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Ven, Nov
La Une de la Presse

La Une de la Presse (1514)

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Le premier round des négociations entre transporteurs sénégalais et gambiens a échoué en raison de l'absence de la partie gambienne. Ces négociations qui devaient s'ouvrir hier, mardi 7 janvier à Keur Ayib, visaient la voie d'un règlement de cette crise, sept jours après son déclenchement. Les transporteurs sénégalais sont revenus à la charge en bouclant les frontières aux gros porteurs. Les mouvements des véhicules particuliers via la Gambie pourraient aussi être soumis aux mêmes obligations.

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L'OBS du 07/01/2014

Itw EL HADJI MALICK GAKOU, N° 2 DE L’ALLIANCE DES FORCES DU PROGRES

«Rien, ni personne ne peut créer une distance entre Moustapha Niasse et moi»

Le numéro 2 de l’Alliance des forces du progrès, El Hadji Malick Gakou sort de sa réserve. Ses relations avec Moustapha Niasse, la fronde en gestation et le fonctionnement du parti, le gouvernement, la baisse du loyer, l’acte 3 de la décentralisation… tout  passe dans l’entretien qu’il a accordé à l’Obs.

 

Si cela ne tenait qu’à la Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho), l’ex-ministre d’Etat Karim Wade, emprisonné à Rebeuss depuis la mi-avril 2013 dans le cadre de la traque des biens supposés mal acquis, serait rendu à la liberté, du moins provisoirement, ainsi que les mis en cause dans cette sulfureuse affaire de reddition des comptes. Pour cause, a affirmé dans un débat radiophonique hier, lundi, le secrétaire général de la Raddho, Aboubacry Mbodji, «la Crei peinant à démontrer l’abus de deniers publics… il faudrait au moins accorder la liberté provisoire aux personnes en attendant qu’on puisse trouver des preuves probantes qui puissent permettre un jugement ». 

Le chef de l’Etat Macky Sall a sacrifié, hier, à la traditionnelle levée des couleurs prévue le premier lundi de chaque mois. A l’issue de ce cérémonial républicain, il a appelé tous les Sénégalais à l’accompagner dans la mise en œuvre des réformes qu’il a engagées.

« J’espère que 2014 sera l’année de ruptures, de mise en œuvre de toutes les réformes qui nous permettrons d’atteindre nos objectifs d’émergence. Je demande l’accompagnement des citoyens, des syndicats, des étudiants pour qu’on n’y arrive», a déclaré, hier, le président de la République Macky Sall. C’était à l’issue de la traditionnelle cérémonie solennelle de levée des couleurs, désormais inscrite dans l’agenda gouvernemental, au Palais de la République. 

Par ces temps qui courent, Youssou Ndour ne fait pas que jouer sur scène. Il fait bouger dans le parti de Macky Sall. Le chanteur, leader de Fekke maci boole, veut devenir un militant de l’Alliance pour la République.

Les jours du mouvement Fekke maci boole sont comptés. Le Quotidien a appris que son leader, Youssou Ndour, est dans une dynamique de le fondre dans l’Alliance pour la République (Apr). Il se susurre que le lead vocal du Super étoile a affiché de «bonnes dispositions» pour rejoindre le parti présidentiel. L’ancien ministre du Tourisme et des Loisirs veut ainsi s’appuyer sur l’appareil électoral que constitue l’Apr pour se faire élire à la tête de la Ville de Dakar. 

L'OBS du 06/01/2014

 

BAISSE ANNONCEE DU PRIX DU LOYER
Ces écueils qui risquent de plomber le projet de Macky Sall

Lobs signale que la volonté politique de baisser les prix du loyer est réelle, mais elle ne suffit pas pour mettre en œuvre la mesure du chef de l’Etat. Macky Sall devra régler des préalables d’ordre juridique avant d’inscrire la baisse du loyer dans son bilan.

Le Fonds monétaire international a intégré le Sénégal parmi les rares pays qui ont amélioré leurs capacités de gestion de leurs finances publiques et fait des efforts dans la mise en œuvre de leurs politiques macroéconomiques. En conséquence, le Fmi permet dorénavant au gouvernement de pouvoir s’endetter à des conditions encore plus douces.

A partir de cette année, le Sénégal pourra emprunter plus facilement de l’argent et à des taux encore plus souples. 

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Le chef de l’Etat a rencontré, samedi, au palais de la République, un aréopage d’intellectuels composé d’universitaires, d’écrivains, d’architectes, de poètes, de cinéastes et d’observateurs de la scène politique. Macky Sall les a encouragés à perpétuer la tradition d’excellence intellectuelle et culturelle du Sénégal et a promis de restituer le Musée dynamique au monde de la culture 
C’est le monde de la création intellectuelle et artistique dans toute sa diversité qui a rencontré, samedi, dans la salle des Banquets du Palais présidentiel, le chef de l’Etat Macky Sall. Ce cadre d’échanges a permis à ces universitaires, écrivains, architectes, poètes, cinéastes, observateurs de la scène politique, artistes, etc., de discuter avec le président de la République sur de nombreuses questions d’actualité et sur le rôle que les intellectuels doivent jouer dans la consolidation de l’idéale républicaine. 

 

Professeur à Columbia University (New York), présentement à Paris où il dispense des cours à l'Ecole Normale Supérieure, Souleymane Bachir Diagne était de passage à Dakar en fin décembre. Nous l'avons accroché après la cérémonie de dédicace organisée par la librairie Athéna autour de son livre "Comment philosopher en Islam ?", un ouvrage ouvre la première production de la nouvelle maison d'édition "Jimsaan" codirigée par les écrivains Boubacar Boris Diop, Nafissatou Dia Diouf et Felwine Sarr. Sur la question de l'Université,  le Pr Souleymane Bachir Diagne est d'avis qu'" il ne faut pas que la question des droits d'inscription soit l'arbre qui cache la forêt des réformes qui sont proposées". Aussi les défis de la formation, la pression des effectifs et l'exigence de qualité sont-ils à relever de toute urgence. Abordant ses réflexions sur l'Islam, il souligne que : "Le seul vrai jihad dans lequel les sociétés musulmanes doivent s'engager, c'est la recherche du savoir".

L’Etat ne paiera plus de loyer pour ses fonctionnaires. La mesure commence à devenir effective et cible certains magistrats. Cette décision est dénoncée par l’Union des magistrats du Sénégal (Ums) qui parle de «provocation» et demande à ses membres de ne donner aucune suite aux demandes ou convocations émanant des gendarmes.

Le Président Macky Sall avait décrété qu’il n’y aurait plus de logements conventionnés pour les fonctionnaires.