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La Une de la Presse

La Une de la Presse (1514)

samedi, 30 octobre 2021 16:38

Coup d’Etat au Soudan : L’irréparable

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Le Premier ministre, Abdallah Hamdok, a été arrêté lundi 25 octobre 2021 à son domicile, ainsi que les autorités civiles au sein de la cellule en charge de la transition. Un air de déjà vu au Soudan ? Oui, c’est un coup d’Etat militaire mené par le général Abdel Fattah Al-Bourhane.

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A la suite des plaidoiries, hier, au tribunal de grande instance de Mbour, où se déroule, depuis mardi dernier, le procès des Thiantacounes, le procureur Youssoupha Diallo a prononcé un réquisitoire sans appel pour tous les accusés. Il demande la prison à vie et requiert un mandat d’arrêt contre le guide des Thiantacounes Béthio Thioune. A qui il conseille de se constituer prisonnier, parce qu’il ne pourra pas faire appel, s’il est jugé par contumace.

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 	 BATAILLE POUR LE CONTRÔLE DES CANDIDATS RECALÉS DU C25 IDY «DEVANCE» MACKY ET SONKO

 La bataille pour le débauchage des ex-candidats à la candidature membres du C25 fait rage entre les cinq autorisés par le Conseil constitutionnel à prendre part au prochain scrutin électoral présidentiel dont le premier tour est prévu le 24 février prochain. A moins de vingt quatre du démarrage officiel de la campagne électorale, cette guerre de séduction semble tourner, pour le moment, en faveur du candidat de la coalition «Idy 2019» qui a réussi à enrôler quatre des cinq candidats recalés qui se sont jusqu’ici déterminés. Idrissa Seck est suivi par le président sortant et le candidat de la coalition «Sonko Président » accrédité chacun d’un soutien pour le moment. 

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Sénégal Recalé par le système du parrainage, malgré sa tentative de régulariser ses 8.888 parrains rejetés pour doublon, le candidat de la Grande coalition de l’espoir “Suxali Senegaal“, Malick Gakou est désormais hors course pour la présidentielle de février prochain. Plus chanceux que lui, les candidats des coalitions “Idy 2019“ et “Madické 2019“ ont tous validé leur parrainage. Ils sont, à présent, 7 candidats à la candidature à avoir passé ce filtre du parrainage.  

Le sabre des «7 Sages» a encore frappé, après avoir invalidé la candidature d’une vingtaine de candidats à la candidature par le filtre du parrainage. Cette fois-ci, c’est le candidat de la grande coalition de l’espoir “Suxali Senegaal“ qui en a fait les frais. En effet, invité par le Conseil constitutionnel à régulariser 8.888 parrains rejetés pour doublon, Malick Gakou qui avait pourtant déposé le nombre qui lui a été demandé a vu certains de ses parrains invalidés par le Conseil constitutionnel. Au sortir de son audience avec les «7 Sages» hier, mardi 8 janvier, le leader du Grand parti a exprimé toute sa désolation.

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Sénégal

 Oumar Sarr,  le Secrétaire national adjoint du Pds, est formel. Malgré la ferme conviction de son parti que Karim Wade peut valablement briguer les suffrages des Sénégalais lors de la prochaine présidentielle, il ne faudra pas trop compter sur le Conseil Constitutionnel au vu de ce que cette institution a montré lors des dernières élections législatives. Le coordonnateur en second du premier parti de l’opposition qui était l’invité de l’émission Grand Jury de la Radio futurs médias (Rfm) d’hier, dimanche 23 décembre 2018, a tenu à faire d’ailleurs savoir qu’il ne servira à rien de rêver et qu’il faudra surtout se préparer à un combat  éminemment politique pour imposer la candidature de Karim Wade. Non sans revenir sur la disposition du Pds à bloquer l’organisation de l’élection présidentielle si le fils de Wade n’est pas candidat et sur la problématique du Plan B dans le parti libéral. 

 

 Sénégal Le leader du parti Pastef ne trouve rien de grave dans les propos qu'il avait tenus sur les anciens dirigeants de ce pays, de 2000 à nos jours, et qui font aujourd’hui débat. En conférence de presse hier, mardi 16 octobre, il a tenu à dénoncer la campagne de diabolisation menée contre sa personne par le pouvoir en place qui chercherait à le mettre à mal avec… Me Abdoulaye Wade. Un ancien président qui lui aurait exprimé tout son soutien, avec qui il serait en discussions suivies, en perspective de la présidentielle, et qu’il compte d’ailleurs rencontrer prochainement au Qatar. 

Sénégal La récente sortie de feu Mamadou Diop, ancien maire de Dakar, pour disculper l’actuel maire, Khalifa Ababacar Sall, dans l’affaire dite de la caisse d’avance, les louanges de ses pairs de l’AIMF comme les nombreuses manifestations ou interventions de certaines autorités coutumières et/ou religieuses de ce pays, ne changeront rien au verdict. La décision du juge Malick Lamotte est tombée hier, vendredi 30 mars, au tribunal de Dakar et elle est sans appel. Elle condamne  Khalifa Ababacar Sall  à une peine de 5 ans d’emprisonnement ferme. Désormais coupable, selon le juge Lamotte, de « faux et usage de faux en écriture de commerce, de faux et usage de faux dans les documents administratifs et d’escroquerie portant sur les deniers publics », l’édile de Dakar, Khalifa Sall, n’a eu de cesse de clamer son innocence.

Sénégal Ousmane Sonko, leader de Pastef/Les Patriotes se dit déçu des six ans du président Sall à la tête du pays. Invité du jour de l’émission Objection de la radio SudFm hier, dimanche 25 mars, le député et opposant au régime de Macky Sall a fait savoir que « le Pse est un programme qui va tout faire sauf le développement économique du Sénégal» avant de nier les performances économiques annoncées par le régime. Le président du parti Pastef, Ousmane Sonko, a craché hier, dimanche 25 mars, sur le bilan des six ans du président Macky Sall à la tête de l’Exécutif. Invité du jour de l’émission Objection de la radio Sud Fm, le leader des Patriotes a indiqué qu’à titre personnel, c’est une «déception» qu’il retient des six années du président Sall à la tête de l’Etat sénégalais.

Sénégal Le Président Macky Sall est décidé à traquer et punir toutes les personnes responsables des rapts et assassinats d’enfants constatés ces derniers temps-ci au Sénégal. De retour de Kigali  (Rwanda) où il a signé l’accord de libre-échange continental, le chef de l’Etat a fait part de son engagement résolu à mettre fin aux nombreux cas d’enlèvements d’enfants suivis de meurtres en mettant à contribution toute la force publique du Sénégal. Macky Sall s’exprimait hier, vendredi, sur les ondes de la Rfm. Le président de la République, Macky Sall, a vivement déploré hier, vendredi 23 mars, les nombreux cas d’enlèvements d’enfants suivis de meurtres notés ces temps-ci au Sénégal. « J’ai appris avec beaucoup de consternation et de douleur ces rapts d’enfants suivis de meurtres », a ainsi déclaré le chef de l’Etat sur les ondes de la Rfm.  Selon le président, les mesures nécessaires seront prises pour mettre un terme à ce phénomène. « J’ai déjà donné des instructions les plus fermes au ministre de l’Intérieur, au ministre des Forces armées pour que la police, la gendarmerie, disons tous les services de sécurité de l’Etat, les renseignements puissent se mobiliser pour traquer ces malfaiteurs et les traduire devant la justice », a-t-il dit.

VAIDEHI Décidément, la guerre des mots entre Idrissa Seck et le pouvoir en place, en perspective de la présidentielle de 2019, ne cesse de rebondir. Cette fois, c’est en visite à Saint-Louis, dans le cadre de sa tournée nationale, que le patron de Rewmi s’est vivement attaqué à la gestion de Macky Sall, en critiquant ouvertement les nouveaux accords de pêche devant être entérinés d’ici le 31 mars prochain, entre le Sénégal et la Mauritanie. En réplique, le ministre de l’Economie maritime Oumar Guèye a tout simplement parlé de la « première bourde diplomatique » de l’ancien Premier ministre et opposant déclaré de Macky Sall à la présidentielle de 2019.  Idrissa Seck est revenu à l’attaque avant-hier, samedi 17 mars, contre le pouvoir de Macky Sall qu’il compte affronter à la présidentielle du 24 février prochain. Cette fois, c’est de Saint-Louis où il poursuivait sa tournée nationale, après l’étape de Touba, que l’ancien Premier ministre du Sénégal a contesté de nouveau la gouvernance Macky Sall. Après avoir dénoncé en son temps le contrat gazier conclu entre Dakar et Nouakchott, le patron de Rewmi s’est porté-en-faux contre les nouveaux accords de pêche devant être entérinés, le 31 mars prochain, entre le Sénégal et la Mauritanie.