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La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho) peint un tableau sombre du climat politique et social au Sénégal. Dans un communiqué parvenu à Sud Quotidien hier, vendredi 29 janvier, Aboubacry Mbodj, coordonnateur de la Raddho et compagnie attribuent la détérioration du climat à l’absence de dialogue. Par conséquent, les droits de l’hommistes se proposent d’organiser «un débat national pour la promotion d’un dialogue politique et social à la fois fécond et sincère». Qui plus est, les «droits de l’hommistes» pensent créer ainsi «les conditions d’une large concertation», qui regroupera, selon eux, toutes les franges de la société. Le but est, selon les initiateurs de la rencontre, «de contribuer au renforcement des acquis de la démocratie par la création de mécanismes de dialogue permanent et conjoncturel de tous les acteurs».
La Raddho a en outre fait cas, sur le plan social, «d’importants remous dans les secteurs de l’éducation, qui menacent surtout le bon déroulement de l’année scolaire et universitaire». Pis, ajoutent-ils, «comme la santé, des grèves perlées paralysent la bonne marche des services de santé». Autant de dysfonctionnements qu’Aboubacry Mbodj et cie mettent sur le compte d’un «dialogue politique en panne depuis plus de quatre ans».