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Sam, Nov

ATT show avec Alain Focca : « Je suis le Président des rebelles », a martelé le Président déchu

L'ancien Président de la République, Amadou Toumani TOURE

L’ancien Président de la République, Amadou Toumani TOURE

 

Lors de ce débat de l’émission « Africain » qui a été son dernier entretien avec le doyen Alain Focca de RFI, l’ex Président ATT dont les partisans redoublent d’efforts pour qu’il ne soit pas arrêté afin de répondre de ses forfaitures, a comme un signe prémonitoire confié sur les antennes de la radio mondiale, son incapacité, son double langage et son sens élevé des « dribbles » dont il a le secret, accusant sans sourciller, les Officiers supérieurs de l’armée de n’avoir pris leurs responsabilités malgré qu’il ait achetés les armes et équipements qu’il faut, pour l’armée. Votre journal reprend inex tenso cet entretien qui met à nu le double langage de l’ancien locataire de Koulouba et son faux fuyant. De nos jours, si des voix s’élèvent pour demander au président IBK, de ne pas l’arrêter, que diront les parents des militaires et civiles qui ont été tués par les bandits armés laissés entrer sur notre territoire, lourdement armés ? Comment peut-on au nom d’un pseudo réconciliation, demander de telle chose alors que les crimes commis contre notre armée de 1992 à nos jours, ne sont élucidés ? En fait, notre confrère Alain Focca qui maîtrise son sujet, a acculé ATT jusque dans ses derniers retranchements où celui-ci avait du mal à se défendre.

Attribution de la 3ème licence de téléphonie globale : Babou Yara entre dans la danse

Babou Yara

Babou Yara

 Dans l’attribution de la 3ème licence de téléphonie globale, le gouvernement sortant de Diango Cissoko a commis des gaffes extraordinaires que le Bureau du vérificateur général n’a pas manqué de relever dans son rapport. Le nouveau gouvernement d’Oumar Tatam Ly, malgré toutes les irrégularités relatives à ce dossier, continue d’observer un silence assourdissant. A tel point que le bénéficiaire provisoire de la licence, Apollinaire Compaoré (qui parle beaucoup), a fait savoir qu’il va lancer ses activités. La date annoncée n’a pas été respectée puisque sur le plan de  l’investissement, il n’a rien fait et demeure hésitant. Le fait nouveau, c’est que le milliardaire, Babou Yara, est désormais entré dans la danse. Ce richissime Malien a été, semble t-il, approché par le Burkinabé Apollinaire Compaoré afin qu’il lui vienne en aide, c’est-à-dire  le soutenir au plan relationnel pour la concrétisation de son projet.

Nord du Mali : Le forcing d’Alger

IBK BouteflikaL’Algérie revient dans le dossier du nord du Mali au moment où Ouaga tente, au nom de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao), de reprendre le dialogue entre les protagonistes de la crise au nord du Mali. Un retour qui intervient après que le voisin ait tout essayé pour empêcher une intervention militaire (étrangère) dans cette zone qu’il considère comme sa chasse gardée.

 

 

Dans la gestion de la crise du nord du Mali, l’Algérie, après avoir tout perdu (influence et mainmise sur les négociations) s’était finalement résolue à faire profil bas. Et l’intervention militaire française (Serval) appuyé par les forces africaines de la Minusma avait sonné le glas de l’influence algérienne sur cette région malienne.

Mali - Le mandat de la MINUSMA n’est pas d’ imposer quoi que ce soit à qui que ce soit, selon son chef

Des soldats de la Minusma, le 1er juillet à Bamako. | REUTERS

Des soldats de la Minusma, le 1er juillet à Bamako. | REUTERS

Le mandat de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) « n’est pas d’imposer quoi que ce soit à qui que ce soit », a affirmé jeudi lors d’une conférence de presse à Bamako, son chef Albert Koenders.

 

 

Le mandat de cette mission « est de soutenir les Maliens », a déclaré à plusieurs reprises M. Koenders qui a rappelé que ce mandat est de « soutenir, sécuriser, accompagner, faciliter le dialogue pour la réconciliation nationale ».

 

Mali -Plusieurs fois repoussé par différents gouvernements : Le port du casque sera obligatoire dans deux semaines

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Ce sont les autorités en charge des transports et de la sécurité qui l’ont annoncé au cours d’une rencontre tenue, hier, au département de l’Equipement et des transports.casque-port

 

Si cette mesure est appliquée à partir de cette période, cela signifiera que beaucoup de motocyclistes vont devoir laisser leur engin à la maison. Au motif que le prix du casque n’est pas abordable pour tous. Et la puissante association estudiantine, l’AEEM, est partie jusqu’à menacer de descendre dans les rues si, toutefois, le port du casque devenait obligatoire pour les élèves et étudiants. Dans le souci de préserver la paix sociale, le gouvernement d’ATT avait dû battre en retraite. Et cela à la grande satisfaction des autres usagers dont, c’est vrai, c’est le prix qui effraie le plus. En effet, celui-ci varie sur le marché national de 6000 à  80 000 FCFA. Un casque de moyenne qualité est vendu entre 15 000F à 40 000FCFA.

Le casque pour les motards est cédé, par exemple, à 80 000FCFA.

Mali: l’ONU appelle Bamako à accélérer la réconciliation dans le nord

ONUNEW YORK – Le Conseil de sécurité de l’ONU a invité le gouvernement malien à accélérer la réconciliation politique avec les groupes touareg et arabes du nord du pays, dans une déclaration adoptée jeudi.

 

Exprimant son « inquiétude à propos de la sécurité fragile dans le nord du Mali », le Conseil a aussi demandé que les effectifs de la Minusma (Mission de l’ONU au Mali) soient rapidement complétés.

Mali- Guerre ouverte entre le ministre de la justice et deux hauts magistrats autour de l’affaire Adama sangaré

 Ministre malien de la Justice, Garde des sceaux, M.Mohamed Ali Bathily

 

Un bras de fer est engagé entre le ministre de la Justice, Me Mohamed Aly Bathily et deux hauts magistrats de la République : le Procureur de la commune III du district de Bamako, qui est en même temps le Procureur du Pôle économique et financier chargé de mener la lutte contre la corruption et la délinquance financière, Mohamed Sidda Dicko et le Procureur général près la Cour d’Appel, Daniel Tessougué. Motif de la discorde : l’affaire Adama Sangaré.

 

Laïcité du Mali en péril : Le ministre délégué chargé des affaires religieuses et le président du haut conseil islamique font le lobbying d’une république islamique

Ministre délégué auprès au ministre de l’Administration territoriale, chargé des Affaires religieuses et du Culte, Tierno Amadou Hass Diallo

Ministre délégué auprès au ministre de l’Administration territoriale, chargé des Affaires religieuses et du Culte, Tierno Amadou Hass Diallo

La laïcité de la République du Mali est en danger de mort. Le ministre délégué chargé du Culte et des affaires religieuses, Tierno Amadou Omar Hass Diallo, et le président du Haut conseil islamique, Mahamoud Dicko, en sont les premiers bourreaux. Ils y travaillent.

 

 

Le week-end dernier, ces deux personnalités ont, sur RFI, démontré, à travers leurs propos, que leur mission est de tuer la laïcité du Mali et d’instaurer une République purement islamique.  Au Mali on nous a, de tout le temps, enseigné que le rôle d’un Etat qui se dit laïc est de rester neutre  vis-à-vis des convictions religieuses et qu’il n’a pas de religion. 

Réunion secrète du MNLA et du HCUA dans la région de Kidal : Les groupes armés réclament l’arrêt des poursuites judiciaires contre Iyad Ag Ghaly

Iyad Ghali

Iyad Ghali

Les groupes armés du nord n’en finissent pas de nous surprendre. Le MNLA et le HCUA galvanisés par l’arrêt des poursuites judiciaires contre certains de leurs responsables, remuent ciel et terre pour que le gouvernement malien cesse les poursuites judiciaires contre le chef du mouvement terroriste Ançar Dine Iyad Ag Ghaly, celui-là même qui a été depuis un peu plus de trois décennies  à l’origine de plusieurs rébellions armées au nord du Mali. L’objectif recherché par ces groupes armés est de mettre en selle le jihadiste déchu afin qu’il jouisse de sa liberté de mouvement et participer au processus de négociation.

Mali - Orphans of The Sahara : Meet the Tuaregs - Expelled from Libya, then hijacked by al-Qaeda in Mali and Niger

Award-winning Al Jazeera filmmaker May Welsh captures the complex conflict and events in Mali and Niger, as seen unfolding from within the Tuareg community
 
Orphans of The Sahara is a documentary series capturing the heartbreaking circumstances of life for the Sahara’s Tuareg people, one of the most isolated and impoverished people in the world.  
 
In recent years, the Tuareg have been cut off from journalists, tourists, and aid workers by the presence of al-Qaeda.  The three films provide rare and exclusive access and insight to the Tuareg separatist struggle inside their homeland, and to their rivals al-Qaeda in the Islamic Maghreb.