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Jeu, Nov
JUSTICE

JUSTICE (60)

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Si le tribunal correctionnel de Dakar suit la demande du Parquet, l'ancien président de la Jeanne d'Arc de Dakar et son ex-comptable, Abdou Dieng, risquent d'écoper 3 et 2 ans de prison ferme.
10 ans après cette fameuse transaction, le monstre noir rôde toujours. De ses longues dents pointues, il menace de dévorer goulûment Momar Ndiaye et Abdou Dieng. Anciens dirigeants du club de la Jean d'Arc de Dakar, Ndiaye et son ex-comptable risquent de retourner en prison.

A 10 jours de l’ouverture du procès de Karim Wade, c’est la guerre des nerfs. Dans un communiqué repris par nos confrères de L’As, les avocats du fils de Me Abdoulaye indiquent : « les autorités diplomatiques françaises ont récemment indiqué qu’une commission rogatoire internationale, émanant de l’Etat du Sénégal, serait en cours d’exécution en France dans la procédure diligentée à l’encontre de Monsieur Karim Wade. Nous tenons à indiquer que les autorités judiciaires françaises nous ont, au contraire confirmé, qu’aucune commission rogatoire n’était en cours d’exécution en France depuis le 16 avril 2014, date de l’arrêt de renvoi devant la Crei de Monsieur Karim Wade et de ses présumés complices. » 

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Selon L’As, avant de prendre les airs pour la France où il se trouve depuis une semaine, Me Abdoulaye Wade a reçu beaucoup de gens, et parmi eux, des émissaires du pouvoir. Au cours des rencontres entre l’ancien Président et ses hôtes particuliers, l’affaire Karim Wade s'est invitée au cœur de la discussion.


Il ressort de confidences que des propositions ont été faites à l’ancien Président de cesser ses insistantes attaques contre les tenants du pouvoir, et en premier contre son successeur, Macky Sall. En contrepartie de cet armistice, un traitement magnanime sera réservé au dossier de son fils empêtré dans la procédure des biens présumés mal acquis et écroué depuis le 17 avril 2013.

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DAKARACTU.COM Comme annoncé en exclusivité par Dakaractu, la commission en charge de l'affaire Karim Wade a fini par statuer sur la demande de mise en liberté provisoire introduite par le pool de ses avocats.
Et la Crei a tout simplement opposé une fin de non recevoir à cette requête. Ainsi, Wade fils va devoir garder encore son mal en patience jusqu'au 31 Juillet prochain (date prévue pour son procès).

Quid de la mise en demeure d'Abdoulaye Baldé? 

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Un des acteurs clés de la Françafrique, Me Robert Bourgi explique, dans cet entretien, les fondements. Sur l’affaire Karim Wade, l’avocat a déclaré que le président Macky Sall ne lui a jamais demandé de faire une médiation. Proche de l’ancien chef de l’Eat français, il affirme que Sarkozy aurait pris connaissance de son discours de Dakar dans la voiture qui le conduisait à l’université.

Tahibou Ndiaye, l'ancien directeur du Cadastre, a bénéficié d'une liberté provisoire. Mais il restera toutefois sous contrôle judiciaire. Les juges de la commission d'instruction de la Cours de répression de l'enrichissement illicite (CREI) en ont décidé ainsi hier mardi 3 juin 2014.

 

 

Le mandat de dépôt de Tahibou Ndiaye, a été levé hier, mardi 3 juin 2014. L’ancien directeur du Cadastre peut recouvrer la liberté (provisoire) tout en restant sous contrôle judiciaire, les juges de la commission de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) l’ayant décidé ainsi. 
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La Fédération internationale des ligues des  droits de l’homme (Fidh) a déposé hier, lundi 2 juin une plainte auprès du procureur de la République du Sénégal, avec constitution de partie civile, contre le policier Paul Mwilambwé, pour assassinats des défenseurs des droits de l’homme congolais Floribert Chebeya et Fidèle Bazana le 2 juin 2010 à Kinshasa. Cette organisation internationale des droits de l’homme exhorte la justice sénégalais à ouvrir une procédure judiciaire contre le présumé meurtrier des deux hommes.

 

Les avocats du Groupe d’action judiciaire de la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (Fidh) et des familles de Floribert Chebeya et Fidèle Bazana, les deux défenseurs des droits de l’homme congolais assassinés le 2 juin 2010, ont déposé une plainte auprès du procureur de la République du Sénégal, avec constitution de partie civile, contre Paul Mwilambwe. L’annonce a été faite hier, lundi 2 juin par la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme (Fidh) lors d’une conférence de presse à Dakar. 

Cheikh Yérim Seck a poussé, hier après-midi, les portes du Cap Manuel pour retrouver la chaleur familiale. Comme annoncé depuis hier par le ministère de la Justice, le patron du site d’informations générales Dakar-actu.com a obtenu une liberté conditionnelle. D’après l’entourage du ministre de la Justice, cette décision est motivée par le comportement de M. Seck qui remplirait toutes les conditions justifiant sa mise en liberté conditionnelle.

Il fait partie d’une vague de 800 détenus qui ont bénéficié de cette mesure judiciaire à l’image de Tamsir Jupiter Ndiaye qui a recouvré la liberté depuis quel­ques semaines. Il faut rappeler que cette décision fait partie de la nouvelle politique instaurée par Me Sidiki Kaba pour désengorger les prisons sénégalaises. 

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DAKARACTU. COM «J'interpelle les hommes et femmes qui incarnent les instituions à prendre leurs responsabilités. Il y a des gens animés par la volonté de détruire. Ce sont des revanchards». Ces propos sont Youssou Ndour , le ministre conseiller auprès du président Macky et non moins chanteur vedette. D’après nos confrères de Ndar Info qui rapportent ces propos, il réagissait  à propos des remous provoqués par la dernière sortie de Sidy Lamine Niasse accusant le président Sall de s'être enrichi illicitement. Le leader du mouvement ‘’Féké ma thi boolé’’ aurait aussi ajouté qu’il y a « trop de laisser-aller dans ce pays. 

Condamné en première instance à deux (2) ans de prison assorti de sursit, le maire de Dakar était ce matin à la barre de la Cour d’Appel pour démolition de biens appartenant à autrui. Le dossier qui n’a pas se tenir aujourd’hui pour nouvelle constitution du côté de la défense, Khalifa Sall est renvoyé au 15 janvier prochain pour être fixé sur son sort. 

« Il s’agit d’une affaire qui avait fait l’objet d’une première condamnation. Khalifa Sall avait été attrait à la barre du Tribunal conventionnel pour les faits de violation de domicile et de démolition de bien appartenant à autrui, il a été jugé et condamné par défaut.