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L’humoriste Claudia Tagbo est en couple depuis très longtemps avec son compagnon. Et si elle a toujours eu très envie de se marier, celui-ci ne semble vraiment pas décidé à se présenter devant M. le maire : il ne cesse de refuser ses demandes !

Je suis une femme de 35 ans, merci d'ailleurs à l'equipe de ce site de m'avoir permis de poster ici. Je vis en Europe et je travaille. Dieu merci. Seulement mon mari me fatigue beaucoup, il ne fait rien. J'ai beau parlé mais lui ne pense qu'a trainer avec ces amis ou a trainer en boite. Il me dit tout le temps qu'il cherche du travail mais rien. De plus j'envoi tout le temps de l'argent à sa place et je suis fatigué. Le pire est que son probléme c'est alcool . Il n'arrete pas de boire et quelques nuits défois il me bat. J'aime toujours mon mari mais quelque fois je pense à divorcer.

  Même si la question n’est pas souvent soulevée dans les places publiques, l’infidélité des femmes mariées est de plus en plus constatée dans la société sénégalaise. Le fait alimente souvent les discussions dans les quartiers et les réseaux sociaux. Les personnes interrogées donnent les raisons de la propagation  de cette pratique dans une société où souvent la sexualité est un sujet tabou. L’occidentalisation de la société fait le lit de certaines libertés qui riment souvent, hélas, avec libertinage. Résultat des courses, l’épouse revendique son espace de liberté, de vie privée à l’intérieur du couple. Un espace dont l’accès est strictement interdit au mari légitime.  

iGFM – (Dakar) A Chengdu dans le Sichuan en Chine, une femme a été vue portant la robe de mariée la plus longue du monde.

La traine de la robe est longue de 4km de long pèse 50 kilogrammes. Un mois de travail et 5.000 euros -soit le salaire annuel d’un Chinois moyen- auront été nécessaires à sa conception.

C’est une première en Arabie Saoudite, et c’est le ministère saoudien de la Justice qui le révèle dans la presse locale. Ces deux dernières années à Jeddah et Riyad, 382 femmes ont osé porter plainte contre leurs parents qui les empêchent de se marier avec l’homme de leur choix. Cela semble peu mais au regard d’une société conservatrice comme l’Arabie Saoudite, c’est le signe que les Saoudiennes sont désormais prêtes à défier l’ordre moral dans les familles, et à ne plus accepter la décision du père de famille ou le poids des traditions. Un petit vent de rébellion soufflerait-il en Arabie Saoudite ?

Avec notre correspondante à Riyad, Clarence Rodriguez