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Me Souleymane Ndéné Ndiaye a procédé hier, jeudi 28 mai, au lancement de son parti politique. Dénommé l’Union nationale pour le Peuple (Unp), ce parti est d’obédience «libérale» avec un «programme économique d’inspiration libérale et sociale». Lors de la cérémonie de lancement, le dernier Premier ministre du régime libéral, intervenant sur divers sujets, a non seulement réaffirmé son souhait d’être candidat lors de la prochaine présidentielle mais a aussi écarté toute idée de transhumance vers le parti au pouvoir.
Souleymane Ndéné Ndiaye a procédé hier, jeudi 28 mai, au lancement officiel de sa formation politique. Celle-ci s’est tenue en présence d’un parterre d’invités parmi lesquels Djibo Leity Ka, leader de l’Union pour le renouveau démocratique (Urd) et d’anciens ministres libéraux. Dénommé l’Union nationale pour le Peuple (Unp), ce parti est d’obédience «libérale» avec un «programme économique d’inspiration libérale et sociale», si on en croit son Secrétaire Général, Me Souleymane Ndéné Ndiaye.
Me Souleymane Ndéné Ndiaye devient ainsi le troisième ex-Premier ministre de l’ancien régime libéral a créer son propre parti politique après avoir tourné le dos au Parti démocratique sénégalais et à son secrétaire général national, à la suite d’Idrissa Seck, leader de Rewmi et l’actuel chef de l’État, Macky Sall. S’exprimant lors de ce lancement, l’ancien maire de Guinguinéo a indiqué que la lutte contre la fracture sociale, pour l’inclusion sociale et l’éradication de la pauvreté au Sénégal seront les ambitions premières de son parti. Il a aussi rendu un vibrant hommage à son ancien maitre penseur et formateur, Me Abdoulaye Wade, un homme qui, dit-il, «m’a confié de grandes responsabilités et qui m’a forgé».
Me Souleymane Ndéné Ndiaye devient ainsi le troisième ex-Premier ministre de l’ancien régime libéral a créer son propre parti politique après avoir tourné le dos au Parti démocratique sénégalais et à son secrétaire général national, à la suite d’Idrissa Seck, leader de Rewmi et l’actuel chef de l’État, Macky Sall. S’exprimant lors de ce lancement, l’ancien maire de Guinguinéo a indiqué que la lutte contre la fracture sociale, pour l’inclusion sociale et l’éradication de la pauvreté au Sénégal seront les ambitions premières de son parti. Il a aussi rendu un vibrant hommage à son ancien maitre penseur et formateur, Me Abdoulaye Wade, un homme qui, dit-il, «m’a confié de grandes responsabilités et qui m’a forgé».
PAS DE RALLIEMENT A L’APR, NI DE TRANSHUMANCE
En outre, il a également tenu à réaffirmer qu’il ne ralliera jamais le parti présidentiel mais aussi son souhait d’aller tout seul à la conquête des suffrages des Sénégalais, lors de la prochaine présidentielle. «Je ne serai jamais un militant de l’Alliance pour le République (Apr) de Macky Sall. Si je devais aller avec Macky Sall, je l’aurais fait depuis longtemps. Il ne m’a jamais traversé l’esprit de transhumer. Je ne suis pas du genre à transhumer», a-t-il martelé.
Avant de poursuivre dans la foulée, « Notre vocation pour l’heure, c’est d’exister par nous-mêmes. Nous attendons d’exister dans toutes les collectivités locales du Sénégal pour penser trouver des allés». Interpelé enfin sur le débat lié à la transhumance politique au Sénégal, le patron de l’Unp s’est engagé à l’éradiquer s’il accédait à la magistrature suprême. Et la méthode pour venir à bout de la transhumance consiste, selon lui, à introduire une disposition dans le code électoral qui fera perdre «à quiconque qui quitte un parti politique défait à une élection ses droits civiques».
Avant de poursuivre dans la foulée, « Notre vocation pour l’heure, c’est d’exister par nous-mêmes. Nous attendons d’exister dans toutes les collectivités locales du Sénégal pour penser trouver des allés». Interpelé enfin sur le débat lié à la transhumance politique au Sénégal, le patron de l’Unp s’est engagé à l’éradiquer s’il accédait à la magistrature suprême. Et la méthode pour venir à bout de la transhumance consiste, selon lui, à introduire une disposition dans le code électoral qui fera perdre «à quiconque qui quitte un parti politique défait à une élection ses droits civiques».
source: http://www.sudonline.sn/souleymane-nd%C3%89n%C3%89-ndiaye-lance-l-unp_a_24665.html