux fonctions du Premier ministre. 

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LES OFF DU POP DE CE VENDREDI

La tension vire…
C’est véritablement la tension au sommet de l’Etat. Et comme fatalement à chaque fois qu’il faut qu’un Premier ministre quitte son poste au Sunugaal, l’affaire en devient quasiment dramatique du fait des manoeuvres des faucons du Palais mais aussi de l’entourage du locataire d’en face. Et actuellement entre SMS et son Pm Mimi, c’est un duel à fleurets mouchetés (pour reprendre la bonne formule de Justin Ndiaye au plus fort de la crise entre 3W et Idy ). La déroute du chef du gouvernement aux Locales a davantage creusé le fossé entre elle et son patron dont les relations ont pris un coup de froid depuis plusieurs mois, malgré les démentis du Pm et de son camp. Actuellement, la résistance faite par le Pm installe un véritable malaise au sommet du pouvoir. SMS s’attend à ce que sa principale collaboratrice tire les enseignements de sa défaite aux Locales à Grand Yoff alors que cette dernière pense qu’il revient à son patron de prendre ses responsabilités en usant, comme l’ont écrit, hier, nos confrères de L’As, de ses prérogatives constitutionnelles pour la démettre.

…au malaise
Deux postures sous-tendues par des calculs politiques. Parce que celui qui prendra l’initiative de la rupture n’est pas forcément celui qui capitalisera le plus sur l’acte. Le Pm qui joue sur plusieurs registres pour ne pas tout perdre, ne compte pas se laisser immoler sans se battre. Selon les faucons  du Palais, à défaut d’avoir une institution où rebondir - ce que son patron n’est pas décidé à faire - le Pm ne compte pas se laisser virer pour bénéficier de l’effet victimisation qui pourrait lui assurer un capital-sympathie au sein de l’opinion. Et si elle campe sans broncher sur ses positions, ses  contempteurs de l’autre bord de l’avenue Léo-poète l’accusent de faire bonnement de la surenchère et d’ourdir des attaques contre la première dame et sa famille.

Mimi raisonnée ?
Ils soupçonnent Mimi de vouloir activer ses porte-flingues pour une guérilla médiatique en accusant la première dame et sa famille, surtout le frère de Marième Faye qui était avec elle sur les listes à Grand Yoff d’être les artisans de sa défaite. Et les jeunes proches de Mimi qui ont fait une sortie, hier, pour s’ériger en boucliers autour d’elle semblent apporter de l’eau au moulin des faucons. Ils estiment que le riz distribué par Adama Faye a eu un effet négatif sur leur campagne (lire en page 3). Et pour limiter, à défaut d’éviter cette effusion, nos capteurs nous soufflent qu’hier nuit, de gros calibres du pouvoir sont allés voir Mimi pour la mettre en demeure de ne pas engager l’épreuve du bras de fer et la raisonner. Seront-ils entendus ? Dans tous les cas, si Mimi persiste à ne pas rendre le tablier, SMS prendra ses responsabilités, selon ses proches. Un dernier «xibaar» qui est tombé tard dans la nuit et qui explique peut être la situation complexe qui sévit au sommet de l’Etat : le Pm a reporté à une date ultérieure la réunion technique interministérielle qui était prévue ce matin.

Ministres inquiets
Drôle de situation dans la galaxie étaticoapériste depuis que les urnes ont révélé le poids politique secret des uns et autres responsables du parti présidentiel et alliés. Ceux qui ont gagné sont sur leur petit nuage, bercé par la douce euphorie d’après victoire. L’auréole au-dessus de la tête, ils rêvent déjà de leur chevalet sur la table du Conseil des ministres. A contrario, les perdants, surtout ceux qui ont fait du forcing n’écoutant pas les directives de SMS, ils voient les flammes de  l’enfer s’approcher dangereusement de leurs pieds. De quoi ne plus fermer «nak» l’oeil. Et pour vous dire qu’ils n’ont plus le temps ni de manger, encore moins de boire ou de dormir, ils sont tous en train d’investir les médias, de monter leurs ouailles pour des argumentaires de défense ou tout bonnement d’investir le milieu devenu quasi interlope des faiseurs de miracles et autres marabouts escrocs. Tout est bon pour tenir sa tête hors de l’eau après le tsunami des Locales. Mais «nak», disent nos capteurs branchés au Palais, rien ne sauvera ceux qui avaient contrevenu aux directives de SMS.

Recours
Le syndrome Podor gagne Saint-Louis. A la suite de la victoire de la liste de la coalition Benno Bokk Yaakaar dirigée par Mansour Faye, Math Fall Baraya contre attaque. Pour dénoncer ce qu’il qualifie de «hold up des élections locales organisé par la coalition BBY et ses complices», la coalition And Dekal Ndar Ak Sopi de Saint- Louis a commis des avocats qui ont déposé un recours auprès de la Cour d'Appel ; le but : obtenir l'annulation de certains centres de vote infectés par une fraude massive. Il faut noter que ce n’est pas seulement sur le terrain judiciaire que Baraya va se battre. Il va organiser une conférence de presse ce lundi prochain. Y en a qui devront se boucher les oreilles. Parce que les «teelë» (détonations) risquent de leur déchirer les tympans. 

Locales à Oussouye
La coalition ADK (alliance pour le développement du Kassa) dirigée par le jeune Tombon Gaye, Pcr sortant de Djimbéring (Oussouye) a gagné largement les Locales dans ce département d’Oussouye devant la coalition Benno Bok Yakaar dirigée par le Vice-président à l’Assemblée nationale, Aimé Assine. Elle a également gagnée des communes comme Santhiaba-Manjac, de Djimbéring… «Au nom de tous les candidats de ADK, je remercie tous ceux qui, de près ou de loin, ont contribué à notre victoire au scrutin municipal et départemental. Nous vous dédions ces deux victoires et comptons bien sur vous pour relever le défi. L'heure n'est pas au triomphalisme car il n'y a pas un camp pour les gagnants différent d'un autre pour les perdants», a déclaré, Tombon Gaye, leader de la dite coalition. «Je tends la main à tous les fils du Kassa à commencer par le député Aimé Assine, Vice-président à l’Assemblée nationale. La construction de notre département ne peut se faire que dans l'unité», a-t-il lancé à l'endroit de son adversaire malheureux de Bby. 

Jules veut le Pds
Bien qu’étant battu aux Locales, Souleymane Ndéné Ndiaye veut diriger le Parti (ex)dolécratique sunugaalien. Et Dieu sait que ce n’est pas une formule empruntée puisque l’ancien Pm l’a clairement dit à Njomboor, at- on appris de l’Aps. Jules Ndéné déclare : «Quoi qu’on dise, le Pds appartient à (Njomboor) et je sais qu’il réfléchit sur sa prochaine structuration. Et il sait, et je lui ai dit que je suis candidat à sa succession à la tête de la formation où je milite depuis 1974». Et ce n’est pas tout puisque le candidat à la succession de 3W ajoute : «Après un passage à Guinguinéo où j’étais en mission politique depuis 93, je suis venu me jauger à Kaolack, conquérir une base. Et j’ai constaté un potentiel fort dans le département avec un score de 22 704 voix et cela a une signification politique ». Omar Sarr appréciera. 

Prouesse
Combattu par ses frères de parti, Mamadou Thiaw leader de l’Apr au niveau de la commune de Tassette, qui est parti sous sa propre bannière est sorti vainqueur lors des locales avec 1302 voix. Sur les 12 bureaux de vote, il est sorti victorieux avec un taux de 72%. Aujourd’hui ce leader de l’Apr est devenu maitre chez lui, grâce à une victoire écrasante face à ses adversaires. Pour l’actuel maire, ses adversaires ont voulu marginaliser et exclure de potentiels candidats au renouvèlement du leadership de l’Apr. Un acte qui leur a valu cet échec. «Ils ont voulu faire fi de mon engagement pendant les élections présidentielles dernières ou j’ai engagé toutes mes ressources et mon réseau personnel pour une victoire éclatante de l’Apr à Tassesse». Malgré tout, l’actuel maire a témoigné son ancrage social dans le parti Apr.

Ndiaffate
L’Union des forces nouvelles (Ufn), une coalition née des querelles intestines de Bby et de l’Apr se réclamant de la mouvance présidentielle a gagné la commune de Ndiaffate, qui depuis la réforme territoriale et locale était aux mains du Parti socialiste. Cette coalition était dirigée par un trio de jeunes intellectuels que sont Babou Sarr, Astou Ndiaye et Samba Touré. Ecartés des listes de Bby, ils se sont rebellés et ont quitté la coalition. Ils ont gagné les élections locales avec plus de 200 voix, laissant derrière eux Bby, Benno Siggil Sunugaal et Bess du niak. 

Précision
Précision de taille à propos du chiffre de 100 millions de touristes chinois dont a parlé hier le ministre du Tourisme. Eh bien, selon ses services de presse, contrairement à ce que nous avons écrit hier, il ne s’agit pas de 100 millions de touristes chinois attendus au Sunugaal, mais bien dans le monde. Voilà ce qu’a exactement dit Oumar Guèye, à l’occasion de la première revue du Programme de réformes de l’environnement des affaires et de la compétitive (Preac) : «Nous connaissons bien les marchés pour lesquels nous devons faire des actions. Il y a le marché français qui représente bien évidement 47% des touristes mais il y a d’autres marchés notamment la Chine. Et le président de la République, lors de son dernier voyage en Chine, a obtenu quelque chose d’important. C’est le fait que le Sénégal soit déclaré pays de destination touristique pour la Chine. Et cette année, il y aura 100 millions de touristes chinois dans le monde».

Ngorsi rafle les communes et…
Les élections locales de 2014 ont créé des surprises au niveau du département de Thiès. La commission départementale et municipale de recensement des votes a sorti hier les résultats définitifs largement favorables à la coalition And Défar Thiès de Ngorsi Seck qui rafle les communes et le département. Ainsi sur 127 237 suffrages valablement exprimés And Défar Thiès rafle 49 730 voix, soit 45 sièges pour la majoritaire et 21 sièges pour la proportionnelle. Au total Ngorsi se retrouve avec 66 sièges. Quant à Benno Bokk Yakaar, elle obtient 17 sièges avec 39 977 voix. Elle est suivie de Ress les verts (3 sièges), Bess du nak (3), Gueum sa Bopp (2), Changer ak El Malick (1).

.. le département de Thiès
Un véritable renversement de tendance quand on sait que le département n’a jamais était le fort de Ngorsi Seck. En effet, le Rewmi a toujours été battu au niveau du département par le Parti (ex)«démocratique» sunugaalien. Ces résultats confirment l’hégémonie de la coalition And Défar Thiès qui a aussi raflé toutes les trois communes d’arrondissement de Thiès-ville. A Thiès-Est, And défar Thiès est venue en tête avec 10 663 voix, soit 54 sièges suivie de Bby avec 4454 voix, soit 7 sièges. A Thiès-Ouest, la coalition de Ngorsi a viré en tête avec 6473 voix, soit 50 sièges contre 5243 voix (7 sièges) pour Bby. Au niveau de Thiès- Nord, And Defar Thiès remporte 49 sièges avec 7558 voix. et Bollo Défar Thiès dirigé par Mamadou Dieng suit avec 7 sièges talonnée par Bby.

Apr Thiès
Après les mauvais résultats aux Locales, place est maintenant aux règlements de comptes. Eh bien la jeunesse «apériste» de la commune de Thiès est montée au créneau hier pour dénoncer l’attitude adoptée par certains leaders de leur parti lors des élections. Pour ces jeunes qui faisaient face à la presse, «si les élections sont perdues à Thiès c’est tout simplement la cause à des leaders comme Thierno Alassane Sall et son Directeur de cabinet qui ont créé des listes parallèles pour combattre le Bby». Par conséquent, ils demandent à SMS par ailleurs Président de l’Apr de sanctionner les initiateurs de ces listes parallèles et les responsables qui ont perdu. Ainsi la jeunesse «Apériste» déclare qu’il est grand temps que l’ordre, la discipline et l’unité prévalent à Thiès pour que le parti puisse prétendre gagner les batailles électorales à venir.

 

SOURCE:http://www.seneplus.com/article/les-du-pop-de-ce-vendredi-11

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EN COULISSES : ENQUETE DE CE VENDREDI

AMINATA TOURE REFUSE DE DEMISSIONNER - De grosses pointures de l’APR pour la raisonner
Les manoeuvres se poursuivent dans ce qu’il est convenu d’appeler le feuilleton Aminata Touré. Il nous revient, de sources dignes de foi, que des personnalités du régime, au plus haut sommet, sont allées voir le Premier ministre, pour lui demander de ne pas s’inscrire dans une dynamique conflictuelle. Et de faciliter les choses au Président. Des conseils qui, nous dit-on, avaient des allures de mise en garde. Nos sources assurent qu’Aminata Touré, apparemment en situation de force, a prêté bonne oreille à ses interlocuteurs tout en leur assurant de rien faire qui puisse contrarier le Président. Mais jusque hier tard dans la nuit elle a  refusé de rendre le tablier, préférant mettre le président devant… ses responsabilités. Car le Premier ministre veut s’ériger en victime.

Macky-Mimi
Il est temps, mais vraiment temps que le chef de l’Etat se décide parce que depuis trois semaines au moins, les gens ne travaillent pas au Sénégal. Après la précampagne, la campagne, maintenant tout le monde a les yeux rivés sur le Palais de la République. En effet, tout le monde attend patiemment et impatiemment le prochain remaniement ministériel. La plupart de ceux qui sont en poste se trouvent dans l’expectative, ne sachant pas à quelle sauce ils vont être bouffés par le chef de l’Etat. Ceux qui ont gagné (même dans des trous de 1000 habitants) passent leur temps à prier, à appeler les journalistes et à consulter des marabouts pour espérer entrer dans le gouvernement.

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Un succès du Plan Sénégal émergent passe par des réformes profondes, estime le Fonds monétaire international (Fmi) dans sa septième revue de l’Instrument de soutien à la politique économique (Ispe).
Si le Fonds monétaire international (Fmi) convient que le Plan Sénégal émergent (Pse) « offre un bon diagnostic et une vision » pour notre pays, il estime cependant nécessaire de « grandes réformes » pour assurer son succès. Dans son rapport relatif à la septième revue de l’Instrument de soutien à la politique économique (Ispe) le Fonds diagnostique les faiblesses auxquelles le Sénégal doit se débarrasser. D’abord, il estime que le manque d’efficacité économique de notre pays explique sa croissance modeste ces dernières années. C’est pour inverser cette tendance que l’Etat a lancé le Pse afin d’atteindre des taux de croissance de 7 à 8 % sur une période de dix ans.