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Ven, Nov

Dans la seconde partie de l’entretien qu’il a accordé au quotidien La Tribune, depuis Versailles, Me Abdoulaye Wade est revenu sur le "Monument de la Renaissance". L’ancien Président de la République tient toujours à cette œuvre et déplore l’état dans lequel il se trouve.

"J’ai adressé une lettre au ministre de la Culture pour lui dire que j’ai entendu que le Monument manque d’entretien. Il est quasi abandonné ; s’il n’y voit aucun inconvénient, je voudrais qu’on me laisse sa gestion", a-t-il dit. "C’est moi qui vais assurer l’entretien et la gestion afin de le rentabiliser. 

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Le Fouta se caractérise par son profond ancrage dans l’Islam. Ce qui explique la foultitude de mosquées et autres monuments religieux dont certains, bien que classés monuments historiques, sont dans un état de délabrement avancé. D’où l’appel des populations pour leur rénovation. Le Fouta, c’est aussi la saga guerrière de ses chefs religieux, ses mythes et légendes mais également l’enracinement dans la tradition incarnée par l’élevage de type familial rendant difficile la modernisation du secteur.
Ngawlé,un village sérère devenu hal pulaar

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Dans le programme scolaire et universitaire au Sénégal, aucune œuvre de Cheikh Anta Diop, historien, anthropologue et homme politique Sénégalais, n'est enseignée. Une volonté politique que les Cheikh « Antallistes » dénoncent avec la dernière énergie, non sans faire circuler une pétition pour la vulgarisation de la vie et l'œuvre du parrain de l'Université de Dakar. La table-ronde, initiée par les Editions Jimsaan, le samedi 22 février, à la Librairie Athéna, a vu la participation de conférenciers tel que Fatou Kiné Camara, juriste et Dialo Diop, Secrétaire Général du Rassemblement Nationale Démocratique (Rnd), la formation politique de Feu Cheikh Anta Diop.

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Une consultation nationale sur le thème : « L’éducation à la paix et à la non-violence en milieu scolaire » s’est ouverte, hier, à Dakar. Organisée par la section sénégalaise du réseau  ouest-africain pour l’édification de la paix (Wanep), la tenue de cette activité est motivée par un constat : une très faible prise en compte de l’éducation à la paix et à la non-violence dans des programmes et stratégies du secteur éducatif. 
Le guide pour l’éducation à la paix du réseau ouest-africain pour l’édification de la paix (Wanep) a été lancé, hier, à la fondation Konrad Adenauer. C’est dans le cadre d’une consultation nationale axée sur la promotion de la culture de la paix et de la non-violence dans les écoles. L’idée est de « développer un espace scolaire apaisé à tous les niveaux ». Ce guide, expérimenté dans 7 pays de l’Afrique de l’Ouest et basé sur les expériences du Wanep, va donc constituer un document de référence pour l’éducation à la paix et à la non-violence.
Il est question, selon Bijoue Birch, une des panélistes, de voir la stratégie de mise en œuvre l’éducation à la paix, d’évaluer son rôle dans le comportement psycho-social, les difficultés rencontrées dans le suivi-évaluation…

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La directrice des ressources humaines du ministère de l’Education nationale a relevé des difficultés dans la répartition des ressources humaines, aussi bien en quantité qu’en qualité. Khady Ndiaye Bèye se prononçait en marge du lancement du rapport mondial 2013/2014 de l’Unesco sur l’Education pour tous (Ept).

Citant des statistiques issues du recensement de 2012, la directrice des ressources humaines du ministère de l’Education nationale avoue que des disparités existent entre les régions en matière de ressources humaines dans le système éducatif. Selon Khady Ndiaye Bèye, « les régions de Dakar et Thiès, et le département de Saint-Louis sont les localités où l’on retrouve le plus de concentration d’enseignants (tous corps confondus) au moment où le déficit d’enseignants est très sérieux à Fatick, Matam, Tambacounda et Sédhiou ». A son avis, cette répartition inégale des ressources humaines de l’éducation ne milite pas à l’atteinte des objectifs de l’Education pour tous (Ept). 

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Abdourahmane Ousmane Hamady Demba Bayé a franchi hier, vendredi 21 février, la rive droite du fleuve Sénégal pour gagner le village de Démette où, il doit être intronisé 23e Dialtaabé Puri. Accueilli par une foule, le futur chef suprême de la République des Soubalbés sera intronisé ce samedi dans la journée.

 

C’est hier, vendredi,  aux environs de 18 heures 34 minutes que le futur Dialtaabé Puri, Abdourahmane Ousmane Hamady Demba Bayé, également connu sous le nom de Demba Sadiel Sy, a franchi, sous des exclamations populaire et des coups de feu de fusil, la rive droite du fleuve Sénégal.
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Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, a fait part, samedi, de sa volonté d’œuvrer afin que les sortants de l’Ecole supérieure d’économie appliquée (Esea) aient des diplômes en lieu et place des attestations. Cela, conformément  à la nouvelle loi-cadre des universités en cours d’élaboration.
Les  sortants  de l’Ecole supérieure d'économie appliquée (Esea), ex Ecole nationale d’économie appliquée (Enea), auront désormais des diplômes à la place des attestations. C’est la promesse faite par le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

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Le rapport de suivi sur l’Education pour tous (Ept) 2013-2014, publié, hier, par la Commission nationale de l’Unesco, a révélé que le Sénégal n’atteindra pas l’enseignement primaire universel avant 2070.

Sur la base des tendances actuelles, le Sénégal n’atteindra pas l’enseignement primaire universel avant 2070. Cette information est contenue dans le rapport de suivi 2013-2014 sur l’Education pour tous (Ept). Pourtant, relève-t-on dans cette publication rendue publique, hier, par l’Unesco, le Sénégal a fait d’importants progrès vers la réalisation de l’enseignement primaire universel grâce à un taux d’achèvement primaire passé de 60% en 2010 à 63% en 2011. Il en est de même du taux net de scolarisation qui pourrait atteindre plus de 80% en 2015.

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On avait l’habitude de les voir mobiliser du monde autour de la télévision à une certaine époque et à certaines heures. Généralement, ils accrochent le public avant et/ou après le journal de 20h. Les fameux télénovelas ! Feuilletons indiens ou latinos plus souvent, ils ont fait le bonheur de beaucoup de Sénégalais férus de ces téléfilms étrangers. Mais depuis quelques temps, c’est une toute autre tendance qui émerge : les téléfilms sénégalais cherchent eux aussi à trouver une place dans le cœur des Sénégalais. L’objectif des réalisateurs : créer une industrie culturelle solide afin de contribuer au développement local.

Il y a quelques années, si vous vous hasardiez à rendre visite à quelqu’un juste après 19h, heure où sont diffusés la plupart des télénovelas, vous risquez de ne pas être reçu avec attention. Tellement ces feuilletons suscitaient intérêt et captivaient l’attention de beaucoup de Sénégalais. On se souvient encore de l’engouement qu’avaient suscité : Marimar, Rosa, Luz Clarita ou encore plus récemment Rubi, mais aussi Vaïdehi, autant de séries qui ont eu beaucoup de succès.

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Dans le cadre du projet d’amélioration des Ecoles primaires (Paep) et la volonté de l’Etat d’éliminer les abris provisoires dans les établissements publics du pays, le gouvernement de la République Fédérale d’Allemagne en partenariat avec l’Etat du Sénégal et l’Agence d’exécution des travaux d’Intérêt public (Agetip), vient de doter à notre pays un nombre global de 540 nouvelles salles de classe.

 

 

Rien que dans les régions de Kaolack, Fatick et Kaffrine, 300 nouvelles salles ont été réalisées. L’objectif visé dans ce programme est d’atteindre la moyenne de 537 salles de classe, 154 blocs administratifs, 258 blocs d’hygiène et 169 nouveaux points d’eau avant le 30 juin prochain, date de réception de l’ensemble de ces infrastructures et équipements. 
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Le professeur Omar Sock, directeur de l’enseignement supérieur, a annoncé mercredi l’ouverture d'une deuxième université publique à Dakar, en octobre 2016."Je peux dire qu’une deuxième université va ouvrir ses portes, en octobre 2016 à Dakar", a déclaré le professeur Sock, lors d'une cérémonie de lancement des "cours en ligne ouverts et massifs" (MOOCs, sigle en anglais). 

 La future université sera le fruit d'un partenariat public-privé liant l'Etat du Sénégal à des partenaires, a-t-il indiqué. "Le plan architectural et l’avant-projet détaillé de cette université sont en cours" d'élaboration, a-t-il ajouté, sans autre précision. Cet établissement d'enseignement supérieur "va désengorger l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD)", a dit le professeur Sock. L’UCAD compte actuellement 80.500 étudiants, selon son recteur, le professeur Saliou Ndiaye.

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altPartager sur les politiques et expériences en matière d’alimentation scolaire, en vue d’une validation d’un plan d’actions pour le Programme national d’alimentation et de nutrition scolaire sur la période 2014-2017, c’est l’objectif que poursuit le Forum national sur l’alimentation et la nutrition scolaire qui s’est ouvert, hier, à Dakar.    

On dénombre 4785 cantines scolaires au Sénégal pour un taux de couverture de 53 % à l’élémentaire, 16 % au moyen-secondaire et 13 % au préscolaire. Or, la malnutrition et la sous-alimentation peuvent provoquer, selon des experts, des retards, voire des déficiences dans le développement cognitif. Sans oublier qu’en règle générale, les enfants mal nourris sont plus exposés au redoublement et à l’abandon scolaire, et ont les scores les plus faibles aux évaluations des apprentissages. Face à cette réalité, le gouvernement du Sénégal ambitionne de mettre en place un plan d’actions pour la période 2014-2017 et dont l’objectif est de renforcer et d’étendre les cantines scolaires à toutes les régions du Sénégal. 

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Le maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall, a émis, hier, son vœu de doter prochainement les élèves de la ville de Dakar de 100.000 tablettes. Cette annonce a été faite au cours de la cérémonie symbolique de lancement du partenariat ville de Dakar-Sonatel dénommé « Internet à l’école ». 

Le maire Khalifa Sall a fait cette annonce au cours de  la cérémonie de mise en œuvre de la première phase du projet « Internet à l’école » initié par l’édile de la ville, en collaboration avec une des filiales du groupe Sonatel «Orange business service». Le lancement de ce projet, qui veut propager l’Internet dans toutes les écoles de Dakar, a eu lieu à l’école Elhadji Demba Ndoye, situé à Yoff. Dans ce cadre, 600 positions informatiques seront installées dans 44 écoles élémentaires de Dakar. L’objectif, à terme, étant de doter l’ensemble des 143 écoles élémentaires publiques de la ville d’une salle informatique avec un accès à Internet avec wifi.

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