L’envoi des soldats sénégalais au Yémen s'est invité à la cérémonie officielle du Kazu Razab. L'affaire a été évoquée par le ministre de l'Industrie et des Mines, Aly Ngouille Ndiaye, qui conduisait la délégation gouvernementale

Le gouvernement a reçu l’onction du Khalife général des mourides et de la famille de Serigne Fallou sur cette question qui divise les Sénégalais. Touba a même béni la décision du chef de l’Etat. Mieux Serigne Abdou Fatah Mbacké Falilou a même rassuré Macky Sall. "Dites au président de la République de se rassurer. Les soldats partiront en paix et reviendront en paix, Incha Allah", a dit le marabout. Ce dernier n’a pas d’ailleurs manqué de convoquer l’histoire qui, selon lui, a bégayé. 

Etabli à Mbacké, B. Sèye, un riche commerçant, est depuis quelques jours du nombre des pensionnaires de la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Diourbel pour viol sur mineur suivi de grossesse. Seul hic, dans cette histoire, la victime n’est autre que la fille de la personne mise en cause, informe le journal ‘’Libération’’.

S’il y a quelqu’un qui doit bien surveiller ses arrières dans la capitale du Mouridisme, c’est bien Me Abdoulaye Wade. L’ex-président est, à bien des égards, en train de perdre du terrain dans son propre bastion, au profit de son successeur à l’Avenue Roume. Le président Macky Sall est en train de tisser sa toile à la cité religieuse de Bamba. Une véritable opération de charme auprès des familles maraboutiques de la ville sainte. Le “kazu Rajab”, commémorant la naissance de Serigne Fallou Mbacké Khadim Rassoul, n’a pas échappé à la règle.

Le Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc) n’a toujours pas varié dans ses convictions. Il réclame toujours l’indépendance de la Casamance. Malgré 33 ans de conflit armé…C’est du mois l’avis de Elinkine Diatta, porte-parole dudit mouvement qui, dans les colonnes de L’Observateur, est on ne peut plus clair concernant cette question. « Ce que nous voulions et que nous réclamons toujours c’est l’indépendance de la Casamance. Nous sommes très clairs là-dessus.

Le ministre de l'Education nationale, Serigne Mbaye Thiam, a annoncé, vendredi, que les dates des examens de fin d'année ont été repoussées, suite aux perturbations qui ont marqué l'année scolaire 2014-2015. 

Le concours d'entrée en Sixième et l'examen du Certificat de fin d'études élémentaires (CFEE) se tiendront ainsi les 1er et 2 juillet prochain, a dit M. Thiam. 

L'examen du Brevet de fin d'études moyennes (BFEM) initialement prévu le 22 juillet se tiendra le 27 du même mois, a-t-il précisé. 

 Khalifa Sall a apporté des éclairages sur la saisie de la Cour suprême par la mairie de Dakar pour apporter son arbitrage sur l’emprunt obligataire qui oppose l'institution municipale à l’Etat. 
Le maire socialiste de confirmer cette information tout en indiquant qu’il s’agissait juste d’une mesure conservatoire. « La Fondation Gates et le gouvernement américain sont en train de travailler pour rapprocher les positions, mais j’estime que dans des cas pareils, il faut une mesure conservatoire. Il faut permettre à la justice de se prononcer sur ce genre de dossier afin de servir de jurisprudence » a-t-il expliqué. 

Le maire de Ziguinchor (sud), Abdoulaye Baldé, a manifesté dimanche son opposition à la nomination d’un "ambassadeur" des Etats-Unis d’Amérique en Casamance et a estimé que cette décision était "à revoir".


"Il y a une pluralité d’acteurs dont la communauté Sant’Egidio et les Etats-Unis, qui ont nommé un ambassadeur, ce qui est une première, un ambassadeur dans une région. C’est l’une des choses à revoir. (…) Cela ne se fait pas dans une République", a soutenu M. Baldé lors de l’émission Grand Jury de la Radio futurs médias (RFM).

"Je considère que cela revient à donner une particularité à la Casamance. (...) Je pense qu’il ne doit pas y avoir un ambassadeur dans l’une des régions d’une République unitaire", a ajouté l’ancien ministre des Forces armées, aujourd'hui dans l'opposition.

En parlant encore de la désignation, par les Etats-Unis, d’un conseiller spécial pour la Casamance, il a ajouté : "Un ambassadeur, c’est pour une capitale. Il est accrédité auprès d’un chef d’Etat, pas auprès d’une région." 

L’ avocat Robert Bourgi,  personnage influent de la Françafrique, a dîné dans un restaurant huppé des Almadies en compagnie de l’homme d’affaires Diagna N'diaye, conseiller spécial du président de la République et Mankeur N'diaye, ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur. 

Dakaractu avait révélé en exclusivité l'existence d'un scandale sur de fausses quittances à la Douane. Nous avions révélé que le nom du cerveau de cette arnaque est Pape Abdoulaye et qu'une dizaine de transitaires avaient été arrêtés pour les besoins de l'enquête.
Parmi ceux qui ont été auditionnés, figure le beau-fils du patron de Emg Universal Auto, M'baye Guèye. Celui-ci, transitaire, qui s'occupe des transactions de son beau-père, a été certes auditionné, mais libéré immédiatement après que M'baye Guèye est venu apporter les documents démontrant qu'il n'a jamais commis de fraude. Il a été libéré depuis le vendredi après justification de ses transactions. 

« En vérité, Dieu ne modifie pas l’état d’un peuple, tant que les [Individus qui le composent] ne modifient pas ce qui est en eux-mêmes. » 
(Coran, XIII, 11) 

Une large frange de la population sénégalaise est confrontée aujourd’hui à la pauvreté, en dépit des taux de croissance économiques affichés. 

Ceci peut être formellement appréhendé à travers plusieurs indices de pauvreté qui, bien que discutables, tant dans leur méthodologie d’approche que dans leur pertinence, sont confortés par les réalités de la vie quotidienne au Sénégal. 

  Le professeur Amadou Aly Dieng n’est plus. Un brillant esprit s’en est allé. Le professeur Amadou Aly Dieng est décédé avant-hier mercredi 13 mai, à l’âge de 83 ans, à l’Hôpital général de Grand Yoff, des suites d’une maladie. La levée du corps a eu lieu hier, jeudi 14 mai, à la mosquée de Point-E suivie de l’enterrement au cimetière musulman de Yoff à Dakar.  

22 ans après sa mort, la famille de Me Babacar Sèye réclame la réouverture du dossier
Me Babacar Sèye a été assassiné le 15 mai 1993. 22 ans après ce meurtre, la famille de l'ancien vice-président du Conseil constitutionnel réclame toujours justice, le véritable commanditaire de cet assassinat n'est toujours pas arrêté. Abdi Sèye, fils du défunt, estime qu'il y a des "beaucoup de nouveaux éléments qui ont été mis sur la table de la justice" et qui favorisent la réouverture de ce dossier. Malheureusement, regrette M. Sèye, "l'Etat ne souhaite pas rouvrir cette affaire pour des raisons qui lui sont propres. Ça fait 22 ans que l'Etat a cette affaire sur la table et de Abdou Diouf à Macky Sall en passant par Abdoulaye Wade, aucun de ces chefs d'Etat qui se sont succédé à la tête du pays n'a voulu rouvrir le dossier".

En septembre 2014, Leral.net, dans une enquête exclusive, tirait la sonnette d'alarme sur les pratiques peu orthodoxes, pour ne pas dire mafieuses, qui avaient cours au palais de la République. Entre petites magouilles, corruption et autres marchandages, ceux que nous avions appelé " les courtiers " de la République s'en donnaient à cœur-joie. Rien que pour une audience avec le maître des lieux, il fallait casquer fort auprès de certains collaborateurs du président de la République.

" Le président de la République doit nettoyer les écuries d'Augias. Car, ce qui se passe dans son Palais dépasse les limites de l'entendement. On en a parlé sous les précédents régimes, mais là, c'est le comble (...) Le chef de l'Etat avait pourtant donné des instructions fermes pour que les courriers soient traités dans les meilleurs délais, mais là, je peux vous dire que beaucoup de ces lettres atterrissent tout simplement à la poubelle. À moins de faire l'effort financier, c'est-à-dire mettre la main à la poche ", confiait une source bien au fait de ces pratiques à votre site préféré.