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Ven, Nov
La Une de la Presse

La Une de la Presse (1514)

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Demain, la communauté mouride célèbre le grand Magal de Touba 2013. Dans la ville sainte, les préparatifs ont été entamés depuis plusieurs semaines et se déroulent normalement. Les pèlerins, venus des quatre coins du pays et de l’extérieur, commencent à prendre d’assaut la cité de Cheikh Ahmadou Bamba. Le chef de l’Etat, Macky Sall, est arrivé à Touba jeudi en début de soirée accompagné de son épouse et de membres du gouvernement. Il a effectué la prière du vendredi dans la grande mosquée. Des ministres, chefs de partis politiques et diverses personnalités affluent vers la capitale du mouridisme. Tous ont pour seul et unique souci de commémorer le départ en exil de Cheikh Ahmadou Bamba.

MACKY SALL APRES LA PRIERE DU VENDREDI: « JE RENDS GRÂCE À DIEU ET REMERCIE LE KHALIFE GÉNÉRAL DES MOURIDES »

·         politique : Dans l’ombre du père

Biya, Sassou, Condé, IBK, Deby… est-il légitime ou non qu’un enfant de chef d’État africain puisse songer à le devenir à son tour ? Jeune Afrique revient sur le parcours de ceux qui doivent l’essentiel de leur jeune carrière politique à leur patronyme. Leur ambition, réelle ou supposée, nourrit fantasmes et critiques. Mais pour ces fils de chefs, le plus dur reste de se faire un prénom. Quant aux filles, souvent cantonnées au sein des cabinets de leur père et pas toujours prises au sérieux, elles peinent à s’imposer.

·         Centrafrique : « L’homme qui ne voulait pas du pouvoir… mais qui aimerait bien le garder »

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Le Conseil des ministres s’est réuni, hier, mercredi 18 décembre 2013 à 10 heures, au palais de la République, sous la présidence de son Excellence Monsieur Macky Sall, président de la République.
Le chef de l’Etat a entamé sa communication en faisant observer aux membres du Conseil, une minute de silence à la mémoire de nos quatre soldats décédés au champ d’honneur, dans le cadre des missions de paix et de sécurité internationale au Mali et au Darfour. Au nom de la nation  toute entière, le président de la République renouvelle ses condoléances à nos Forces de défense et de sécurité, aux familles éplorées et magnifie, dans le même élan, le professionnalisme exceptionnel des militaires sénégalais, qui contribuent, à travers le monde, à la consolidation du prestige de notre pays. A ce titre, il leur renouvelle toute sa confiance et ses encouragements.

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L’affaire Chérif Ndao, torturé lors d’une session de formation à Thiès, est une véritable bombe entre les mains de la haute hiérarchie du Groupement national des sapeurs-pompiers. Têtue, la vérité a fini par rattraper les soldats du feu. Malgré leurs dénégations et la stratégie de défense déployée pour justifier une «mort naturelle» qu’ils ont agitée dès les premières heures de la bavure. Le diagnostic du Professeur Diatta, responsable du Service d’assistance et des urgences  de l’hôpital Principal de Dakar, est sans appel : Chérif Ndao a été assassiné. Cette sortie vient corroborer les conclusions contenues dans le dossier médical du défunt que son service avait réalisé au soir de la mort tragique du natif de Kaffrine.  Nous reproduisons in extenso cette réaction  du médecin qui n’arrive pas à contenir son émotion et sa peine.

mardi, 19 novembre 2013 00:00

TRAQUE DES BIENS MAL ACQUIS Me Wade lave Karim

Écrit par

 

En séjour actuellement en Côte d'Ivoire, Me Abdoulaye Wade s'est prononcé sur l'affaire Karim Wade, en affirmant sur les ondes de RFI que ce dernier a «commis le délit d'être fils d'un Président en Afrique »Pour lui, «La justice sera dite, un jour. Un jour, il sera déclaré innocent, je vous le promets parce qu'il n'a rien fait».

 

 «Ce qui lui (Karim Wade, ndlr) arrive, c’est d’avoir commis le délit d’être fils d’un Président en Afrique. C’est un délit. La preuve : il est en prison. Mais il comprend ça très-bien. La politique, c’est de l’injustice, c’est la force»., a déclaré sur les antennes de RFI, Me Abdoulaye Wade, ancien président de la République du Sénégal. Il soutient que son fils «supporte bien la prison, moi-même je l’ai supporté», a-t-il rassuré.

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La production d’énergie propre est la voie indiquée pour l’avenir de la sous-région, a estimé, hier à Kayes, le chef de l’Etat, Macky Sall. Il a lancé un appel en faveur de l’investissement massif dans ce secteur.

Les chefs d’Etats membres de l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (Omvs) ont inauguré, hier, à Félou (15 km de Kayes), une centrale hydroélectrique dont le potentiel est estimé à 60 mégawatts.

La Chambre d’accusation qui devait statuer sur l’affaire Karim Wade (notamment sur l’inculpation de celui-ci, les réquisitoires et les commissions rogatoires engagées contre lui) a finalement opté pour un renvoi au 9 janvier prochain. L’absence du président de la Chambre d’accusation et de son suppléant en est le principal motif, selon les conseils de l’ancien ministre d’Etat, non moins fils du Président sortant Abdoulaye Wade,  maintenu en prison depuis la mi-avril.

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Le juge du deuxième Cabinet d’instruction, Samba Sall, a placé sous mandat de dépôt Aïda Ndiongue et Abdoul Aziz Diop, respectivement ancienne sénatrice sous le régime libéral et ex-directeur de Cabinet du ministre de l’Urbanisme et de l’Habitat d’alors, Oumar Sarr. En tant qu’auteur principale présumée, l’ex-sénatrice est inculpée d’escroquerie portant sur des deniers publics, estimés à un peu plus de 20 milliards, et de faux et usage de faux en écriture publique et privée de banque, au même titre que Madou Sarr, ancien secrétaire général du ministère de l’Urbanisme et de l’Habitat. Abdoul Aziz Diop est, quant à lui, écroué pour escroquerie portant sur des deniers publics.  

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Bâtir un développement solidaire et inclusif, telle est l’ambition du président de la République. Macky Sall, qui présidait, hier, le dernier Conseil présidentiel de l’année sur le suivi des politiques économiques et sociales, est formel : un autre Sénégal est possible. Un Sénégal émergent, qui ne laisse personne au bord du chemin. Disant vouloir « arracher les racines de la pauvreté », il a dessiné les grandes lignes d’une croissance plus forte, dont le chemin passe, pour le court terme, à Paris où se tiendra, les 24 et 25 février prochains, la réunion du Groupe Consultatif. 

L’Agence nationale pour l’emploi des jeunes (Anej), le Fonds national de promotion des jeunes (Fnpj), l’Agence pour l’emploi des jeunes des banlieues (Ajeb), ainsi que l’Agence nationale d’appui aux marchants ambulants (Anama), vont être supprimées au profit d’une seule entité qui prendre en charge la problématique de l’emploi des jeunes. C’est l’une des grandes décisions annoncées par Macky Sall, lors du conseil présidentiel de suivi des politiques publiques tenu hier, lundi à Dakar.