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Ouztaz Taïb Socé : « Il faut que la Oummah islamique lutte pour instaurer la Charia au Sénégal »
L’islamologue en service dans le Groupe Futurs Médias, Oustaz Taïb Socé, pense que la recrudescence de la criminalité s’explique par « l’absence d’une loi qui terrifie les hommes…Il y a trop de laisser aller dans notre pays qui est à majorité musulmane, mais ne pratique pas la loi divine, la Charia. Et cela a favorisé le nombre de violences noté ces derniers temps. L’abolition de la peine de mort aussi y a joué un grand rôle», dit-il dans «L’Observateur».
Arabie Saoudite: les femmes veulent choisir leur mari
C’est une première en Arabie Saoudite, et c’est le ministère saoudien de la Justice qui le révèle dans la presse locale. Ces deux dernières années à Jeddah et Riyad, 382 femmes ont osé porter plainte contre leurs parents qui les empêchent de se marier avec l’homme de leur choix. Cela semble peu mais au regard d’une société conservatrice comme l’Arabie Saoudite, c’est le signe que les Saoudiennes sont désormais prêtes à défier l’ordre moral dans les familles, et à ne plus accepter la décision du père de famille ou le poids des traditions. Un petit vent de rébellion soufflerait-il en Arabie Saoudite ?
Avec notre correspondante à Riyad, Clarence Rodriguez
Une jeune femme enceinte condamnée à mort pour apostasie (vidéo)
La jeune femme, mariée à un chrétien du Soudan du Sud, a été condamnée à cent coups de fouet et à la pendaison, provoquant la colère des Etats-Unis et du Royaume-Uni.
Née d'un père musulman, Meriam Yahia Ibrahim Ishag a été condamnée en vertu de la loi islamique en vigueur au Soudan depuis 1983 et qui interdit les conversions sous peine de mort.
«Nous vous avions donné trois jours pour abjurer votre foi mais vous avez insisté pour ne pas revenir vers l'islam. Je vous condamne à la peine de mort par pendaison», a déclaré le juge Abbas Mohammed Al-Khalifa à l'adresse de la jeune femme, voilée et vêtue d'une robe traditionnelle soudanaise, qui est restée impassible.
Avant le verdict, un chef religieux musulman avait en vain cherché à la convaincre à retourner à l'islam, mais elle a avait dit calmement au juge: «Je suis chrétienne et je n'ai jamais fait acte d'apostasie».