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25 agents de petites et moyennes entreprises semencières ont terminé hier Vendredi, un atelier de formation de trois (3) jours en techniques de production et gestion des petites et moyennes entreprises de commercialisation de semences. Organisée par le programme semencier Ouest Africain en partenariat avec le conseil ouest et Centre africain de recherche et développement agricole (Coraf), cette rencontre suscite deux intérêts majeurs.
Il s’agit de doter aux producteurs de semences des outils nécessaires pour qu’ils puissent disposer de fortes entreprises capables d’assurer de bonnes productions semencières au plan national et ensuite offrir aux entreprises de commercialisation et d’exportation les moyens de disposer de bonnes qualités de semences et d’être plus compétitifs sur les marchés nationaux et internationaux. Deux objectifs majeurs d’un atelier de formation de trois (3) jours en techniques de production et gestion des petites et moyennes entreprises de commercialisation de semences.
Cette démarche est apparemment la réponse apportée aux nombreuses études précédemment menées en direction de la problématique des semences à travers toutes ses facettes. Déjà à la sortie de la dernière rencontre d’évaluation et de planification du 28 Mars 2013 tenue à Saly avec les acteurs semenciers évoluant dans le secteur privé, le programme Semencier Ouest Africain et ses partenaires se sont persuadés des capacités techniques et managériales des entreprises semencières en activité dans notre pays.
La plupart de ces entreprises évoluent avec un statut informel. Ce déficit de performance, en grande partie, découlerait de la faiblesse du développement des capacités humaines devant assurer la gestion de la production, l’approvisionnement des marchés, la commercialisation, le contrôle de la qualité entre autre. La qualité des semences ne répond pas aux normes standard requises. Les marchés nationaux et internationaux sont mal approvisionnés ou non approvisionnés.
Ainsi face à ces nombreux défis qu’il convient aujourd’hui de relever, et au besoin d’accroître à 25 %, les 12 % de production sur lesquels le programme Semencier Ouest Africain s’est toujours limité au Sénégal, l’organisation a choisi d’initier la rencontre de Kaolack afin de rendre plus performantes les entreprises semencières dans l’espace de la Cedeao et favoriser surtout la commercialisation inter états des productions semencières.
Ainsi face à ces nombreux défis qu’il convient aujourd’hui de relever, et au besoin d’accroître à 25 %, les 12 % de production sur lesquels le programme Semencier Ouest Africain s’est toujours limité au Sénégal, l’organisation a choisi d’initier la rencontre de Kaolack afin de rendre plus performantes les entreprises semencières dans l’espace de la Cedeao et favoriser surtout la commercialisation inter états des productions semencières.
SOURCE/ http://www.sudonline.sn/pour-une-industrie-semenciere-africaine-plus-dynamique_a_18607.html