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Jeu, Nov

Préoccupés par le respect des droits de l’Homme, les membres des sociétés civiles francophones ont de nouveau dénoncé l’impunité des crimes comme les viols dans les zones de conflit, en clôture de la 9ème conférence des Ong et Osc de la Francophonie. Ils sont même devenus des armes de guerre. D’après Me François Cantier, «si ces crimes se développent, c’est parce qu’ils restent largement impunis».

La représentante du président de la République auprès de l’Oif, Penda Mbow, a proposé de fortement criminaliser ces crimes. Pour elle, il faut élever au rang de crime contre l’humanité le viol des femmes dans les zones de conflit. «Il est temps que le corps de la femme cesse d’être considéré comme un espace de conflit», a-t-elle plaidé. «C’est en humiliant la femme que l’on humilie une société toute entière», a-t-elle ajouté.

Le secrétaire général nouvellement réélu du Parti socialiste, Ousmane Tanor Dieng a lancé hier son premier message aux militants, à l’occasion de la conférence nationale du mouvement des femmes socialistes. Dans son adresse, Otd qui s’est senti outré par certains écarts de comportement notés dans son parti, a demandé aux responsables de remettre de l’ordre. «Il faut insister sur la discipline dans ce parti. On ne peut pas, au nom de la démocratie, vouloir imposer son point de vue à la majorité.

Vous venez de sortir un ouvrage intitulé «Le courage d'agir». Pourquoi avez-vous jugé nécessaire de partager votre expérience, à travers un livre ?

Moi, je me veux cohérent avec moi-même.  Je rends grâce à Dieu et remercie mes parents. Et je prie pour mon défunt père. Je rends hommage à Abdoulaye Wade qui a eu la vision généreuse de miser sur la jeunesse, en dotant à une partie de cette jeunesse-là l'expérience étatique nécessaire pour qu'elle puisse aspirer à davantage de rôles dans ce pays. Il a permis à la jeunesse sénégalaise de ne pas être complexée et de comprendre que l'ambition n'est pas seulement un droit, mais un devoir pour tout citoyen. 

Leçon apprise du regretté Aladji Mor Mbaye dont la science exacte de nos sénégalaiseries contribuera pendant des décennies à forger mon regard sur mes semblables… Une nuit, sur les ondes de la Rts, dans les années ’80, une vérité quasi biblique sera balancée durant l’émission «Tey mou nèkh» : dans les cérémonies où mondaines et mondains se bousculent, quand un Vip arrive, flanqué de sa délégation, le griot de service préposé au micro central balance habituellement à la cantonade «laissez les hôtes de marque s’asseoir». Bien entendu, les pauvres hères comprennent que c’est à eux qu’on s’adresse… Le monde est ainsi fait, chienne de vie !

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Ouvrant les débats, Oumar Sarr a salué Me Abdoulaye Wade et a vanté le courage et la dignité des militants. Il a été très bien ovationné par l’ensemble des responsables au terme de son discours. Ensuite Me Amadou Sall a parlé de la légèreté des dossiers des détenus politiques. Il a mis en exergue les violations des droits de ces derniers. Par la suite, Abdoulaye Faye qui a pris la parole pour galvaniser l’assistance, suivi des femmes et des jeunes.

Prenant la parole, Wade a remercié tous les foyers religieux. Il a témoigné tout son honneur et sa fierté à ses vaillants militants surtout ceux qui sont illégalement détenus en prison par Macky Sall. L’ancien président a salué et remercié le peuple sénégalais pour l’accueil chaleureux qu’il lui a réservé. Il a aussi dit que depuis son arrivée, il ne cesse de sillonner le pays et de recevoir les gens de toute catégorie. Mais, ce qu’il a remarqué est que partout où il passe, c’est le même refrain à savoir: »Goorgui baalniou danio dioum ou goorgui nio ngi réthiou linga dém, di réthiou liniou fal Macky »….

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iGFM (Dakar) Le ministre de l’enseignement supérieur a tenu hier une conférence de presse pour faire part de la position du gouvernement sur les mouvements de grève qui se sont presque généralisés dans toutes les universités du Sénégal. Pour Mary Teuw Niane qui se désole de la rébellion notée dans ce temple du savoir, force restera à la loi car le gouvernement n’entend pas rester les bras croisés devant un tel désordre.

iGFM (Dakar) – Sud Quotidien rapporte que, le leader de Rewmi, Idrissa Seck se dit indigné par la gestion du Président Macky Sall. Il l’a fait savoir hier lundi,  lors d’une visite politique à Guédiawaye, aux  militants membres de la coalition  de l’opposition« Boolo Taxawu askan wi ».  «  Il ya une seule rupture que Macky Sall a réalisée, c’est sa rupture avec le peuple sénégalais. C’est clair qu’il a rompu le contrat qu’il avait signé avec le peuple sénégalais », dénonce Idrissa Seck. 

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Dans un sondage réalisé par le cabinet Synchronix et repris par nos confrères de L'Observateur, Macky Sall a du soucis à se faire après seulement deux ans de règne. En effet, selon le document, les Sénégalais semblent avoir tout simplement regretté le choix porté sur sa personne et la déception est le sentiment le mieux partagé.

61% des Sénégalais déçus par Macky Sall

Synchronix révèle que 61% de la population enquêtée pensent que le chef de l'Etat ne parviendra pas à tenir ses promesses électorales.

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LOCALES 2014 : Touba à l’épreuve du Code électoral 

Doudou Ndir aura fort à faire pour amener Touba à se conformer à la loi électorale La liste d’investitures de Benno Bokk Yaakaar (BBY) pour la commune de Touba Mosquée continue de faire des vagues. Le président de la Commission électorale nationale autonome (Cena) s’est fendu d’un communiqué relevant son principal manquement. Mais au-delà de la légalité ou non de celle-ci, Doudou Ndir, le président de la Cena, n’est-il pas en train de soulever la question du statut de la ville sainte de Touba ? La Commission électorale nationale autonome (Cena), n’a pas encore validé la liste Benno Bokk Yaakaar pour la commune de Touba Mosquée. Pour l’organe chargé de superviser et d’organiser les élections au Sénégal, cette liste présente un défaut notoire.

Cela fera à coup sûr grincer des dents quelque part. Suivez notre regard! Et pourtant, c'est en substance la réponse servie par l'ancien  chef de l'Etat à la question de l'envoyé spécial de Jeune Afrique, relative à la possibilité pour Karim Wade de devenir un jour Président
de la République. "Il a une certaine popularité.