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Aucune place, aucune rue, aucun établissement scolaire ou autres édifices publiques ne porte son nom ; et pourtant, il fut un éminent poète et jurisconsulte – et indéniablement, l’un des plus illustres fils de Saint-Louis ; en témoigne son surnom ‘’goor gathia thiaka ndiaye’’ (celui qui repose au Cimetière baptisé ’’thiaka ndiaye’’), et ce témoignage très objectif du chercheur Amar SAMB, mentionné dans son ouvrage intitulé ‘’Essai sur la contribution du Sénégal a la littérature d’expression arabe’’ (*), remontant à 1972 et dont voici un extrait :
PiccMi.Com - Face à la situation nationale et les enjeux capitaux de la Présidentielle de 2012, LEERAL ASKAN WI invite le leader du Mouvement citoyen «FEKKE MA CI BOLLE» à clarifier sa position sur le débat politique national. PiccMi.Com vous livre l’intégralité de la lettre . Leeral Askan wi Siège social : Dangou Sud Rufisque Tel : 77 714 15 14 Rufisque, le 17 Aout 2011 A Monsieur Youssou Ndour Président du Mouvement « Fékké Ma ci Bollé » Objet : Lettre ouverte Monsieur, Il y a de cela 2 ans, face au refus de l’Etat de délivrer à votre groupe de presse une fréquence télé, de larges secteurs de la nation se sont mobilisés pour faire prévaloir vos droits.
Chants glorieux _pleins de signes (ou symboles) à la place d’une cérémonie funèbre, le tout sous la houlette de leur chef de guerre ; Funeste besogne des ‘sopistes‘ en organisant ce méga meeting pour aller à la rencontre du peuple ! Ils n’ont que faire d’une mort politique _ cogitent ils ; Ainsi «Le pape du sopi» a prononcé une messe urbi et orbi (2) allant dans ce sens , remettant au gout du jour des sermons d’un autre âge !
LE RAMADAN, UN MOMENT PROPICE AU REPENTIR, AU PARDON ET A LA GENEROSITE (SUR LES TRACES DE JESUS ET DE MOUHAMMAD – PAIX ET SALUT SUR EUX -). Le mois béni de Ramadan est un moment de grâce et de générosité dont la finalité est la piété ; il suscite un engouement grandissant et une ferveur religieuse extraordinaire, même parmi les plus négligents des musulmans ; cela tient, à l’évidence, au fait que Satan y est ‘’ligoté’’, comme l’a enseigné le Prophète (PSL) ; c’est donc un moment véritablement propice pour rompre avec une addiction (dépendance au tabac, à l’alcool, aux drogues et même aux jeux) ;
Tous les honnêtes gens qui ont lu l’entretien de Amadou Toumani Touré dans Lequotidien du 04/08/2011, ont dû penser, j’en suis convaincu, à Abdoulaye Wade. C’est aussi évident, que ces derniers souhaiteraient sans doute, qu’il le lise, sinon, ils le lui recommandent fortement pour y tirer les leçons. Véritablement, c’est un cours magistral que ATT donne à ses pairs certes, mais le cours s’adresse particulièrement à Me Wade, en tant que doyen des chefs d’Etat mais aussi, comme celui, dont la pratique divorce totalement d’avec cet enseignement, dans tous les domaines.
Mouvement des travailleurs: Touche pas à ma Constitution’. C’est la nouvelle trouvaille des organisations syndicales qui sont opposées à la candidature de Wade en 2012. La liste des personnalités et des organisations hostiles à la candidature du chef de l’Etat à la prochaine élection présidentielle continue de s’allonger. Hier, les organisations syndicales ont mis sur pied le ‘Mouvement des travailleurs: Touche pas à ma Constitution’, pour dire non à un troisième mandat de Wade.
CIVITAS (1) Le «soleil des indépendances» s’est levé depuis prés d’un demi-siècle déjà et l’humoriste de citer le président fondateur: «Vous êtes indépendants mais pas libres ». Cette Afrique là semble mal barrée (pour ne pas dire mal partie), barrée sur la liste des continents en devenir et sur les «feuilles de route» du développement. Opposants d’hier, hors la loi d’aujourd’hui… Ainsi, après traques, traversées du désert ; ils arrivent pour quelque peu étancher leur soif !
CONTRIBUTION - Je suis un neveu du président. En effet, du côté maternel, ma grand-mère Rama Wade est une tante d’Abdoulaye Wade qui porte le nom de son père. Comme vous devez le savoir d’ailleurs, en tant que sénégalaise d’ethnie toubab, nous sommes tous parents au Sénégal.
(Slate) - Les Sénégalais, parmi les plus anciens immigrés africains de Harlem, ne sont pas peu fiers d’avoir contribué à la réhabilitation de la capitale de l’Amérique noire. Sur le trottoir, assis sur des chaises en plastique, devant les magasins qu’ils tiennent sur la 116e rue, des Sénégalais en boubous et baskets refont l’Amérique et le Sénégal. Ces temps-ci, il est beaucoup question de politique sénégalaise, et les esprits s’échauffent vite. Certains s’engouffrent parfois dans une boutique pour suivre le dernier bulletin d’informations de la Radio-télévision du Sénégal (RTS).
CONTRIBUTION - Chers compatriotes, le saviez-vous ? Eh bien, l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, à l’instar des autres universités de l’espace académique CAMES (Conseil Africain et Malgache de l’Enseignement Supérieur), est entrée, de plain-pied, dans la phase de mise en œuvre du système LMD (Licence-Maitrise-Doctorat).
Les délestages intempestifs, le chômage des jeunes, la cherté de la vie et la volonté de Wade de briguer un troisième mandat les ont agacés. Le titre de Tiken Jah Fakoly les a inspirés. Voilà résumée l’histoire du mouvement «Y en a marre» qui trouble le sommeil du président Wade et de son régime. A l’origine, Cheikh Oumar Cyrille Touré, de son surnom «Thiat» (Ndlr, benjamin de la famille en Wolof), rappeur du groupe «Keurgui». Après avoir muri l’idée, il s’ouvre à ses amis rappeurs dont Malal Tall alias «Fou Malade», Simon, Kilifeu et Cheikh Fadel Barro, journaliste. En février, le mouvement ‘’Y en marre’’ est porté sur les fonts baptismaux.
Monsieur le Président de la République sortant, vous le savez et vous l’avez dit vous-même, la constitution vous interdit de briguer un autre mandat ; vos partisans en sont convaincus, même s’ils déclarent autre chose ; ils ne s’obstinent dans cette posture hypocrite que pour préserver leurs privilèges et parce qu’ils n’ont pas une alternative crédible à votre candidature ; ils vous obligent ainsi à vous dédire, au point de faire certaines déclarations qui fragilisent l’institution que vous représentez et écorchent l’honorabilité de toute la nation.
Le rêve brisé ! J’ai fait un beau rêve cette nuit du 13 au 14 juillet, mais c’était trop beau pour être vrai ! J’ai rêvé voir le Président Wade dire qu’il a tiré des leçons des élections de mars 2009, mais c’était trop beau pour être vrai ! J’ai rêvé l’entendre nous dire qu’il a compris le sens des événements des 23 et 27 juin 2011, mais il les a qualifiés de passagers et d’enfantillages orchestrés par l’opposition ! J’ai rêvé voir à la télévision le Président de tous les Sénégalais, mais je n’ai vu qu’un chef de parti, un fin politicien haranguant ses foules ! J’ai rêvé entendre le Grand-père donner de sages conseils aux jeunes, mais je n’ai entendu qu’un malin garçon, insouciant et joueur comme un mbeur ! J’ai rêvé voir le Président Wade prendre l’une des plus grandes portes, mais il a préféré la plus petite d’entre elles ! J’ai rêvé entendre le Président Wade annoncer sa retraite paisible au Point-E, mais c’était trop beau pour être vrai !
A son excellence Mr. Abdoulaye Wade Président de la République du Sénégal, Monsieur le Président, Permettez-moi de vous adresser encore une fois la parole car mon silence trahirait ma conscience (« la vérité vous rendra libres », Jean 8:32) et j’en suis sûr des millions de Sénégalais comme moi ont beaucoup de chose à vous dire concernant la situation actuelle de notre pays. Monsieur le Président, quand je vous ai serré la main au palais au lendemain de l’alternance en 2001, j’avais eu le sentiment que vous seriez reconnaissant envers la jeunesse sénégalaise qui a contribué de façon considérable pour votre accession à la magistrature suprême.
Communiqué de presse Bes Du Ñakk Diaspora Bassesses et de barbaries d’un régime confus « Encore une infirmité des plus répugnantes parmi les diverses laideurs de ce régime » La section Bes Du Ñakk de la Diaspora vient par ce communiqué, condamner avec la plus grande fermeté l’agression par gaz asphyxiant qu’a subit notre Leader Serigne Mansour Sy Djamil le dimanche 10 juillet à Djeddah-Thiaroye lors d’une conférence religieuse, « Takusaanu Baay Jamil ».
Mouvement des Forces Vives du 23 Juin 2011« Touche pas à ma Constitution » « Wade Na Dem » Déclaration du 28 juin 2011 lutte continue ! Nous, Membres du Mouvement des Forces Vives du 23 juin, signataires de la déclaration rendue publique à la Salle Daniel Brottier le 22 juin 2011, sommes réunis le 24 juin à l’effet de tirer le bilan et dégager les perspectives des manifestations organisées le 23 juin sur l’ensemble du territoire national et dans la diaspora contre le projet de loi instituant l’élection simultanée d’un président et d’un vice-président avec seulement 25% des suffrages exprimés.
HISTORIQUE JOURNEE DU 23 JUIN 2011 : YOONU ASKAN WI /Mouvement pour l’Autonomie Populaire Permanence nationale : HLM Grand Yoff, villa n°218, Dakar Récépissé n°13740/MINT/DAGAT du 27 Janvier 2009 TEL: 221 338274327 - Site Web: http://www.facebook.com/l/6AQCkM3DQAQBTxPAaHeCyV3onWPVDvizHZ2EdBAiyH__Pjw/www.yoonuaskanwi.org DECLARATION DU SECRETARIAT PERMANENT DE YOONU ASKAN WI JOURNEE HISTORIQUE DU 23 JUIN 2011: LA SOUVERAINETE POPULAIRE EN ACTES ! Abdoulaye Wade vient de subir l’échec de sa vie, suite à sa tentative ratée de faire passer en urgence et en force, à quelques encablures des échéances électorales de 2012, le chambardement du dispositif institutionnel du pays, déjà suffisamment chamboulé par ses soins au seul nom de son dessein cynique de dévolution monarchique du pouvoir.
A quelques mois des élections présidentielles, les sénégalais sont dans une profonde tourmente et une incertitude accablante ; le pouvoir manifestement en bout de souffle, pour ne pas dire en fin de règne ne sait plus où donner de la tête ; quant au peuple, excédé par des délestages intempestifs et un renchérissement intolérable du coût de la vie, il n’a plus confiance à ses leaders - tant politiques que religieux, toutes obédiences confondues ; à l’évidence, le Sénégal est en train de vivre une situation inédite, avec une crise politico religieuse gravissime qui risque de remettre en question les fondements socio culturels qui faisaient de notre peuple une véritable exception dans le concert des nations.
CONTRIBUTION - Il est des hommes qui cherchent tellement l’habileté et la ruse qu’ils en deviennent maladroits et presque tortueux. L’homme politique Thiessois, Idrissa Seck, appartient peut être à cette catégorie. Et c’est malheureux pour lui. Il vient encore une fois de rater un grand moment de l’histoire politique du Sénégal.
Le Sénégal traverse une situation inédite ; il n’a jamais été aussi instable et son chef autant fragilisé, du fait du rejet par le peuple de son mode de gouvernance ; le projet de loi sur le ticket présidentiel et la crise énergétique ont été véritablement la goutte qui a fait déborder le vase ; la configuration du paysage politique a beaucoup changé, de même que les rapports de force ; ainsi, un vaste front social très hétéroclite vient de naître et a décidé d’accroître la pression sur WADE ; il récuse à priori le Conseil Constitutionnel et demande purement et simplement au Président sortant de renoncer à un troisième mandat ; c’est dire donc que la confrontation est quasi incontournable et il faut logiquement s’attendre au pire des cas à l’instauration d’un état d’urgence d’une transition militaire – il n’y a pas d’autres alternatives, si les esprits ne s’apaisent pas, si on ne fait plus confiance à la justice et ne prend pas le temps d’attendre le verdict du Conseil Constitutionnel et de s’y conformer.
Ce que vous allez lire n’implique pas le digne représentant d’un pays occidental qui s’adresse à un compatriote qu’il juge trop bronzé ou pas assez catholique. Ici, le fonctionnaire zélé est sénégalais. Il s’adresse, à Montréal, dans le sous-sol d’un restaurant sénégalais, à un compatriote qu’il juge peut-être pas assez bronzé et trop peu sénégalais à son goût.
Pour la mémoire d’une histoire politique récente du Sénégal qui n’appartient pas encore aux historiens, je voudrais chers compatriotes d’ici et dans la diaspora, rendre un hommage patriotique à Bennoo Siggil Sénégaal, aux mouvements et organisations de la société civile, particulièrement à la Raddho et à Alioune TINE martyrisé, ainsi qu’au mouvement y’en a marre. Mais permettez-moi surtout de décerner une mention spéciale à Serigne Mansour SY Djamil, président du mouvement politique citoyen BES DU ÑAKK et à Sidy lamine NIASSE, pour les multiples symboles et actions militantes qu’ils incarnent.
C’est le président de la République qui va, à coup sûr, rire sous cape. Car, quatre jours seulement après que le Mouvement du 23 Juin, porté sur les fonts baptismaux, a sommé Wade de quitter le Pouvoir dans les meilleurs délais, « Y en a marre » est monté hier sur le ring, pour catapulter dans les cordes Benno Siggil Senegaal. Pour Thiat et Cie, si l’opposition entend marcher sur le Palais, elle devra se passer de leurs services et s’adonner à cet exercice en solo. D’autant qu’il n’est pas question de laisser les commandes de notre pays entre les mains de l’Armée. Même si par ailleurs, disent les « Y en a marristes », ils vont s’opposer par tous les moyens à une candidature de Wade à la Présidentielle de 2012.
Monsieur le Président, C’est avec un coeur serré que je m’adresse à vous, tout en espérant que j’aurai la chance que vous lisiez cette correspondance. Comme tout bon citoyen, je suis très affecté par ce qui se passe sur la scène politique depuis quelques temps. Je suis contre la violence et je condamne toute personne qui en fait un moyen d’expression. Raison pour laquelle je prends ma plume pour vous faire part de mes sentiments par rapport à la situation précaire et très instable que connait le pays. Et j’ose espérer que, homme d’ouverture et de dialogue que vous êtes, vous prendrez en compte mon humble avis.
Certes, le pouvoir libéral nous a causé beaucoup de maux, dissipé autant d’espoirs et poussé une importante frange de la population à la révolte, et cela que du fait de leur aveuglement ; mais en réagissant à ces injustices et iniquités, il ne faut pas que le peuple en fasse autant. A l’évidence, nous sortons d’une situation grave et avons échappé de justesse à un basculement vers le chaos ; Dieu merci, le projet de loi a été retiré, sous la pression de la rue et de l’intervention d’hommes de bonne volonté (religieux et autres) ; miraculeusement, tout est redevenu normal en si peu de temps ; ce qui constitue, encore une fois, une preuve évidente de la réalité de ‘’l’exception sénégalaise’’.