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Des scrutins pour asseoir la stabilité politique et la démocratie sur le continent
Plusieurs pays africains seront concernés par une élection présidentielle en cette année 2024. A cet effet, les enjeux des élections présidentielles en Afrique en 2024 vont de la garantie d’élections libres et équitables à la consolidation de la démocratie à travers la stabilité politique, la bonne gouvernance entre autres. En outre, les élections présidentielles africaines de 2024 exigent une gestion habile des différents enjeux pour renforcer les fondements de la démocratie sur le continent.
Guinée : compromis avec la CEDEAO pour une transition de 24 mois
La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et le gouvernement de transition de la Guinée ont trouvé le vendredi 21 octobre 2022 un accord pour une transition de 24 mois. Après des mois de pourparlers et sous la menace des sanctions de la Cédéao, la junte guinéenne, dirigée par le colonel Mamadi Doumbouya depuis septembre 2021, a cédé sur la durée de la transition. De 36 mois, elle s’est résolue à faire une transition de 24 mois.
Coup d’Etat au Soudan : L’irréparable
Le Premier ministre, Abdallah Hamdok, a été arrêté lundi 25 octobre 2021 à son domicile, ainsi que les autorités civiles au sein de la cellule en charge de la transition. Un air de déjà vu au Soudan ? Oui, c’est un coup d’Etat militaire mené par le général Abdel Fattah Al-Bourhane.
La démocratie sénégalaise : un acquis à pérenniser
À l'instar de l'élection présidentielle à Madagascar, en République Démocratique du Congo, au Mali, au Cameroun, de nombreux scrutins ont été contestés et accompagnés de violences meurtrières en Afrique. L’année 2018 a ainsi été marquée par plus de dix élections présidentielles dans le continent. Certaines ont connu des violences post-électorales.
Sénégal - Karim Wade revendique son droit d’être candidat à l’élection présidentielle
Sénégal - Marche pour des élections démocratiques et transparentes l’opposition «dialogue» avec la rue
Les partis de l’opposition dite «significative» et les membres du Front “Initiative pour des élections démocratiques“ (Ied) ont battu le macadam hier, vendredi 9 février, à Dakar. A tour de rôle, devant des militants et sympathisants venus nombreux à la marche de protestation, les leaders des différents partis présents ont réclamé des élections démocratiques et transparentes, non sans tirer à boulets rouges sur le régime en place. Après avoir refusé de participer au dialogue politique initié par le gouvernement, à cause d’un «manque de confiance» envers le chef de l’Etat, Macky Sall et son régime, l’opposition dite «radicale» s’est exprimée sur l’essentiel des sujets débattus lors desdites concertations.
Sénégal - Quand le sang des Diambars finance le PSE (Par Babacar Justin Ndiaye)
Le Président Macky Sall a franchi le Rubicon : un contingent assez consistant de l’armée sénégalaise (2 100 militaires, environ trois bataillons) seront incessamment projetés sur le théâtre d’opérations saoudo-yéménite. Le chef de l’Etat et des armées sait très certainement que le Rubicon est une rivière qu’on ne franchit jamais en sens inverse. Les dés sont donc jetés. Et les aléas arabo-persiques, c’est-à-dire les fluctuations géopolitiques à l’est de Suez, sont désormais arbitres de la suite heureuse ou malheureuse des évènements, dans cet « Orient lointain et compliqué » selon la formule du Général De Gaulle.
La une "le quotidien" - DOSSIER - Abus dans l’octroi des libertés conditionnelles : L’exécutif, juge des peines
La libération conditionnelle ou libération conditionnée ? A y voir de plus près, les libérations conditionnelles ne sont pas escortées des rigueurs judiciaires requises dans son application. La Chancellerie n’hésite plus à fouler aux pieds les textes qui régissent cette mesure en zappant les juges d’application des peines au moment de renvoyer certains détenus en liberté. Par exemple, Abou Sow, six jours après sa condamnation dans l’affaire de la Cncas de Touba, est «libéré». Cette décision est révélatrice de la façon dont cette mesure est accordée à certains détenus. Le débat est relancé. Et l’on redoute des connexions politico-judiciaires. Les magistrats ne sont plus en sécurité. Leur pouvoir s’effrite avec la libération conditionnelle.
Résolution de Aminata Mbengue Ndiaye : «Que personne ne s’oppose plus à Tanor !»
Le secrétaire général nouvellement réélu du Parti socialiste, Ousmane Tanor Dieng a lancé hier son premier message aux militants, à l’occasion de la conférence nationale du mouvement des femmes socialistes. Dans son adresse, Otd qui s’est senti outré par certains écarts de comportement notés dans son parti, a demandé aux responsables de remettre de l’ordre. «Il faut insister sur la discipline dans ce parti. On ne peut pas, au nom de la démocratie, vouloir imposer son point de vue à la majorité.
Réplique de jeunes socialistes à Aïssata Tall Sall : «Elle est un fléau pour l’avenir du Ps»
Le Forum des jeunes socialistes (Fjs) est très remonté contre le porte-parole du Ps Me Aïssata Tall Sall qui n’approuve pas la tenue du congrès avant les Locales. Pour le Fjs, l’adversaire de Tanor veut «remettre en cause la sincérité du scrutin pour saboter et saborder le processus».
La «Lettre aux Socialistes» de Me Aïssata Tall Sall n’est pas du goût de certains jeunes du Parti socialiste (Ps), particulièrement le Forum des jeunes socialiste (Fjs). Dans un communiqué, cette structure déplore l’attitude du porte-parole du Ps qu’elle considère comme «un danger, voire un fléau pour l’avenir de notre parti, mais surtout pour son unité et sa cohésion, bref pour l’intérêt supérieur de tous les militants et responsables socialistes».