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Ven, Nov

Polémique autour de la loi sur le parrainage : Macky Sall tempère les ardeurs de l'opposition

En visite chez le Khalife général des Layènes ce jeudi 12 avril, le président de la République s'est prononcé sur l'actualité marquée ces derniers jours par le controversé projet de loi sur le parrainage.
À ce propos, Macky Sall a appelé les uns et les autres à plus de sérénité.

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Les cartes d’identité de Wade plus chères que celles de Macky

(Par Amadou DIOUF) – On a beaucoup épilogué sur les nouvelles cartes d’identité et d’électeur biométriques. Certes, il y a eu quelques dysfonctionnements dans la confection et la distribution de ces cartes, mais ces erreurs, corrigibles, ont été malheureusement exploitées par l’opposition (c’est de bonne guerre) et des politiciens encagoulés (c’est moins honnête), pour jeter péremptoirement le bébé et l’eau du bain.

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Loi sur le parrainage : Ismaïla Madior Fall répond à Bathily et écarte un 23 juin bis

 A quelques jours de l’examen du projet de loi qui fait polémique, le ministre de la Justice a, anticipant sur les débats, défendu le texte ce 8 avril sur les ondes de la Rfm. De l’avis du Pr. Ismaïla Madior Fall, qui était invité à l’émission dominicale le Grand Jury, « personne ne peut remettre en cause le principe démocratique du parrainage ».

« Le 23 juin, la loi qu’on voulait proposer était anti-démocratique parce qu’elle remettait en cause le mode d’élection du président de la République en permettant à un Sénégalais qui a 26 % d’être président de la République. Le parrainage, c’est la modalité de présentation des candidats. Le mode d’élection ne concerne pas le parrainage, ou l’inverse, le parrainage ne concerne pas le mode d’élection », telle est la position défendue par le Pr. Ismaïla Madior Fall.

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Révision exceptionnelle des listes électorales Goorgoorlu joue à l’abonné absent

Les opérations de révision exceptionnelle des listes électorales démarrées, le 1er mars dernier, se poursuivent jusqu’au 30 avril prochain. A un mois environ de la fin de ce processus, on est bien loin de la grande affluence au niveau de certaines commissions classiques, tant les électeurs se font désirer. Que ce soit au niveau du Centre socioculturel de Derklé ou à l’école Acapes des Parcelles assainies, en passant par le Foyer de Grand-Yoff, le constat est le même. A un mois environ de la fin des opérations de révision exceptionnelle des listes électorales, les citoyens se font désirer au niveau des commissions classiques des listes électorales logées dans ces différents lieux. De passage au niveau de ces principaux lieux d’enregistrement et de modification des données des électeurs dans les listes électorales hier, mardi 27 mars, c’est plutôt une ambiance désertique que nous avons trouvée sur place.

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Sénégal - Mahmout Saleh : « Le coup d'Etat rampant, c'était l'initiative de Idrissa Seck de soustraire au Président Wade de ses prérogatives constitutionnelles»

Il a été noté au sein de l’Alliance pour la République (Apr) et de ses alliés de Benno Bokk Yakaar (Bby), des répliques disparates aux sorties au vitriol de Idrissa Seck de Rewmi et de Abdoulaye Bathily de la Ligue démocratique, contre les démarches politiques du Président Sall et son projet d’instituer le parrainage à la prochaine Présidentielle.

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Sénégal - L’IED appelle à la création d’un large front de résistance nationale contre les manipulations constitutionnelles et électorales

Contre le parrainage piégé, le coup d’Etat constitutionnel et électoral concocté par le régime de Macky Sall ! Au lendemain des élections législatives calamiteuses du 30 juillet 2017 et à la veille des échéances électorales de 2019, les mêmes problèmes et les mêmes exigences démocratiques se posent à notre peuple, dans un contexte plus que jamais caractérisé par  les anomalies inacceptables liées au processus électoral, la violation permanente et systématique des lois et règlements, les agressions contre les libertés individuelles et collectives, l’interdiction et  la répression barbare, par le régime de Macky Sall, de toutes les manifestations politiques et/ou citoyennes à caractère démocratique ou patriotique. 

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Sénégal - Rupture de consensus germes de la violence

 L’on a coutume de se targuer d’une expérience électorale centenaire au Sénégal, pour rassurer sur la tenue d’élections calmes et transparentes, mais il n’en demeure pas moins que le pays n’a pour autant pas été épargné par la violence électorale. En perspective des élections de 2019, les germes de la violence résident, dans la rupture unilatérale du consensus autour du parrainage, du bulletin unique, tout comme de la personnalité en charge de l’organisation des élections, etc. 

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Congrès des FDS : « Mon interlocuteur, ce n’est ni Idrissa Seck, ni la Génération Y, mais le peuple sénégalais » (Babacar Diop, FDS)

Comme annoncé précédemment, le parti Forces Démocratiques du Sénégal (FDS) était en congrès constitutif ce samedi 07 avril 2018 au Théâtre National Daniel Sorano. Une occasion pour le Dr Babacar Diop de jeter les bases de son nouveau parti. « Nous sommes un mouvement de gauche, progressiste et patriotique », a-t-il précisé. Pour l’ancien socialiste, le parti FDS est particulièrement dédié aux victimes et aux oubliés par le régime en place, ainsi qu’à la jeune génération.

L’ancien secrétaire général du mouvement Jeunesse pour la Démocratie et le Socialisme regrette le fait que le Sénégal n’a jamais pu changer d’alternative, mais seulement d’alternance depuis 1963. En effet, Babacar Diop considère que le pays n’a pas de problème avec des hommes politiques, mais plutôt de système politique.

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Système de parrainage à la présidentielle : Macky Sall a-t-il consommé la pomme de discorde ?

Tout porte à croire que le système de parrainage, tant redouté par l’opposition sénégalaise, motive deux mesures prises lors de la rencontre du Conseil des ministres de ce lundi : le projet de révision constitutionnelle et la modification du code électoral.

Ainsi, presque deux ans, jour pour jour, après le référendum de 2016, on risque d’assister à une énième modification des articles 3 et 24 de la Constitution.

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