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02
Sam, Nov

Par H. KANE

La coalition Macky2012 est dans tous ses états. Dans un communiqué, elle exprime «toute son indignation» face à ce qu’elle qualifie d’«utilisation abusive des moyens publics de l’Etat par le Premier ministre, des ministres, des directeurs généraux, des présidents de conseil d’administration de sociétés, des conseils de surveillance, des maires, des présidents de conseils régionaux et  ruraux sortants, à des fins de campagne».

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Tout le monde ou presque en a pris pour son grade ! C'est à Mbour que le patron des députés de la majorité présidentielle a dénoncé les comportements du sous-préfet de Ndam, de la Cena et du ministre de l'Intérieur pour leurs actions dans l'affaire dite de la liste non paritaire de Touba.

Le débat sur le non-respect de la loi sur la parité par la liste de la ville de Touba cristallise encore des passions. Et cette fois-ci, c’est Moustapha Diakhaté qui est monté au créneau pour fustiger le comportement du sous-préfet de Ndam et du représentant de la Commission électorale nationale autonome (CENA). «Je dénonce jusqu’à la dernière énergie le comportement du sous-préfet de Ndam et du représentant de la Cena au niveau de l’arrondissement.

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Idrissa Seck poursuit sa tournée avec des flèches contre Macky Sall et son régime. A Guédiawaye hier, le leader de Rewmi a fait un clin d’œil à Alioune Badara Cissé qui, dit-il, a été zappé à Saint-Louis au profit du beau-frère du Président, Mansour Faye.

Idrissa Seck n’approuve pas la réduction des forfaits téléphoniques des hauts responsables de l’Ad­ministration. «Réduire les frais de téléphone de l’Adminis­tration, c’est grave», a dit le leader de Rewmi qui était hier en tournée à Guédiawaye dans le cadre des Locales. M. Seck constate que «la seule rupture réalisée par Macky Sall, c’est la rupture avec le Peuple sénégalais avec qui il avait signé un contrat».

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De retour du Groupe consultatif de Paris à nos jours, le montant des financements des projets inscrits dans le Plan d’actions prioritaires (Pap) 2014-2018 du Plan Sénégal émergent (Pse) mobilisé est estimé à 536,3 milliards de francs Cfa. Ce qui représente 14,4% des engagements de 3 729 milliards.

Les partenaires techniques et financiers, suite à la réunion du Groupe consultatif de Paris, sont en train de tenir promesse. En moins de trois, le montant des financements des projets inscrits dans le Plan d’actions prioritaires (Pap) 2014-2018 du Plan Sénégal émergent (Pse) mobilisé est estimé à 536,3 milliards de francs Cfa. Ce qui représente 14,4% des engagements de 3 729 milliards.  Les cadres du ministère de l’Economie et des finances expliquent dans un document que de retour du Gc tenu les 24 et 25 février 2014, à Paris, à nos jours, le gouvernement sénégalais a signé 24 conventions de financement dans les secteurs de l’agriculture, des transports routiers et de l’éducation, pour un montant de 448,2 milliards de francs Cfa, avec dix partenaires techniques et financiers.

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L’ancien ministre de l’Habitat, Oumar Sarr, son ancien directeur de Cabinet et coordonnateur du «Plan Jaxaay», Abdoul Aziz Diop, ainsi que leurs anciens collaborateurs, ont du souci à se faire. Le procureur de la République a instruit, depuis quelques mois, le Commissariat central de Guédiawaye à faire des investigations sur la réalité des attributions des maisons du «Plan Jaxaay».

Nouveaux développements dans l’affaire du «Plan Jaxaay »: L’étau se resserre autour de Oumar Sarr et Abdoul Aziz Diop

Le «Plan Jaxaay» n’en finit décidément pas de livrer ses secrets. Et ceux qui pensaient que cette traque allait s'estomper peuvent déchanter. Pour cause, depuis quelques mois, et ce dans la plus grande discrétion, le procureur de la République a instruit le Commissariat central de Guédiawaye, aux fins d'investigations sur la réalité des attributions des maisons du «Plan Jaxaay». Et ce n'est pas moins d'une trentaine d'enquêteurs qui se relaient pour trouver la moindre incartade. 

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Aïssata Tall Sall a décidé de défier Tanor. Quelle audace ! Une dame contre l’homme fort du Parti socialiste depuis son «intronisation» en 1996, qui a su écarter les dinosaures comme Djibo Kâ et Mous­tapha Niasse. L’avocate a là un gros dossier à défendre au «procès» des 6 et 7 juin. Le Quotidien revient aussi sur les raisons d’une candidature-rébellion.

Aïssata Tall Sall se jette donc dans cet autre «orient compliqué» que sera sans doute sa candidature à la succession de Tanor. C’est peut-être une surprise, mais ça ne l’est pourtant pas au regard de ses différentes sorties. La dernière fut l’interrogation presqu’affirmative qu’elle a soulevée lors de l’émission Objection de Sud Fm du 11 mai.

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La visite chaotique du Premier Moussa Mara à Kidal (les 17 et 18 mai derniers) vient de connaitre un tragique épilogue. Selon des informations recueillies auprès de très fiables sources diplomatiques à Bamako , puis confirmées par certaines antennes de services de renseignements situées aussi bien dans le Sud algérien qu’au sein des contingents africains de la MUINUSMA, tous les Préfets et Sous-Préfets de la région de l’Azawad ont été égorgés par les éléments du Mouvement National de Libération de Azawad (MNLA) épaulés par les débris des organisations islamistes d’Ansar Dine et du Mujao, encore en vadrouille dans le Nord-Mali. 

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Moustapha Diakhaté : ‘’Nous ne pouvons pas accepter que l'ARPM exerce un contrôle sur le parlement’’
PICCMI.COM- Les députés ne peuvent pas accepter que l'Autorité de régulation des marchés publics (ARMP) exerce un contrôle sur l'Assemblée nationale, a averti, mardi à Saly (Mbour), Moustapha Diakhaté, président du groupe parlementaire de la majorité Bennoo Bokk Yaakaar (BBY). 

‘’L’ARMP dépend de la Primature et nous sommes, quand même, dans le cadre de la séparation des pouvoirs. Nous ne pouvons pas accepter qu’une structure qui dépend du Premier ministre puisse contrôler l’Assemblée nationale’’, a déclaré M. Diakhaté. 
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Leur orientation sexuelle ne fait pas d’eux des personnes à part. Les hommes et femmes qui se sont exprimés le samedi dernier, à l’occasion de la journée de lutte contre l’homophobie, souhaiteraient que tout le monde au Sénégal les regarde comme ils se voient : comme des citoyens qui peuvent à leur manière, participer au développement de leur pays.

S’agissant du traitement de l’homosexualité, le Sénégal est très loin d’avoir atteint le niveau des pays comme l’Ouganda, même si Macky Sall s’est permis de dire à Barack Obama qu’il ne pouvait espérer une quelconque dépénalisation de la part de son gouvernement oubliant exprès que l’homosexualité n’est pas un délit dans le Code pénal du Sénégal. La célébration de la Journée mondiale de lutte contre l’homophobie a donné à certains l’occasion de voir que cette question, qui touche au respect des droits humains, a un impact bien profond dans la société.

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2 700 listes validées et 100 millions de bulletins de vote à imprimer. Les chiffres annoncés jeudi par le ministre de l’Intérieur inquiètent l’Union pour le renouveau démocratique (Urd). Dans un communiqué, le parti dirigé par Djibo Kâ «déplore le nombre exorbitant de listes présentées aux élections». Cette situation résulte, soulignent les Réno­vateurs, de «l’explosion sans précédent du nombre de partis politiques» à laquelle il convient, par conséquent, «de mettre un terme de toute urgence». A ce propos, l’Urd «appelle à une sérieuse concertation des acteurs politiques et sociaux au sortir de ces élections pour rationnaliser enfin la vie politique sénégalaise».

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L'explosion de listes regrettée par le ministre de l'Intérieur eu égard au coût financier qu'elle engendre, mais saluée par d'autres acteurs au nom du principe qui dispose que la démocratie a un prix, ramène les feux de l'actualité sur les mouvements dits citoyens. Par l'ampleur de leur engagement, et peut-être eu égard aux risques qu'ils font courir aux partis politiques traditionnels, ces démembrements de la société civile sont l'objet de commentaires divers. Sur le terrain, nos reporters sont allés demander leurs avis aux citoyens électeurs sur ces «nouveaux» acteurs entrés en confrontations avec les «politiciens professionnels».

FANN-POINT E-AMITIÉ

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La convention signée entre le Sénégal et l'Espagne pour le rapatriement de leurs concitoyens qui ont maille à partir avec la justice indispose Horizon sans frontière (HSF). L'ONG dirigée par Boubacar Sèye dénonce sa signature au mois d'avril dernier, pour une série de rapatriements.

Dans un communiqué parvenu à EnQuête, HSF parle de ''rapatriement abusif et humiliant de migrants sénégalais''. ''Qu’avons-nous fait à ce régime que nous avons nous-mêmes élu pour mériter un tel sort, car il n'y a aucun pays au monde qui signe des accords de rapatriement pour humilier ses ressortissants ?'' s'insurge l'ONG.

HSF indique dans la note avoir constaté que ''pour des raisons de ''suturà'', aucun prisonnier sénégalais ne souhaite purger sa peine au Sénégal''. Donc, l'ONG indique avoir ''signé un accord de partenariat avec des avocats européens pour une assistance juridique des Sénégalais emprisonnés''. Malgré tout, constate-t-elle pour le regretter, ''l’État continue de briller par son silence assourdissant dans sa mission régalienne''. 

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La situation alimentaire au niveau de la région de Diourbel est très précaire. Les producteurs qui attendent avec impatience les intrants agricoles, demandent une aide d'urgence pour leur permettre de démarrer l'hivernage.

 

La campagne agricole de l’année écoulée n’a pas donné des résultats escomptés dans certaines zones de la région. C’est le sentiment le mieux partagé au niveau du monde rural. De Ngoye, en passant par Baba garage dans le département de Bambey, à Dankhe sene, dans le département de Diourbel, les producteurs agricoles sont  dans le besoin alimentaire. 
 
Comme le confirme Alla Samb,un paysan de la localité de Mbapp située dans l’arrondissement de Ndindy : «Dans tout le département de Diourbel,les greniers sont vides .Sans vivres de soudures ,on ne peut pas démarrer correctement la campagne agricole.On se débrouille pour subvenir à nos besoins. Si certains paysans  sont obligés de négocier leurs dépenses, d’autres par contre  bradent  leur bétail au niveau des «loumas » pour subvenir à leurs  besoins alimentaires . Il faut également assister le bétail, car il y a une absence  du tapis herbacé».
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