SENETOILE NEWS
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A mi-mandat, Macky Sall manœuvre fort pour sa réélection lors de la prochaine Présidentielle. En plus des projets qu’il a lancés pour étoffer son bilan, le président de l’Alliance pour la République (Apr) a défini les contours de la nouvelle coalition qui devra porter sa candidature.
C’est maintenant fini. Le projet est ficelé.
Mame Less Camara, considère l’acte du Président Macky Sall comme un geste de bonne volonté. Il en fait une double analyse. D’abord, le journaliste trouve subjectif le fait que les deux hommes politiques aient saisi une occasion comme la Tabaski qui est un moment de fête et de communion pour s’adresser des messages.
Les jeunes de l’Apr préparent la Tabaski dans la bagarre. La réunion convoquée hier par Abdou Mbow n’a pas été interrompue par la violence. Au-delà de la contestation du coordonnateur, Abdou Mbow, l’appui financier que leur leader et par ailleurs chef de l’Etat, Macky Sall, leur a alloué pour cette fête a exacerbé la tension.
L’OBS – Les leaders de Bennoo Bokk Yaakaar ont fait face à la presse hier pour apporter des clarifications sur la résurrection du Sénat, mais aussi pour présenter aux populations les projets-phares du Plan Sénégal émergent (Pse).
iGFM- (Dakar) Le président du groupe parlementaire « Benno Bokk Yakaar » (BBY) Moustapha Diakhaté, est l’invité de votre émission « 13 mn pour convaincre ». Il revient dans cet entretien sur les attaques dont il fait l’objet dans l’Alliance pour la république (APR), l’affaire des accusations de corruption de la « Fondation Sevir le Sénégal », les convocations de responsables libéraux à la gendarmerie et les renouvellements du bureau de l’Assemblée nationale.
Le président de la République, Macky Sall, entend mieux gérer ses relations avec les différentes familles religieuses du Sénégal. Aussi maintient-il la cadence dans sa grande opération de charme déployée en direction de Touba.
Faire tout pour avoir et maintenir de bonnes relations avec l’ensemble des foyers religieux du Sénégal. C’est l’option prise par la présidence de la République, depuis quelques semaines.
Le chef de l’Etat a reçu le rapport définitif de la Commission électorale nationale autonome sur les élections locales du 29 juin dernier. L’organe de contrôle y a mentionné que les difficultés liées à l’application de la parité, surtout à Touba, imposent une modification de la loi pour l’adapter aux réalités sociologiques du pays.
Tant que le cumul des fonctions publiques est admis, la culture qui consiste à percevoir plusieurs salaires a de beaux jours devant elle. L’appellation «indemnités» cache toute une jouissance.
«Indemnités» ici, «émoluments» là. Toutes ces appellations sont des salaires mensuels. Le cumul de revenus est formalisé et institué. Ministres, élus locaux et députés s’en régalent. Les finances publiques en quête de vertu et de sobriété en souffrent. S’il est interdit à un ministre d’être président de Conseil départemental, il peut tout de même jouir d’un statut de maire et toutes les indemnités prévues par le Code général des collectivités locales et par un décret présidentiel.
Après Khalifa Sall, c’est au tour d’Idrissa Seck de crier famine. Les collectivités sont bloquées et rien ne marche dans les communes et conseils départementaux. Yankhoba Diattara, 1er vice-président du Conseil départemental de Thiès a invité les autorités centrales et locales à accélérer la cadence dans la mise en œuvre des réformes nées de l’Acte III de la décentralisation.
Macky2012 se retrousse les manches. La coalition qui avait soutenu le chef de l’Etat au premier tour de la Présidentielle entend rendre «visibles» les projets enclenchés par le président de la République. La Conférence des leaders de cette coalition compte utiliser en ce sens «toutes les méthodes et stratégies de communication adaptées à nos réalités sociologiques», souligne le communiqué.
