SENETOILE NEWS
Examen de la candidature de Karim Wade par le conseil constitutionnel Oumar sarr étale ses suspicions
Oumar Sarr, le Secrétaire national adjoint du Pds, est formel. Malgré la ferme conviction de son parti que Karim Wade peut valablement briguer les suffrages des Sénégalais lors de la prochaine présidentielle, il ne faudra pas trop compter sur le Conseil Constitutionnel au vu de ce que cette institution a montré lors des dernières élections législatives. Le coordonnateur en second du premier parti de l’opposition qui était l’invité de l’émission Grand Jury de la Radio futurs médias (Rfm) d’hier, dimanche 23 décembre 2018, a tenu à faire d’ailleurs savoir qu’il ne servira à rien de rêver et qu’il faudra surtout se préparer à un combat éminemment politique pour imposer la candidature de Karim Wade. Non sans revenir sur la disposition du Pds à bloquer l’organisation de l’élection présidentielle si le fils de Wade n’est pas candidat et sur la problématique du Plan B dans le parti libéral.
Aya Nakamura jugée hautaine par ses fans au Sénégal, elle se justifie d'une étonnante façon
Aya Nakamura finit l’année 2018 sur une très mauvaise note. Alors qu’elle était en déplacement au Sénégal, la jeune chanteuse s’est mis ses fans à dos. Aya Nakamura aurait sans doute préféré finir l’année d’une meilleure façon. Déjà il y a quelques semaines, la jeune chanteuse était au cœur d’une polémique après avoir pris la mouche. La raison : la prononciation de son nom de scène écorché à maintes reprises lors des NRJ Music Awards.
A l’issue de la cérémonie, la jeune chanteuse s’était indignée du traitement qui lui avait été réservé, écrivant ainsi : « On n’invite pas les gens quand on n’arrive pas à dire son nom correctement !! » Voilà qui en était assez pour déclencher une vive polémique, certains prenant la défense de la chanteuse tandis que d’autres avaient fustigé sa susceptibilité. Mais loin de finir l’année sereinement, Aya Nakamura s’est, cette fois-ci, attirée les foudres de ses fans.
Côte d’Ivoire, Gbagbo charge violemment le Président du Gabon : « Ali Bongo n’est rien »
Dans un livre qu’il a cosigné, paru le jeudi 13 décembre 2018, l’ancien chef de l’Etat de la Côte d’Ivoire, Laurent Gbagbo, actuellement détenu à la Haye, a lourdement chargé les défenseurs e la françafrique, notamment le dirigeant gabonais, Ali Bongo.
Dans ce livre intitulé « Libre. Pour la vérité et la justice » Gbagbo, qui ne cache pas son combat contre la Françafrique, dénonce dirigeants africains qui seraient des lieutenants de ce système post-colonial. Non sans révéler. « Je dérangeais les Français parce que j‘étais populaire (…). Qu’ils s’occupent d’Ali Bongo, qui n’est rien, même dans son propre pays. (…) Ali Bongo, c’est le profil qu’ils aiment, et c’est une erreur à moyen et long terme », a soutenu Laurent Gbagbo, depuis La Haye.
Me Madické Niang, « je ferai face à Karim Wade…»
Polémique autour de ses propos sur les dirigeants du Sénégal, de 2000 à nos jours Sonko accuse et déballe
Le leader du parti Pastef ne trouve rien de grave dans les propos qu'il avait tenus sur les anciens dirigeants de ce pays, de 2000 à nos jours, et qui font aujourd’hui débat. En conférence de presse hier, mardi 16 octobre, il a tenu à dénoncer la campagne de diabolisation menée contre sa personne par le pouvoir en place qui chercherait à le mettre à mal avec… Me Abdoulaye Wade. Un ancien président qui lui aurait exprimé tout son soutien, avec qui il serait en discussions suivies, en perspective de la présidentielle, et qu’il compte d’ailleurs rencontrer prochainement au Qatar.
L'ancien maire de Longuyon s'éclatait-il au Sénégal avec l'argent de la commune?
L'ancien maire de Longuyon a été condamné ce mardi à deux ans de prison dont six mois ferme par le tribunal correctionnel de Briey. Pierre Mersch âgé de 81 ans aurait détourné des caisses de la commune et de la communauté de communes 658.000€ pour investir dans un salon d'esthétique au Sénégal.
Pierre Mersch a été maire de Longuyon pendant 37 ans et président de la communauté de communes Terre Lorraine du Longuyonnais. Il s'est toujours défendu "d'avoir mis des sous dans sa poche" mais ce mardi, il a été condamné par le tribunal correctionnel de Briey à 24 mois de prison dont 6 mois ferme pour détournement de fonds. L'ancien élu écope aussi d'une peine d'inéligibilité pendant 10 ans, les sanctions financières seront décidées le 13 décembre lors de l'audience sur intérêts civils, Pierre Mersch pourrait faire appel.
FADA PAS SURPRIS DE LA CRISE AU PDS : ' Nous avions compris ça depuis 2015... Il est impossible d'exprimer une ambition politique au sein de ce parti en dehors de... '
''Ce qui se passe au Pds ne nous surprend pas. C'était prévisible. Nous avions compris depuis 2015 qu'on ne devrait pas participer à un suicide collectif. Et nous l'avions dit en son temps. Nous avions aussi compris depuis 2015 que si on a une ambition politique, il faut l'avoir en dehors du Pds '' .... Ces mots sont de Modou Diagne Fada, ancien ministre de Wade et ancien responsable politique libéral.
Le nouveau membre de la mouvance présidentielle était en meeting à Darou Moukhty pour échanger autour du parrainage et de la présidentielle de 2019 lors de laquelle il compte battre campagne pour le candidat Macky Sall qu'il voudra réélire dès le premier tour avec un pourcentage de plus de 80% au moins au Darou Moukhty.
Renouvellement du bureau de l'assemblée nationale 2018-2019 les femmes exigent et obtiennent la parité
La parité pour tous les postes électifs dans le bureau de l’Assemblée nationale, instaurée par le président Abdoulaye Wade, a mis à rude épreuve l’hémicycle hier, vendredi 12 octobre. La plénière de la session ordinaire unique 2018-2019, a été suspendue pour contestations dès l'ouverture de la séance. La deuxième vice-présidente, Awa Guèye, a exigé la parité au niveau des postes de vice-présidents. En fin de compte, la majorité a fait sauter le huitième vice-président, Pape Diop de Bokk Gis Gis proposé par le groupe «Liberté et démocratie», en faveur de Yaye Fatma Diop du même groupe qui s’était présentée pour ce poste par lettre.
Djibo Leyti KA, un idéal républicain et socialiste !
14 septembre 2017-14 septembre 2018 : un an pour rendre hommage au républicain.
Un an après, je me suis résolu enfin à tremper ma plume dans l’encrier de mon amertume, de ma tristesse et surtout de ma douleur, face à l’immensité de la perte et la profondeur de la douleur ayant occasionné un grand vide tout autour de nous. C’est au fil du temps égrené que l’absence d’un être cher se concrétise et devient un manque réel. Manque face auquel, notre incapacité d’action se manifeste de jour en jour.
LE DERNIER COMBAT DE WADE !
Karim neen bunu xoli la, Wade bëgul kuko taxal suuf !
En lisant la lettre de Wade en réponse aux responsables parlant de plan B, j'ai eu mal dans ma chair. Très mal même !
Pour le seul fait d'avoir réfléchi et d'avoir exposé sa réflexion dans une lettre, Me Madické a été insulté par le pape du Sopi. Il l'a traité de traître et de quelqu'un qui poignarde ses amis dans le dos.
Je ne prends pas la défense de Madické mais je me dis que trop c'est trop.
Wade est en train de mener en bateau tous les militants du PDS et tout simplement pour les beaux yeux de son fils Karim. Les autres, il n'en a cure !