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Sam, Nov
SENETOILE NEWS

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Le Professeur Amsatou Sow Sidibé estime qu'elle n'a pas vu un une disposition expresse condamnant l'apologie et du viol, mais reste d'avis que El Hadji Songué Diouf, en tant que professeur n'avait pas le droit d'assimiler le viol à l'habillement d'une femme.

 Le chef de l’Etat, Macky Sall, et le Premier ministre, Mahammed Boun Abdallah Dione, principaux destinataires du rapport de l’Agence de régulation des marchés publics (Armp), doivent prendre les mesures idoines pour qu’il n’y ait plus de dysfonctionnements. C’est l’avis de l’invité de la radio Sud Fm à l’émission politique Objection d’hier, dimanche 18 mars, en l’occurrence l’économiste Souleymane Astou Diagne, qui pense qu’il faut sanctionner tous les manquements notés dans le rapport de l’Armp.

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VAIDEHI Décidément, la guerre des mots entre Idrissa Seck et le pouvoir en place, en perspective de la présidentielle de 2019, ne cesse de rebondir. Cette fois, c’est en visite à Saint-Louis, dans le cadre de sa tournée nationale, que le patron de Rewmi s’est vivement attaqué à la gestion de Macky Sall, en critiquant ouvertement les nouveaux accords de pêche devant être entérinés d’ici le 31 mars prochain, entre le Sénégal et la Mauritanie. En réplique, le ministre de l’Economie maritime Oumar Guèye a tout simplement parlé de la « première bourde diplomatique » de l’ancien Premier ministre et opposant déclaré de Macky Sall à la présidentielle de 2019.  Idrissa Seck est revenu à l’attaque avant-hier, samedi 17 mars, contre le pouvoir de Macky Sall qu’il compte affronter à la présidentielle du 24 février prochain. Cette fois, c’est de Saint-Louis où il poursuivait sa tournée nationale, après l’étape de Touba, que l’ancien Premier ministre du Sénégal a contesté de nouveau la gouvernance Macky Sall. Après avoir dénoncé en son temps le contrat gazier conclu entre Dakar et Nouakchott, le patron de Rewmi s’est porté-en-faux contre les nouveaux accords de pêche devant être entérinés, le 31 mars prochain, entre le Sénégal et la Mauritanie.

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Sénégal

 Les nombreux accidents notés ces derniers jours sur les routes, avec leurs lots de plusieurs pertes en vies humaines et de blessés dont certains graves, ont été abordés en Conseil des ministres hier, mercredi 28 février. Lors de cette réunion hebdomadaire qu’il a présidée, le chef de l’Etat a demandé au gouvernement de veiller à la «mise en œuvre stricte» des décisions prises en février 2012 pour lutter contre les accidents. Au regard de la recrudescence des accidents de la circulation, le président de la République demande au Premier ministre d’accentuer la mise en œuvre rigoureuse de toutes les mesures interministérielles arrêtées et visant à améliorer, significativement et durablement, la circulation et la sécurité routières, indique le communiqué du Conseil des ministres parvenu à la rédaction hier, mercredi 28 février. Selon le document, le chef de l’Etat, invite le gouvernement, les services de transport routier, les Forces de défense et de sécurité en particulier, à intensifier les actions préventives de contrôle des documents officiels de transport, de l’état technique des véhicules de transport interurbains, ainsi que des gros porteurs en circulation sur les routes. 

Le professeur Mary Teuw Niane a galvanisé les jeunes élèves venus assister à la cérémonie de la Grande rentrée citoyenne.
Dans son discours où il retrace son parcours, de l'école coranique à la tête du département de l'Enseignement supérieur, le ministre invite les élèves à la recherche et à l'apprentissage de la science. "La science n’appartient ni à l'Europe, ni à l'Asie. Elle est née en Afrique ; a pris son envol en Afrique. Il y a eu des parenthèses, mais elle va revenir en Afrique qui va s'imposer comme le bastion de la science et de la technologie", a-t-il martelé...

Sénégal Ouvert depuis le 14 décembre 2017, pour un démarrage effectif des audiences le 23 janvier dernier, le procès contre le maire de la ville de Dakar, Khalifa Sall et ses co-prévenus, dans l’affaire de la caisse d’avance, a pris sa dernière ligne droite. En attendant le verdict du tribunal correctionnel de Dakar, dirigé par le juge Malick Lamotte et ses assesseurs, prévu le 30 mars prochain, Sud quotidien revient sur un procès aux mille facettes, qui a tant soit peu tenu en haleine le pays, depuis près de 2 mois. DE L’INTERNATIONALISATION DU PROCES DE Khalifa Sall

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Sénégal

 S’il y a une personne qui a été beaucoup citée hier, c’est bien le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye. En terminant son réquisitoire, il a fait allusion à un livre sur les techniques de la plaidoirie et selon lequel l’avocat ne cherche qu’à flatter le tribunal dans son argumentaire. Une comparaison qui n’a pas plu aux avocats qui, à chaque prise de parole, se sont attaqués à cette appréciation du maitre des poursuites. Ala fin presque de son réquisitoire, le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye, en référence à un livre sur les techniques de la plaidoirie, a trouvé que ceux qui sont émus à la suite de l’argumentaire d’un avocat doivent comprendre que l’avocat n’est que dans son rôle qui est d’essayer de flatter le tribunal. Un argumentaire fustigé par le bâtonnier Moussa Félix Sow qui, en réponse à Serigne Bassirou Guèye, a dit qu’il n’y a aucune mise en scène dans ce qu’ils font. « Chacun ici fait son travail sérieusement », a-t-il répondu. « La flatterie, un mot dont le procureur a fait référence dans son argumentaire, qualifie les avocats comme de metteurs en scène », en a déduit Me Khassimou Touré qui trouve que les avocats ne sont pas des scénaristes. 

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 L’avant dernier jour du procès relatif à la caisse d’avance de la mairie de Dakar a eu lieu hier, jeudi 22 février, à la salle 4 du palais de justice de Dakar. Dans cette ultime phase de la procédure, les avocats de la défense, Borso Pouye et Me Doudou Ndoye, ont apporté les «preuves» qui disculpent leurs clients. Reprenant la parole pour la réplique, l’agent judiciaire de l’Etat, Antoine Félix Diome, et les avocats de l’Etat sont revenus à la charge pour étayer toutes les accusations portées contre les prévenus. 

Celui qui œuvre a droit à un salaire et le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye veut mériter son salaire à la fin du mois. Le travail qu'il accomplit dans le cadre du procès de Khalifa Sall n'est, dit-il, pas un service rendu, mais une obligation, un devoir. Et "quel que soit le verdict", les cartes sont déjà servies et le maître des poursuites affirme qu'il "recevra son salaire sans un centime de moins".

En marge de la grande interview qu’il a accordée à Leral.net, Cheikh Bamba Dièye qui est un Ingénieur des Travaux publics, spécialiste en développement local accuse et dénonce au micro de Leral.net la pénombre, voire le manque d’éclairage qui prévaut dans le service public de l’Autoroute à péage Dakar – Diamniadio. Ce projet, rappelons-le, est la résultante du Partenariat Public-Privé avec le concessionnaire privé, le Groupe EIFFAGE. Le leader de la FSDBJ n’a pas aussi été tendre à la fois avec l’Etat et les populations en ce qui les accidents répétés sur les routes sénégalaises notamment à Porokhane ces deux jours.