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Jeu, Nov

Nécrologie : Espagne /Almeria : Deux Sénégalais décédés.

La communauté sénégalaise établie à Almeria  a le regret et la profonde douleur de faire part des décès de leurs compatriotes Boubacar Thior, né le 15 Mai 1962 à Thialane, décès survenu le Lundi, 14 Mars 2016 des suites d'une maladie et de Mamadou Habib Kamara, né le 11 octobre 1954 à Tambacounda, décès survenu le 18 Mars 2016 des suites d'une longue maladie.

La communauté sénégalaise d’Almeria associe  l'ensemble des communautés sénégalaises de toute la Diaspora pour présenter  aux familles des disparus leurs sincères condoléances et prient pour le repos de leurs âmes.

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Référendum : OUI depuis Moscou, pour le culte du progrès !

 

De Moscou où par la grâce divine je me retrouve au service de la République, je me projette quotidiennement sur les rampes de notre vécu national avec quelques fois des doutes et des regrets, des frissons d’angoisse et des craintes, des larmes aux yeux par excès d’émotion face à des actes bienveillants ou des agissements cruels et gratuits, mais avec toujours beaucoup d’amour et de respect pour les hommes et femmes de mon pays, toutes obédiences confondues.

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La gestion partisane du président Macky Sall. Pourquoi je vote non au référendum?

 

Les réformes proposées par le président de la République Macky Sall à l’exception de celle qui aurait dû ramener son mandat de sept à cinq ans, une promesse, plusieurs fois renouvelée, sont tout-à-fait différentes des conclusions les plus significatives des assises nationales que le candidat Sall avait bien paraphées et signées, sans aucune réserve, au lendemain de la création de son parti Alliance Pour la République (APR). Notre camarade feu Charles Guèye, un esprit généreux et ouvert, le représentant de l’Observatoire Républicain pour la Démocratie et la Citoyenneté ‘(ORDC), dans les différents cadres de l’opposition, a contribué à l’insertion de l’APR dans l’opposition dont beaucoup de membres étaient réticents à cause du comportement hostile  de son leader vis-à-vis des Assises Nationales.

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Le peuple sénégalais face au tripatouillage constitutionnel, légal et illégitime de Mack Sall

Pourquoi en Afrique la plupart des Présidents sont des « pouvoiristes » à telle enseigne de piétiner la volonté de  leur peuple en imposant la légalité au dessus de la légitimité ?

On ne corrige pas une erreur par une erreur et de Diouf à Macky c’est ce qui s’est passé  en ce qui concerne le mandat présidentiel. En effet Diouf  en changeant la constitution de 1963 pour établir le septennat, non seulement  il n’avait pas convoqué un referendum pour l’avis du peuple mais encore il s’est fait appliquer le septennat alors que cela devrait débuter avec Wade .Et c’est la raison pour laquelle ce dernier ne l’avait pas comptabilisé come premier mandat car il avait convoqué un referendum  avec la constitution de 2001 son premier mandat devait débuter en 2007 et son deuxième en 2012 autrement dit  il ne s’agissait pas légalement de 3ème mandat.

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Un homme qui se renie est capable de ne reculer devant rien, surtout, lorsque ceci est en sa faveur!

Un homme qui se renie est capable de ne reculer devant rien, surtout, lorsque ceci est en sa faveur!

“ C’est  une belle harmonie quand le faire et le dire sont ensemble” Michel Montaigne.

Et, on peut parfaitement, affirmer dans le cas du Sénégal que, c’est tel père tel fils ou alors, c’est du pareil, tel maitre tel élève, entre Maître Wade et Macky Sall.

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Nouvelle loi française sur l’immigration : Trois bonnes nouvelles pour les étudiants étrangers (Partie 1)

La marché français du travail est marqué depuis des années par un fort taux de chômage, qui risque même de compromettre les chances de réélection du président François HOLLANDE. Malgré les réticences politiques à ouvrir le marché du travail aux étrangers, la nouvelle loi française sur l’immigration atténue les innombrables difficultés auxquelles sont confrontés les étudiants  étrangers qui souhaitent travailler en France à la fin de leurs études.

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La Réforme des Institutions et la Problématique du « Parti Etat »

De nos jours le « Parti –Etat », est souvent associé au cumul des fonctions de Président de la République et de Chef de parti, alors qu’en fait, il dérive du cumul des Fonctions de Chef de Parti et de Chef de l’Etat, qui définit la Politique de la Nation et nomme dans tous les emplois civils et militaires.
En 1960, Senghor était Président de la République et non Chef de l’Etat, qui était exercé par Dia.

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Laser du lundi : Le vieux pachyderme devient-il un sanglier affaissé ? (Par Babacar Justin Ndiaye)

Le Pachyderme socialiste (PS) se vide-t-il du reliquat d’énergie et de vitalité qui lui confère encore une implantation respectable dans le pays et un rôle propulseur dans le trio de locomotives du Benno Bokk Yakaar ? Le futur immédiat confirmera ou infirmera. Pour l’heure, les craquements sonores et le tohu-bohu effréné présagent d’horribles lendemains d’agonie pour un Parti dont l’odyssée glorieuse (1948-2000) est intimement liée au cheminement national vers l’indépendance et à l’érection d’un Etat stable. Quelle ironie du sort ! C’est au moment où le destin institutionnel du Sénégal se joue, via un référendum, que l’avenir du PS se décline en images oscillantes et mêlées d’éléphant exténué et de sanglier affaissé. 

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" Mr Abdoul Mbaye ! Et L'éthique? " (par Elhadji Malick Mbaye)

Dans une tribune au vitrol, l’ancien Premier ministre, Abdoul Mbaye explique de bon droit pourquoi il  votera non au référendum du 20 mars 2016.  En bon démocrate, nous lui en donnons quitus au titre de la démocratie qui consacre le choc des opinions et ouvre le boulevard des ambitions politiques pour tout citoyen désireux d'avoir un destin présidentiel. A notre qu'il nous donne  l’occasion de lui dire que ses arguments offensifs sont émaillés par des  excès et des  interprétations porteurs  de conclusions inacceptables 

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Tourisme et Emergence au Sénégal

En vue d’élargir les bases de sa croissance, le Sénégal a décidé de faire du tourisme une priorité dans son processus d’émergence. Ce sous-secteur des services, négligé dans le passé malgré ses avantages comparatifs, a un fort impact sur l’économie. Le Plan Sénégal Emergent (PSE) ambitionne de régénérer la destination Sénégal en optimisant ses potentialités pour faire du Sénégal un hub touristique. Dans cette perspective, des mesures pertinentes ont été prises, avec de bons résultats déjà, pour que la destination Sénégal puisse enfin profiter au mieux de l’essor du tourisme en Afrique et dans le monde.

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Non à une constitution rapiécée, non aussi à la récupération politique, mais oui au projet de constitution alternatif de la CNRI

Ce référendum du 20 mars est non seulement tardif, mais aussi inutile pour plusieurs raisons. Parce qu’il nous propose une constitution déjà insatisfaisante et non convenable aux citoyens. Alors, c’est une telle constitution que l’on tente, après avoir supposé maintenant bien rapiécée (daab daax ou jaag jaagal), de filer discrètement, sans débat au peuple sénégalais. Jusque-là et  malgré les réformettes introduites par cette révision, les principaux  griefs et critiques, qui étaient reprochés à la constitution de 2001, n’ont pas pour l’essentiel disparu. Donc, cette tentative à vouloir  faire du neuf avec du vieux est vaine et vouée à l’échec.

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Et si Ismaïla Madior Fall avait raison ! Par Souleymane Ndéné Ndiaye

Et si Ismaïla Madior Fall avait raison ! Par Souleymane Ndéné Ndiaye
Le débat autour de la qualification à donner à la décision du Conseil Constitutionnel fait rage depuis la déclaration du Président Macky Sall du 16/02. 
L'article 51 de la Constitution du Sénégal stipule : "Le Président de la République peut, après avoir recueilli l'avis du Président de l'Assemblée Nationale et du Conseil Constitutionnel, soumettre tout projet de loi constitutionnelle au référendum". 
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Laser du lundi : La Décentralisation dézinguée sur l’autel du deuxième mandat (Par Babacar Justin Ndiaye)

« En politique, si l‘on n’est pas prêt à tout, on n’est prêt à rien » a-t-on coutume de dire.  Une leçon à haute teneur jusqu’au-boutiste  qui semble être le vade-mecum du Président Macky Sall, déjà debout, sur le chemin escarpé du second mandat. Pour l’obtenir, vite et bien, (la victoire au premier tour contre tous) le Président sortant souhaite visiblement être délesté de tous les impedimenta lourds, encombrants et contrariants. D’où le besoin de dézinguer la Décentralisation portée sur les fonts baptismaux, dès 1972, et méthodiquement mise sur orbite. Jusque-là feutrée, la démarche du chef de l’Etat et de  l’APR a subitement pris un tour vigoureux. Et kafkaïen.  

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