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La situation actuelle du pays est pour le moins inquiétante ; l’incertitude y est le sentiment le plus partagé, tant au niveau de la mouvance présidentielle, de l’opposition que de la société civile ; en vérité, aucun camp n’est véritablement prêt pour aller aux élections. En vérité, en décidant de changer les règles du jeu, de façon unilatérale, WADE confirme son inaptitude pour un troisième mandat et choisit de s’autodétruire plutôt que de subir un camouflet ; en effet, le choix d’un vice-président inamovible (ou dauphin officiel) apportera inévitablement un verdict fatal entre le PDS et la ‘’Génération du Concret’’ ; oui, ce choix cornélien entraînera, dans tous les cas, un séisme avec la possibilité d’un tsunami très dévastateur qui n’épargnerait personne.
NETTALI.NET - Cette image qui a fait le tour du net et qui montre Nicolas Sarkozy présentant Karim Wade à Barack Obama, a quelque chose de planifié et de suspect. A voir cette vidéo où le prince Wade accourt comme s’il avait le diable à ses trousses et le père qui regarde Barack avec autant d’émerveillement, incite à une interrogation non pas malsaine, mais juste légitime.
Certes les problèmes sont là, et de plus en plus nombreux et complexes, nécessitant des solutions urgentes et concrètes, mais il est aussi devenu de plus en plus évident que rien ne peut plus se comprendre véritablement et se régler de façon durable, en dehors d’un retour à Dieu et d’une initiation à une nouvelle rationalité ; ainsi, il faut oser lever la tête vers les cieux, afin de se convaincre de la nécessité absolue d’une nouvelle approche idéologique pour sauver notre monde en perdition (crise écologique, économique et financière, énergétique, alimentaire, sanitaire, etc.). Et à ce titre, il n’y a pas meilleur télescope que le Coran pour contempler les merveilles de la voute céleste. En vérité, plus on est instruit, plus on avance dans la connaissance du fait des nouveaux moyens d’investigation, plus on est fasciné par la pertinence du message coranique, son actualité et donc son avance par rapport au contexte où il était descendu (6ème – 7ème siècle), confirmant qu’il ne peut s’agir que d’une révélation divine.
REGION DE SAINT LOUIS DEPARTEMENT DE DAGANA ARRONDISSEMENT DE MBANE COMMUNAUTE RURALE DE MBANE EXTRAIT DU PROCES-VERBAL DE LA REUNION DU 04/06/2011 DELIBERATION N° 06/ARR.MB/CR.MB DU CONSEIL RURAL DE MBANE
Ce qui s’est passé à Sangalkam n’est que l’illustration de la barbarie dans une pratique politique qui triche pour se laisser aller à la facilité. Ils avaient dit que le découpage administratif est une demande de la population. N’ont-ils pas menti ? N’est-il pas honteux de constater que les populations qu’ils utilisaient pour légitimer leur coup politique se révoltent contre leur acte jusqu’à dénombrer parmi eux un martyr ? Malick Bâ : c’est le nom de ce jeune citoyen de Sangalkam crapuleusement exécuté, faisant a arroser le terroir de son sang innocent devant une population meurtrie qui n’a que la rue pour dire non à l’arbitraire.
La démission forcée de Ibrahima Diongue de son poste de président du conseil d’administration de Senegal Airlines et son remplacement par Boubacar Camara (il reste Secrétaire général du ministère de Karim Wade) ne sont que la face visible de l’iceberg. Des sources autorisées croient savoir que Karim Wade, en vérité à l’origine de ce changement, est très remonté contre certains de ses collaborateurs qu’il accuse de ne pas « prendre de coups » comme lui. Les mêmes interlocuteurs qui décrivent une situation qui frôle le malaise ne manquent pas non plus de s’interroger sur l’opportunité du ministère délégué à l’Energie, occupé par Ibrahima Sarr « muet comme une carpe ».
Ces derniers jours, trois faits tragiques ont plongé la population sénégalaise dans un profond émoi. Tout d’abord, le meurtre atroce d’un honnête citoyen, symbole de la réussite basée sur le travail et l’abnégation. Ensuite, l’accident de la route qui a coûté la vie à trois jeunes sénégalais à la fleur de l’âge. Enfin, la mort de Malick Ba, un jeune père de famille, dont le seul tort fut de défendre le suffrage universel, c'est-à-dire le droit inaliénable, gravé dans notre Constitution, de choisir librement nos dirigeants.