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Ven, Nov

Djibo Kâ appuie sur l’alarme pour sonner l’alerte dans le monde rural. En visite à Linguère samedi, le secrétaire général de l’Union pour le renouveau démocratique (Urd) a déclaré : «Le pays va mal, rien ne marche et la souffrance du monde rural s’accentue de plus en plus.»

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A peine installé aux commandes de la Primature, Modibo Keita a engagé des consultations pour la formation d'un nouvel attelage gouvernemental. La nouvelle équipe, constituée de 29 membres, est marquée par le départ de sept apparatchiks, jusque-là indéboulonnables, et par l'entrée d'anciennes figures emblématiques du système ATT
 
Au Mali, le remplaçant de Moussa Mara, le nouveau sherpa, Modibo Keita, n'a pas du tout chômé. Les tractations sont allées très vite, vendredi 8 janvier et samedi dans la journée. « La composition gouvernementale était très attendue et devait se faire avant le voyage du président Ibrahim Boubacar Keita " IBK " à Paris, samedi soir, pour participer à la marche républicaine contre le terrorisme au côté du président Hollande », a commenté un proche du palais, contacté par Les Afriques. 
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  Connu dans le monde entier pour son ouverture démocratique, son respect des droits humains et son hospitalité (la Teranga), le Sénégal a montré ces dernières années une autre face en expulsant des personnes réfugiés ou présents sur son territoire pour le simple délit d’avoir librement exprimé leur opinion. Sophie Malibeaux, Makaïla N’Guébla, Kukoi Samba Sanyang, Tiken Jah Fakoly, pour ne citer que ceux-là, en attendant Cheikh Sidia Bayo suspendu à son appel de l’arrêté ministériel prononçant son expulsion, ont différemment fait les frais de ces mesures anti-démocratiques prises sous Abdoulaye Wade et Macky Sall.  

Depuis quelques années, le Sénégal a montré à la face du monde une image qui écorne sa renommée internationale, sa position de «chantre» de la démocratie et des droits humains. Le pays de la «Teranga» (hospitalité) s’est subitement transformé en terre de restriction de la liberté d’opinion. L’une des premières victimes les plus célèbres de ce «coup franc» démocratique est Sophie Malibeaux, correspondante de Radio France Internationale (Rfi) à Dakar. 
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Après les auditions de Tahibou Ndiaye lundi, et de Ibrahima Wade hier, on peut dire que c’est le procès de la gestion de l’administration par le régime de Wade dans le procès de Karim.

A la barre, l’ancien directeur des Domaines a souvent cité le nom du chef de l’Etat d’alors qui intervenait dans l’attribution des terrains destinés à la société Hardstand Sa. «Le président de la République m’appelait et me donnait des directives parce qu’il est le chef de l’administration», précise-t-il. Dans les arguments des témoins, il ressort en général que les sentiments et collusions ont pris le dessus sur l’orthodoxie administrative. Ibrahima Wade le disait déjà lors de son audition par la Commission d’instruction de la Crei : «Le ministre de l’Economie et des Finances de l’époque, en l’occurrence M. Abdoulaye Diop, est lié d’amitié avec l’ancien directeur du cadastre, M. Tahibou Ndiaye. 

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Le ministre en charge des Collectivités locales explique le blocage de la mise en œuvre de l’Acte 3 de la décentralisation par le recrutement «abusif» de personnel. Oumar Youm s’est intéressé, à ce propos, à l’exemple de la mairie de Dakar, dirigée par Khalifa Sall.

Le recrutement «abusif» de personnel par les collectivités locales est l’une des causes du blocage de la mise en œuvre de l’Acte 3 de la décentralisation. C’est le constat fait par le ministre Oumar Youm lors de la cérémonie d’inauguration du nouvel hôtel de ville de la commune de Ross Béthio, jeudi. Le ministre de la Gouvernance locale, du Dévelop­pement et de l’Aména­gement du territoire, qui vantait les mérites de la nouvelle politique de territorialisation mise en place par le Président Macky Sall, a indiqué que ces recrutements se font «sur des bases de clientélisme qui ne tiennent pas compte des compétences, des con­naissances et du profil».

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  Le dossier Petro Tim a fait une incursion au procès de Karim Wade et co-prévenus hier, mardi 06 janvier 2015. Pour cause, dans la plaidoirie en faveur des sociétés off shore créées par Bibo Bourgi et co-actionnaires, la défense a convoqué à la... barre cette affaire où le frère du Président, en l’occurence Aliou Sall, est directement cité. Karim Wade lui-même s’est engouffré dans la brèche suscitée par cette cristalisation autour de la création des sociétés off shore pour déclarer: “ Si un Monsieur nommé Bour Fatick donne deux décrets d’attribution à Bour Guédiawaye dans le domaine pétrolier...”. Avant d’être coupé net, dans son propos, par le président de la Cour. L’affaire Petro-Tim qui a fait des vagues à l’audience d’hier, a été évoquée à l’occasion de l’interrogatoire du témoin Fatou Mballo, notaire ayant participé à la constitution des dites sociétés.  

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Nous commençons à y voir plus clair dans l’avortement de ce coup d’Etat qui devait éjecter Yayah Jammeh du trône quasi royal qu’il occupe depuis maintenant 20 ans.

Pour comprendre la situation actuelle, il faut dresser les portraits des intervenants, qui ont été cravatés par les services de sécurité américains et dont on a la preuve qu’ils ont été à Dakar et qu’ils avaient bel et bien prévu de faire ce coup d’Etat, et qu’ils s’étaient bien donnés les moyens de le réussir. Les deux gambiens arrêtés par la police américaine l’ont été, l’un à Dakar, et l’autre à son retour à Washington, en provenance de Dakar. De plus, à la lecture des renseignements obtenus par le biais de nos sources aux Etats-Unis, il semble acquis que Yayah Jammeh ait été au courant de ce qui se tramait avant son départ pour Dubaï, et qu’il ait bien monté son guet-apens qui allait engloutir les putschistes. 

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  Le congrès d’investiture du Parti démocratique sénégalais, convoqué en août prochain n’a pas pour objet de statuer sur la succession de Me Wade à la tête du Pds. Interpelés sur la question, le coordonnateur national du Pds, Oumar Sarr de même que, Babacar Gaye, porte-parole de cette formation politique ont indiqué que la succession du secrétaire national se fera lors d’un congrès de renouvellement.  

La succession annoncée de l’ancien président de la République, Me Abdoulaye Wade à la tête du Parti démocratique sénégalais ne se fera pas de sitôt. Pressentie par certains observateurs de la scène politique sénégalaise au prochain congrès d’investiture du Pds à la présidentielle de 2017, la question de la succession de Wade à la tête du Pds ne sera pas au menu des débats le 8 août prochain. Interpelés sur la question, le coordonnateur national du Pds, Oumar Sarr, de même que Babacar Gaye, porte-parole de cette formation politique de Me Abdoulaye Wade invitent à faire la part des choses entre un congrès d’investiture et celui de renouvellement. 
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Abou Lô se livre. Dans cet entretien accordé à L’Observateur sous forme de protocole d’interview, le responsable politique de l’Apr et ancien ministre de la Communication commente son passage à la tête de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp) et étale ses différentes réalisations. Le Président du conseil d’administration de l’Aéroport international Blaise Diagne revient, également, sur ses activités politiques, notamment au niveau de Matam où il milite, le compagnonnage entre le Président Macky Sall et ses alliés etc. Entretien.

On ne vous entend plus depuis un moment. Pourquoi ce long silence et que devenez-vous ? 

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Nous avons été très surpris et profondément attristés par les propos irresponsables du prédicateur Oustaz Iran Ndao, approuvant avec beaucoup d’enthousiasme l’attentat odieux à ‘’Charlie Hebdo’’ ; oui, il  déclare que ‘’toute personne qui raille le Prophète (PSL) doit être tué, de même que tout hérétique ou magicien’’, ne se fondant que sur un certain ‘’ouvrage de Charia’’, alors qu’il devait aller à la source (Coran et Hadith). De plus, il s’en est pris violemment à tous les oulémas qui défendent un point de vue contraire, les taxant de corrompus, d’opportunistes et d’hypocrites, et de gens destinés à l’Enfer. A l’évidence, Iran Ndao s’est fourvoyé ; oui, il s’est lourdement trompé ; en témoigne, entre autre, ce hadith dont l’authenticité ne fait aucun doute :

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Abdoulaye Diop est à la barre de la salle 4 du Palais de de justice de Dakar dans le cadre du procès de Karim Wade et ses co-accusés poursuivis pour enrichissement illicite présumé. Le témoin était ministre de l’Economie et des Finances et pourtant il n’était « pas au courant » de bien des choses qui se passaient au sommet de l’Etat. Parce que, dit-il, le Président Wade ne respectait pas la hiérarchisation dans certains dossiers administratifs. Selon l’ancien argentier de l’Etat, le prédécesseur de Macky Sall coordonnait le plus souvent avec les directeurs techniques ou le ministère de Karim Wade ou directement avec Karim Wade. 

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La loi instituant l’OFNAC ainsi que le décret sur la déclaration du patrimoine offrent à l’institution et à sa présidente des pouvoirs exorbitants pour faire rendre gorge à tous les assujettis récalcitrants. On se demande alors quel but vise sa présidente à vouloir porter presse au lieu de mettre en œuvre les pouvoirs qui lui sont conférés.

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