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Sam, Nov
SENETOILE NEWS

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Sénégal

 Les avocats de la défense ont clôturé hier, mercredi 21 février leurs plaidoiries dans le cadre de l’affaire de la gestion de la caisse d’avance de la mairie de Dakar opposant l’Etat du Sénégal au député-maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall et ses co-prévenus. À la barre, Me François Sarr et ses confrères ont réfuté toutes les charges retenues contre leurs clients en plaidant la relaxe. Ouvrant le bal des plaidoiries de la défense hier, mercredi 21 février, Me Ndèye Fatou Sarr a demandé au tribunal de relâcher son client, Khalifa Ababcar Sall ainsi que tous ses co-prévenus. À la barre, la robe noire a indiqué qu’aucune des infractions n’est établie et que le député-maire de Dakar est simplement victime d’une «orchestration» d’une «machination».

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Les avocats de la défense ont encore plaidé ce mercredi après-midi au tribunal correctionnel, devant lequel Khalifa Sall et ses co-prévenus comparaissent depuis 19 jours. La prestation de Me Khassimou Touré a éclipsé toutes les autres. En moins d’une heure et demie, le conseil a passé le dossier au peigne fin, réuni les éléments et balayé les précédentes objections de la partie civile.
Me Khassimou Touré a plaidé pour son petit frère Mbaye Touré, directeur administratif et financier (DAF) de la Mairie de Dakar.

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 Dans la matinée du 17ième jour d’audience dans l’affaire de la caisse d’avance de la ville de Dakar, les avocats de la défense se sont tant soit peu entredéchirés. En effet, les conseils des co-prévenus, Mamadou Oumar Bocoum et Ibrahima Touré, tous receveurs-percepteurs à la municipalité de Dakar, se sont investis à démonter les griefs portés contre leurs clients par le gestionnaire de la caisse d’avance, Mbaye Touré. De leurs côtés, les avocats de la défense du député-maire, Khalifa Sall, de Mbaye Touré, etc, se sont évertués à leur tour à démontrer que les percepteurs-receveurs ont tous agi en connaissance de l’existence des fonds politiques et qu’il n’était pas question qu’ils bénéficient de la relaxe au détriment de leurs clients, comme le souhaite le procureur de la République, lors de son réquisitoire.

Le procès de Khalifa Sall et des sept co-accusés au Palais de justice, à Dakar, entre dans sa cinquième semaine ce lundi 19 février. L’heure est aux plaidoiries de la défense. Vendredi, le procureur a requis sept années de prison et 5,5 milliards de francs CFA d’amende à l’encontre du député, maire de la capitale, soupçonné notamment de détournement de deniers publics. Les nombreux avocats de Khalifa Sall auront jusqu’à mercredi pour tenter de convaincre le tribunal que leur client n’a rien détourné. A la barre lundi après-midi, ils se sont montrés très offensifs.

Affûtée, la défense a décortiqué crescendo tous les chefs d’inculpation. « Comment pouvez-vous parler de détournement de fonds à hauteur de 1,8 milliard ? Mon client travaille avec le maire Khalifa Sall. Il est locataire, paie 75 000 francs CFA de loyer, n’a pas de voiture et on me dit qu’il s’est enrichi », engage l’un des avocats.

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L’opposition sénégalaise travaille à mettre en œuvre une pluralité de candidats, lors de la présidentielle de 2019, pour bouter hors du pouvoir le régime du président Macky Sall. C’est le moins que l’on puisse dire, au vu des positions toutes tranchées des uns et des autres sur la question de la candidature plurielle de l’opposition. Que ce soit le président du parti Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef/Les Patriotes), Ousmane Sonko, le chargé des élections du parti les Libéraux démocrates réformateurs (Lrd/Yessal), Mouhamadou Faye, le député du Parti pour l’unité et le rassemblement (Pur), El Hadj Issa Sall, le porte-parole du Front pour le socialisme et la démocratie/Benno Jubël (Fsd/B), Ndongo Diaw, ou encore Mamadou Diop Decroix, le patron d’And-Jef/Pads, tous s’accordent sur la nécessité pour l’opposition de présenter des candidatures plurielles.

Medibougou-Mauritanie : Les esclavagistes féodaux avouent leur crime sur un vieux de 70 ans.

Des images qui parlent d'elles mêmes, horreur, barbarie féodale insoutenable sur le territoire Mauritanien, l’an 2018.

Nous mettons à la disposition de l’opinion nationale et internationale la preuve l’aveu des criminels féodaux issus de familles « Diawara du village Médibougou lors d’un échange familial sans complexe: « Je réponds par Aleykoum Salam, en s’adressant à un autre Diawara depuis Angola. Tout ce qu’on vous a raconté, est ainsi, moi-même, je suis en garde à vue depuis hier à 2h avec 11 personnes. Nous avons battu, agressé, blessé de gens, ils se soignent actuellement. L’affaire est très grave oui, il y a une délégation de maures en route pour arranger les choses mais nous ne pensons pas qu’ils arriveront, car, c’est très grave. Nous avons ce problème avec des esclaves, ce n’est pas la majorité mais ceux qui font le malin, qui refusent de se soumettre…… » Les bourreaux féodaux se réjouissent d’avoir accompli leur crime odieux sur un vieil homme de 70 ans, il rajoute dans sa conversation : « Notre groupe social n’a pas reçu un seul coup, nous sommes indemnes sans égratignure»

Les partis de l’opposition dite «significative» et les membres du Front “Initiative pour des élections démocratiques“ (Ied) ont battu le macadam hier, vendredi 9 février, à Dakar. A tour de rôle, devant des militants et sympathisants venus nombreux à la marche de protestation, les leaders des différents partis présents ont réclamé des élections démocratiques et transparentes, non sans tirer à boulets rouges sur le régime en place. Après avoir refusé de participer au dialogue politique initié par le gouvernement, à cause d’un «manque de confiance» envers le chef de l’Etat, Macky Sall et son régime, l’opposition dite «radicale» s’est exprimée sur l’essentiel des sujets débattus lors desdites concertations.

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Dans le cadre de sa visite officielle au Sénégal, le Président français Emmanuel Macron a été accueilli  en grande pompe  avant-hier, samedi 3 février, dans la ville de Saint-Louis accompagné par le président de la République Macky Sall. Les deux hommes se  sont d’abord rendus à Guet-Ndar pour constater de visu les dégâts causés par l’avancée de la mer dans la Langue de barbarie. Face aux populations de Saint-Louis, le Président Macron a annoncé que la France va investir dans la capitale du Nord  15 millions d’Euros, soit près de 26 milliards de francs Cfa pour la protection de l’environnement. En visite  à Saint-Louis avant-hier, samedi 3 février, le Président français Emmanuel Macron a annoncé que la France va investir 15 millions d’Euros, soit 26 milliards de francs Cfa pour aider à lutter contre l’érosion côtière qui menace l’ancienne capitale du Sénégal. « Nous avons vu l’érosion côtière, les murs qui tombent, l’activité économique détruite et la ville devant les effets du changement climatique.

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 Lors de la 3ième conférence internationale de reconstitution du fonds pour le Partenariat mondial pour l’éducation (Pme), co-présidée par le président français, Emmanuel Macron, et son homologue sénégalais, Macky Sall, le président sénégalais a promis de contribuer, nonobstant les efforts internes pour l’éducation estimés à plus de 25,48% de son budget national, à hauteur de 2 millions de dollars américains. Un engagement pris devant un parterre de chefs d’Etat qui ont effectué le déplacement à Dakar. Le Sénégal ne sera pas  en reste dans le concert d’engagements pour la reconstitution du fonds pour le Partenariat mondial pour l’éducation (Pme). La promesse a été faite par le chef de l’Etat, Macky Sall, qui a co-présidé la conférence internationale de reconstitution dudit fond hier, vendredi 2 février, avec son homologue français, Emmanuel Macron.

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Près de quatre jours après leurs tirs groupés sur la gestion clanique des ressources pétrolières et gazières du pays par le régime du président Macky Sall, la Convergence des cadres républicains (Ccr) de l’Apr apporte la réplique à Ousmane Sonko, Abdoul Mbaye et Thierno Alassane Sall. Se prononçant en effet sur la sortie de ces trois responsables politiques, le ministre conseiller Mor Ngom de la Ccr a sévèrement mis en garde ces derniers. La «Ccr n’acceptera plus de qui que ce soit des critiques infondées sur la gouvernance politique actuelle du pays et elle ne laissera non plus une petite bande divertir les Sénégalais», a affirmé en point de presse le coordonnateur des cadres républicains.