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L’affaire des deux filles de la Sicap Liberté 5 A, H.D. et A.ND., posant nues pour leur amant de race blanche, continue de faire des vagues. Pour jouer de tels rôles, les deux filles (mineures à l’époque des faits, en 2008), auraient reçue la modique somme de 20 euros (13.000 FCfa).
Plus de 48 heures après la terrible révélation du journal Walf Grand Place faisant état de l’exhibition des deux filles pour ?leur amant de race blanche et que d’aucuns ont qualifié « d’obscène », le voile? se lève sur leur identité. On en?sait un peu plus sur les noms et?leur rémunération à l’issue de leur partouze?sulfureuse avec leur Don Juan dans un hôtel de la place. A la Sicap où elles habitent, c’est le silence total du côté des deux familles. Mais les langues se sont déliées pour renseigner que les deux jeunes minettes à l’époque des faits (2008), s’appellent H. D. et A. Nd. Toutes les deux habitent la Sicap Liberté? 5 A, à quelques encablures d’une grande société de téléphonie de ce pays. Apparemment très irrités par « les photos obscènes », nos interlocuteurs se disent scandalisés que les filles n’aient reçu comme rétribution pour leurs actes que la « modique somme de 20 euros (13.000 F) ». Et nos sources de s’exclamer, « mais comment des filles de bonnes familles peuvent-elles se permettre de telles infamies? ?
Il faudrait que nos parents soient?plus vigilants quant à l’éducation de nos sœurs, sinon on va vers une totale dépravation des mœurs ». « Si pour 13.000 F, elles sont capables de faire de tels actes obscènes, jusqu’où elles iraient si on leur payait des millions? ? » se demande l’un d’eux. La réponse coule de source, lui rétorque son ami pour qui?« on est à la dérive et on est arrivé à une période où nos sœurs et filles ne vont plus se gêner pour vivre leur vie comme bon leur semble sans que personne n’ait un mot?à dire ». Revenant sur l’identité des deux filles, à les? en croire? A. Nd. a fréquenté durant son cursus scolaire, le lycée Maurice De La Fosse où elle ne passait pas inaperçue au regard de sa noirceur d’ébène et de sa beauté juvénile. Aujourd’hui, la jeune fille a délaissé les études secondaires au profit d’une formation dans le domaine de la restauration dans un institut de la place. H. quant à elle, ne fréquente plus l’école depuis longtemps. On ne lui connait aucune activité professionnelle. Sa famille jouit cependant d’une très bonne réputation dans le quartier. Son père est d’ailleurs très influent dans un mouvement religieux du coin où il occupe un poste stratégique. C’est pourquoi ceux qui ont vu ses « photos osées » restent aphones face à cette audace. ?Pourtant, les photos d’A. Nd. ne sont rien par rapport?à celles de sa complice et amie H. D. Celle-ci est d’un teint clair, d’une beauté à la Néfertiti. Ses poses, ses déhanchements devant l’œil de la camera renseignent qu’elle peut rivaliser avec la très célèbre anglaise Naomi Campbell, surtout que sa plastique semble plus fine que celle du mannequin international. Les deux semblent être liées par le même destin. Celui de croquer la vie à belles dents malgré les injonctions des parents et au détriment de la morale.
Recherchées par la Dic
A en croire nos sources, la Division des investigations criminelles (Dic)?seraient à la recherche des filles qui auraient pris la poudre d’escampette depuis que l’affaire a éclaté. En tout cas, elles ne sont pas visibles dans le quartier et personne ne peut les localiser. Cette affaire, si elle est? prise en main par la Dic, traduit la volonté des autorités étatiques de sanctionner de telles pratiques comme cela avait été le cas avec les affaires passées. En effet, la loi permet en tout cas au procureur de la République de s’autosaisir et procéder à l’audition des incriminées s’il juge la gravité des faits. C’est d’ailleurs le cas dans l’affaire Makéba et Ndèye Guèye à travers les fameux épisodes de « L’affaire Mathiou et Goudy Town ». L’implication du procureur de la République avait abouti à leur arrestation ainsi que les personnes incriminées et un long feuilleton judiciaire s’en était suivi avec de multiples rebondissements judiciaires. Cette fois-ci encore, la presse?sénégalaise, notamment le journalisme d’investigation,?s’est encore illustré par la révélation des faits graves dont les femmes sont malheureusement à l’origine. Lesdites révélations concernent des affaires de mœurs où les personnes incriminées sont des mineures, c’est-dire l’âge où on est censé être à côté de sa famille, loin des tribulations de la société. ?Malheureusement, tel n’a pas été le cas. Rappelons que?H.D. et A. Nd. ont leurs consœurs ou du moins leurs inspiratrices Marième Diao alias Makéba,?Oumou KH. Mbengue Diao, deux sœurs aussi qui n’avaient pas, à l’époque des faits, atteint la majorité pénale.
Source : LE SOLEIL