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Jeu, Nov

iGFM (Dakar) « Si le Président arrive à un moment où il n’a plus confiance en son premier ministre il peut s’en séparer ». C’est du moins l’avis de Farba Senghor. Celui qui dit avoir « déclaré dès le premier jour de la nomination d’Aminata Touré en remplacement d’Abdoul Mbaye qu’elle est une catastrophe » « Aminata Touré ne pourrait jamais être un bon premier ministre dans la mesure où je l’ai vue en exercice quand elle était ministre de la Justice. Elle était un ministre touche à tout. Et elle ne laissait aucune place aux autres », a confié l’ancien ministre sous le régime libéral. « Dans un régime présidentiel où tous les partis politiques ont concouru jusqu’à obtenir le pouvoir, ce sont les politiques qui doivent gouverner et le premier ministre devrait être un homme politique », a laissé entendre M. Senghor. 

 

Les années passent mais la crise reste, surtout en France. Et notre économie ne pourra repartir que si on s'appuie sur des constats réels pour établir une stratégie.

Lors de ses vœux à la Nation, François Hollande a pu préciser que la crise avait été « plus longue et plus profonde que prévu ». 2013 aura été une année « intense et difficile ». De ce constat, le président s’est fixé l’emploi comme objectif prioritaire, une nouvelle fois. C’est dans ce contexte qu’il apparaît nécessaire de mettre en évidence les causes de la crise et de définir l’indispensable action à mener pour offrir un réel résultat sur cet objectif prioritaire de François Hollande.

Les organisations de défense des droits de l’homme à leur tête Article 19, ont, ce lundi 16 décembre à l’occasion du neuvième anniversaire de l’assassinat du journaliste gambien Deyda Aidara, requis des actions concrètes pour mettre un terme à « l’impunité » en Gambie.

 

Des organisations de défense des droits de l’homme, déterminées à mettre fin « aux exactions du président gambien Yaya Jammeh », ont plaidé ce lundi pour une synergie des efforts.

L’Indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique (IIAG) 2013 a placé le Sénégal hier, lundi 25 novembre 2013, à la dixième place de son classement de cette année, sur 52 pays du continent sélectionnés. Le rapport qui fait le bilan depuis 2000 du développement humain, du développement durable, de la participation, des droits de l'homme, de la sécurité et de l'Etat de droit dans le continent, classe également notre pays troisième en Afrique de l'Ouest.

«Le Sénégal a obtenu de l'Indice Mo Ibrahim son meilleur score global (61,0) avec le classement 2013, qui le fait figurer à la 10ème place sur 52 pays du continent », a déclaré hier, lundi, le président du conseil d'administration (PCA) de l'Institut africain de bonne gouvernance, Abdoulie Janneh. Le patron de l’institut africain qui présentait l’indice en question s’est prononcé à l’occasion de la deuxième réunion annuelle de haut niveau sur la gouvernance et la démocratie en Afrique.

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La cause sous-jacente de la démission de Moubarak Lô, « c’est le choix présidentiel d’accepter qu’un groupe de sénégalais établis à l’extérieur, et regroupés dans une structure dénommée «Disso» dont l’’ancien ministre de l’économie et des finances, M. Amadou Kane, était membre, avant mars 2012, joue un rôle prépondérant dans le projet Sénégal émergent, au détriment des hauts cadres de l’Etat ».

 

Le désormais ex-directeur de cabinet adjoint du président Macky Sall, confirme ainsi l’article de Sud Quotidien paru le 26 juin 2013 pour dénoncer une sombre histoire de manipulations au sommet de l’Etat.

On en sait un peu plus sur le divorce entre Idrissa Seck et Macky Sall. La sentence tombée le 11 septembre dernier à l'issue du secrétariat national de Rewmi par Abdourahmane Ndour, le chargé des élections de la formation orange qui annonçait que c'est à l'unanimité que Rewmi a pris la décision de rompre d'avec la coalition née juste avant le second tour de la dernière présidentielle, Benno Bokk Yaakaar (BBY) mais dont la cohabitation a laissé montrer ses limites dés l'An 1 au pouvoir du président Sall qu'Idrissa Seck n'avait pas raté avec ses fameuses critiques, l’argent serait au cœur du mal. 

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Les problèmes de Macky semblent tellement lourds à tel point qu’il ne sait plus où tourner de la tête.
Depuis la prise du pouvoir par Macky, une expérience de la connaissance des arcanes de l’Etat et une maîtrise de dossiers sensibles font défaut.
Aujourd’hui, Macky  prépare une nouvelle alliance autour de lui, au moment où Benno Bokk Yakaar agonise.
Voici ses maillons faibles :

LE PALAIS ET LE GOUVERNEMENT

Selon l’hebdomadaire Echos du Nord, dans sa livraison de ce lundi, Patience Dabany, mère du président de la République, Ali Bongo Ondimba, a planifié l’assassinat des directeurs de Publication de deux journaux, notamment Echos du Nord et Edzombolo, très critiques à l’égard du pouvoir en place.
 

(De notre correspondant à Libreville)

La Tamkharite est célébrée le 10ème jour de Mouharram, ou Achoura et la nuit qui le précède. On pourrait comparer cette fête au 31 décembre ou Jour de l’An dans le calendrier grégorien. La nuit et le jour de Tamkharite (achoura) regorgent de grâces et de bienfaits qu’il importe de connaître pour mieux en tirer profit en adoptant une conduite appropriée. En termes de dévotion, il est particulièrement recommandé de jeûner, de réciter le Coran, de prier, d’implorer le pardon, de faire œuvre charitable, de se montrer solidaire avec les nécessiteux et les orphelins et de faire largesses à l’endroit des membres de sa famille. 

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L'OBS - Le ministre-conseiller s’est aussi prononcé sur la citation directe que Bachir Diawara et Cie s’apprêtent à servir à Amath Suzane Camara. Et c’est pour présenter les excuses du Réseau au peuple sénégalais et au Parti démocratique sénégalais (Pds). Pour lui, le débat qui opposait Suzane Camara à son vis-vis dans l’émission «Sélébeyoon» était d’un très bas niveau. Il a ajouté que des dérapages de ce type sont inhérents aux réactions à chaud. Mais, conclut-il, c’est un épiphénomène, l’essentiel étant de travailler sérieusement à l’amélioration des conditions de vie des Sénégalais.