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Lun, Avr
SENETOILE NEWS

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Les 2,5 milliards que ce plan aura coûtés sont passés par pertes et profits, et le gouvernement a chargé l’administration sénégalaise de réfléchir à marches forcées à un autre plan de remplacement. Ce dernier devra toutefois intégrer les éléments positifs de la Sndes et du Pse, pour ne pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Surtout que l’eau aura coûté si cher.

Afin de préparer le Club consultatif de Paris avec les différents bailleurs de fonds, quasiment tous les services de l’Administration sénégalaise sont mobilisés. Des réunions se tiennent régulièrement, et rassemblent tous ceux qui sont jugés susceptibles d’apporter une touche positive au document qui sera soumis par le Sénégal à ses partenaires à Paris. Car, depuis qu’on avait commencé à parler du Plan Sénégal Emergent (Pse), tout le monde avait compris que, dans l’esprit du chef de l’Etat Macky Sall, la Stratégie nationale de développement économique et social (Sndes) n’entrait plus dans ses projets pour le développement du pays, et par conséquent, ne devait pas servir de base de discussion avec les bailleurs de fonds à Paris. 

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Le ministre du Plan, Abdoulaye Baldé, a annoncé ce vendredi 27 décembre que d’ici 2017, tous les ministères seront dotés de lettre de politique sectorielle, ceci pour plus d’efficacité dans la gestion des biens publiques.

 

La lettre politique sectorielle, document permettant de développer la culture de planification, de résultats et d’évaluation, est le parent pauvre des politiques publiques au Sénégal. A en croire le ministre du Plan, Abdoulaye Baldé, neuf des trente et un ministères existants non pas de lettre de politique sectorielle.

Un argument auquel Abdou Karim Lo, consultant en gestion publique, donne plus de détails Selon lui, « parmi les ministères disposant de lettres de politique sectorielle, cinq ont besoin de réactualisation car existant depuis 1990 tandis que sept n’en ont pas et deux autres en cours d’élaboration».  C’est fort de ce constat que le ministère du Plan à initié ce vendredi un atelier de sensibilisation et de partage avec les différents départements ministériels.

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DAKARACTU. COM «J'interpelle les hommes et femmes qui incarnent les instituions à prendre leurs responsabilités. Il y a des gens animés par la volonté de détruire. Ce sont des revanchards». Ces propos sont Youssou Ndour , le ministre conseiller auprès du président Macky et non moins chanteur vedette. D’après nos confrères de Ndar Info qui rapportent ces propos, il réagissait  à propos des remous provoqués par la dernière sortie de Sidy Lamine Niasse accusant le président Sall de s'être enrichi illicitement. Le leader du mouvement ‘’Féké ma thi boolé’’ aurait aussi ajouté qu’il y a « trop de laisser-aller dans ce pays. 

DAKARACTU.COM Le président du groupe parlementaire Benno Bokk Yaakar, Moustapha Diakhaté a réagi suite aux attaques de Sidy Lamine Niass sur les colonnes de ‘’l'As’’. 
Selon Moustapha Diakhaté, Sidy Lamine Niass doit être remis à l'ordre. "Les délires haineux de Sidy Lamine Niasse contre le Président Macky Sall et les leaders de la coalition Benno Bokk Yakaar sont une honte pour la très respectable presse sénégalaise. Chaque jour, Sidy Lamine Niasse va trop loin. 

L’ex-directeur général de la Société africaine de raffinage (Sar), Carmelo Sagna a été admis, depuis deux jours, à l’infirmerie de la prison de Rebeuss. Selon une source de l’Administration pénitentiaire, «son état de santé n’est pas des meilleurs». Une information confirmée, par son avocat, Me Boubacar Cissé. Conscient de l’état de santé de son client, l’avocat «devrait produire un rapport d’expertise médicale», nous apprend-on. M. Sagna est poursuivi dans le cadre de l’affaire du fuel dit «frelaté» vendu à la Société nationale d’électricité (Senelec). Il a été inculpé et placé sous mandat de dépôt, pour détournement de deniers publics, escroquerie, corruption passive, entre autres chefs d’inculpation.

La gestion judiciaire du Plan Jaxaay est un exercice magistral : Cette fois-ci, Aïda Ndiongue et Cie ont été placés sous mandat de dépôt pour détournements de deniers publics. Alors que l’ex-procureur de la République, Ousmane Diagne, avait demandé qu’elle soit mise sous contrôle judiciaire pour tentative et le placement sous mandat de dépôt de Abdou Aziz Diop. Maintenant, tout a été remis en cause par un autre procureur et juge d’instruction.

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La mise en œuvre du Programme national d’Assistance aux Manifestations religieuses et coutumières (PRAMARC) permettra une traçabilité de l’appui de l’Etat. Lequel (appui) est assujetti aux « possibilités du gouvernement ». Cet appui qui est destiné à toutes les communautés religieuses du pays fera désormais l’objet d’une programmation concertée préalable avec les religieux concernés. C’est ce qui ressort des décisions du conseil des ministres tenu hier, jeudi 26 décembre.

 

Le Président de République, Macky Sall, a réitéré, hier, en réunion de conseil des ministres, ses directives au Gouvernement pour l’appui, « dans la mesure des possibilités de l’Etat », de toutes les communautés religieuses du Sénégal, « par le moyen d’une programmation concertée préalable avec les religieux concernés, des interventions des services de l’Etat sollicités».

Le Conseil des ministres s’est réuni, hier, jeudi 26 décembre 2013, au palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, son Excellence, Monsieur Macky Sall.
Ouvrant la séance, le président de la République a présenté ses vœux de Noël à la Communauté chrétienne. Il a chaleureusement félicité les fidèles chrétiens qui ont prié dans une ferveur partagée avec l’ensemble de la Nation, pour la consolidation d’un Sénégal de paix et de prospérité. 

HOMME DE L’ANNEE 2013 : Khalifa Sall " Dakar a son Haussmann"


Khalifa Sall n’a pas lésiné sur les moyens pour rendre Dakar plus attractive. Néanmoins, même si des résultats spectaculaires ont été obtenus, quelques progrès restent à faire pour faire de Dakar une métropole moderne du 21ème siècle.


Khalifa Sall, 57 ans, maire de Dakar et candidat à sa propre succession aux prochaines élections locales en 2014, a le vent en poupe. Sa cote de popularité n’a jamais été aussi forte. A tel point qu'il est devenu aujourd'hui l’une des personnalités les plus emblématiques de la vie publique. L'ancien ministre et député allie toutes les qualités d'un homme d'Etat: un caractère bien trempé, un esprit visionnaire, un goût affiché du débat et de l’innovation en sus d’une conception assez forte des combats collectifs. Sa différence, il la cultive sur le plan des idées et de la méthode. De lui, on retiendra surtout ses travaux herculéens destinés à l’amélioration du cadre de vie.

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Le report des élections locales, qui vient d’être adopté par l’Assemblée nationale, sonne comme une «trahison», aux yeux de la commission Orientation et stratégies des jeunes du Mouvement du 23 juin (M23). Selon ces jeunes, ce report est une «violation de la Constitution sénégalaise et des dispositions conventionnelles de la Cedeao en matière électorale».

Pire, relèvent-ils, le pouvoir vient par cet acte «de fouler aux pieds une des règles les plus élémentaires de la démocratie à savoir, la concertation et le consensus».