PRISON DE REBEUSS - Pourquoi Karim Wade ne reçoit plus tous azimuts
Vrai… Il se susurre que c'est la demande sociale qui l'a tellement agacé que le détenu le plus célèbre détenu de la prison de Rebeuss n'est plus disposé à agréer le défilé des visiteurs qui se bousculent devant sa cellule. Selon des sources biens informées de la cuisine de chez les Wade, Karim a fini d'être ulcéré par tous ses parasites qui ne viennent lui rendre visite que pour lui soumettre leurs difficultés, oubliant de fait que son cas lui suffisait largement. Car il est emprisonné depuis le 17 avril 2013. Et en plus de ces abonnés à la demande sociale qui cherchent solution à leurs problèmes jusqu'auprès de ceux qui sont en prison, Karim Wade a assez de recevoir certains qui, quand ils viennent le voir, prennent des engagements pour lesquels des sous leur sont remis, mais qui en fin de parcours ne remplissent pas leur part de contrat. Notre interlocuteur d'ajouter que Karim n'est pas seul dans ce cas.
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Libération d'Aïda N'diongue : Ça chauffe au palais de Justice
Le juge, Amadou Diouf, ancien conseiller à la Cour d'appel de Kaolack, qui a rendu la décision de la 3e Chambre correctionnelle de Dakar relaxant Aïda N'diongue et Cie, est dans tous ses états. Le magistrat n'a pas apprécié le communiqué du parquet. Les qualificatifs utilisés pas le procureur qualifiant la décision "d'illégale" et "troublante" n'ont pas été du goût du magistrat.
D'ailleurs, selon certains de ses collègues magistrats à qui il s'est confié, le juge correctionnel a manifesté sa volonté de saisir l'Union des magistrats du Sénégal (Ums).
Abdoulaye Wade : «La Cour suprême devra prendre exemple sur l’affaire Aida Ndiongue»
«Je félicite les juges pour la relaxe pure et simple de Aida Ndiongue. C’est pourquoi j’ai toujours dit qu’il ne faut pas mettre tous les magistrats dans le même sac. Il y a des magistrats honnêtes. Ils ne sont pas tous malhonnêtes», fulmine le secrétaire général du Pds lors d’une réunion du comité directeur, hier.
Verdict de l’affaire jaxaay- après 18 mois de détention la justice blanchit Aïda Ndiongue
Rebondissement dans l’affaire du Plan Jaxaay et de ses produits phytosanitaires ! Après dix-huit mois (18) mois) de détention, le tribunal correctionnel de Dakar a purement et simplement relaxé hier, jeudi 28 mai, les co-prévenus Aida Ndiongue, ex-sénatrice libérale, Abdoul Aziz Diop, ex-coordonnateur du Plan Jaxaay, ainsi qu’Amadou Ndiaye et Madou Sall, tous deux comptables. Qui plus est, le juge a ordonné la main levée sur tous les biens saisis, tout comme la restitution des avoirs de la ponte libérale. Pour autant, ses avocats ont annoncé une enquête parlementaire afin d’entendre le procureur, le juge d’instruction et l’ancien Garde des sceaux, Aminata Touré.
Aïda N'diongue se défend : «On a voulu me mettre en prison mais, j’ai livré tout le matériel»
Il ressort des faits que des entreprises de l’ancienne Sénatrice libérale avaient gagné des marchés du Plan «Jaxaay» et devaient livrer au ministère de l’Habitat 5 000 bacs à ordures évalués à 1,593 milliard F Cfa, 5 000 tentes pour un coût de 5 milliards F Cfa, 500 motopompes estimés également à de 5 milliards F Cfa et des produits phytosanitaires. En, plus elles devaient livrer des outils à l’Agence nationale de la maison de l’outil (Anamo). Mais, l’accusation a découvert qu’aucun de ces matériels n’a été livré alors que le ministre de l’Habitat avait déjà payé le matériel. A la barre de la troisième chambre correctionnelle, Libération révèle que les prévenus ont battu en brèche les accusations portées à leur encontre.
Chambre d’accusation : La liberté provisoire refusée à Aïda Ndiongue
C’est un non ! Aïda Ndiongue ne passera pas le nouvel an en famille. La Chambre d’accusation de la Cour d’appel qui statuait ce matin sur la demande de liberté provisoire de Aïda Ndiongue et Abdoul Aziz Diop a rejeté leur demande, informe la Rfm. Les juges ont suivi le réquisitoire du parquet qui avait demandé une confirmation de l’ordonnance de refus du juge du 2e cabinet d’instruction. Au motif que les deux prévenus n’auraient pas versé la caution égale à près de 20 milliards francs CFA, au titre du présumé préjudice.
La Une d'Enquêteplus - 10 heures d’audition devant le juge Aïda Ndiongue se rebelle
«Nous ne ménagerons aucun effort pour parvenir à un dénouement heureux de votre affaire»
L'OBS - Lors de sa visite, vendredi dernier, à Aïda Ndiongue, en détention à la Maison d’arrêt pour femmes de Liberté VI, Me Abdoulaye Wade a rassuré la dame d’affaires de sa détermination à la sortir de prison.
Abdoulaye Wade est un dur parmi les durs. Mais force est de reconnaître qu’il a été profondément touché après sa visite auprès d’Aïda Ndiongue. Cette dernière, depuis sa cellule de Liberté VI, a servi au Pape du Sopi un discours concis et très poignant sur les pressions exercées sur sa personne et ses biens, quelques mois avant son interpellation. Aussi, l’ancienne sénatrice a exposé à Me Wade les péripéties de son arrestation et les conditions de sa détention.
CREI - Décision de la Commission d’instruction : Aïda Ndiongue en salle d’attente
Aïda Ndiongue est encore attendue devant la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Le Quotidien a appris que les juges n’ont pu examiner, mercredi, le réquisitoire du procureur spécial parce que «le président de la Commission d’instruction n’était pas sur place». Elle devra donc y retourner «vendredi ou lundi prochains», apprend-on. Alioune Ndao avait reçu lundi les réponses de Mme Ndiongue à la mise en demeure qu’il lui avait servie. A l’arrivée, le procureur spécial n’a pas été convaincu par les justifications de la responsable libérale.
Dernière minute-Aida Ndiongue déboutée
iGFM (Dakar) L'ancienne sénatrice libérale, Aida Ndiongue a été déboutée de sa requête d'annulation des poursuites contre elle. Le dossier Aida Ndiongue devait repasser aujourd'hui devant la Chambre d’accusation.
CREI - L’ex-sénatrice libérale mise en demeure : 30 jours chrono pour Aïda
Le procureur spécial Alioune Ndao a finalement servi à Aïda Ndiongue une mise en demeure. La Libérale a un mois pour justifier un patrimoine de plus de 41 milliards à lui reproché.
Aïda Ndiongue est passée hier à la Cour de répression de l’enrichissement illicite pour «récupérer» sa mise en demeure. Alioune Ndao doute, en effet, de la licéité de l’origine des 41 milliards 140 millions 158 mille 846 F Cfa de l’ex-sénatrice libérale. Mme Ndiongue a donc un mois, comme le dispose la loi portant création de la Crei, pour justifier ce patrimoine.