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Jeu, Nov

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La session de la AMCEN se tient à Addis-Abeba, en Éthiopie, du 14 au 18 septembre, sur le thème "Saisir les opportunités et renforcer la collaboration pour relever les défis environnementaux en Afrique".

ADDIS ABABA, Éthiopie, 17 août 2023/APO Group/ -- 

Lors de la 19e session de la Conférence ministérielle africaine sur l'environnement (AMCEN) (https://apo-opa.info/44ic2sx), Greenpeace Afrique (www.Greenpeace.org) a appelé les 54 ministres africains de l'Environnement à exhorter les États membres à ne pas faire de compromis dans les négociations d'un traité qui plafonnerait la production de plastique à la source et maintiendrait dans le sol le pétrole et le gaz utilisés pour l'extraction des matières plastiques.

La session de la AMCEN se tient à Addis-Abeba, en Éthiopie, du 14 au 18 septembre, sur le thème "Saisir les opportunités et renforcer la collaboration pour relever les défis environnementaux en Afrique" La AMCEN offre une plateforme pour renforcer l'engagement collectif de l'Afrique dans l'agenda environnemental mondial, y compris dans le Comité international de négociation (INC)  (https://apo-opa.info/452GBDX) pour développer un traité mondial juridiquement contraignant sur le plastique.

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Au Sénégal, l’économie informelle des déchets électriques et électroniques expédiés par les pays riches se porte bien. Mais ce recyclage, loin de respecter les normes de sécurité, s’avère très nocif pour la santé et l’environnement.

Dakar (Sénégal), reportage

Ordinateurs portables, câbles, télévisions, mixeurs… Le marché populaire de Colobane, au centre-ville de Dakar, est le temple de la récupération. Les bâtiments jouxtant le marché abritent dans un dédale de couloirs une trentaine d’ateliers minuscules où des hommes s’activent à changer des écrans cassés, ouvrir un ordinateur ou démonter un ventilateur. 

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    On ne peut qu’être étonné depuis quelques semaines par la parution de l’article de M. Arona Coumba Ndoffene Diouf  (avec toute une série d’émissions télévisuelles) paru dans l’Observateur du 4 & 5 octobre 2015 et de nouveau publié dans le soleil en date du 25 novembre 2015 avec comme titre :« Changement climatique ou réchauffement climatique: pure absurdité ». J’aurais pu me passer de cette mise au point sur ce même article qui a été publié à plusieurs reprises dans  les médias et repris par la presse (sûrement par méconnaissance et/ou par une  mauvaise information) en dépit du fait que cet article que l’on continue de reprendre et de publier à loisirs, est truffé d’erreurs et d’incohérences à un moment où la communauté mondiale, dans sa globalité, est plus sérieusement préoccupée par les solutions qu’il importe d’apporter au problème très complexe du changement ou réchauffement climatique et surtout de ses effets et impacts au niveau de la planète ; effets et impacts déjà perceptibles surtout en Afrique - et, le Sénégal, pays « Sahélien » aux écosystèmes fragiles, exposé aux « risques » et désastres environnementaux en général et climatiques en particulier   L’on peut se poser des questions quant à l’opportunité et le moment choisi par M. Arona Coumba Ndoffene Diouf  pour sortir son papier et nous faire part de son opinion de « climato-sceptique » - je dirai pourquoi pas ? 

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En visite au Sénégal, l’envoyé spécial de François Hollande sur les questions de changements climatiques, Nicolas Hulot, a magnifié les actions menées dans notre pays pour lutter contre ces phénomènes. 
Les initiatives du Sénégal dans la lutte contre les changements climatiques sont bien appréciées par Nicolas Hulot, l’envoyé spécial du président français, François Hollande. 

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La mission  du ministère de l’Environnement est de préserver toutes les ressources naturelles, à savoir les vies humaines de même que celles animales, a dit d’emblée le ministre de tutelle sur l’affaire des hippopotames de Gouloumbou qui défraie la chronique dans la partie Est du pays. Ces hippopotames ne s’attaquent à l’homme que quand ils sont poussés jusque dans leurs derniers retranchements, a-t-il précisé. Lors d’une visite de terrain, les techniciens du  ministère ont vu des familles d’hippopotames qui étaient retranchées dans le fleuve. Ils sont le plus souvent soit en gestation ou ils ont mis bas. 

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La restauration des fonctions du Lac de Guiers a un intérêt écologique, économique et social pour le Sénégal. En plus de l’apport d’eau douce qui sera de 2,1 milliards de mètres cubes, 30.000 ha seront aménagés et les productions halieutiques passeront de 2.000 à 4.000 tonnes, entre autres. Au total plus de 3.000 emplois seront créés dans les secteurs de l’agriculture, de la pêche, de la pisciculture, de la sylviculture et du tourisme. La sauvegarde du Lac de Guiers est vitale pour l’économie sénégalaise. 

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Le Collectif Sos littoral en croisade pour la défense et la préservation du littoral a accueilli hier le président de la République avec un chapelet de doléances pour la préservation de l’intégrité de la corniche. Le chef de l’Etat, qui a effectué une visite des Mamelles à Fann, a décidé de prendre en charge l’ensemble de ces questions et annoncé des mesures.

Le chef de l’Etat veut remettre de l’ordre sur la corniche et mettre fin aux constructions anarchiques qui y sont réalisées ou sont en voie de l’être. C’est pour cela que le Président Macky Sall est revenu, au cours de sa visite hier sur la Corniche sur la question du mur dressé dans cette zone par l’Amba­s­­sade de Turquie au Sénégal en vue de l’érection de ses locaux sur place. Interrogé sur le mur de la représentation diplomatique turque, le Président Macky Sall rétorque : «Il y a des titres qui ont été octroyés, la commission (tripartite) me fera des propositions et des mesures seront prises à la suite de cela. 

Publié dans La Une de la Presse

Dans les villages situés le long de la frontière entre le Sénégal et la Gambie essaiment des trafiquants de tout poil. Ils détruisent les dernières grandes forêts sénégalaises avec la complicité d’autorités gambiennes qui délivrent des autorisations de commercialisation alors que l’exploitation forestière y est formellement interdite.

Saré Bodji. Le nom n’évoque pas grand-chose pour le commun des Sénégalais. C’est un village situé à la frontière entre le Sénégal et la Gambie. Ici, des milliers et des milliers de bions de venne sont entassés sur de vastes étendues. La découverte fait frémir et renseigne sur le rythme des coupes. Celles-ci se sont accélérées quand des Chinois, installés en Gambie, se sont mis à exporter du bois. Pourtant, l’exploitation forestière est interdite dans ce pays, et les forêts sont directement gérées par le chef de l’Etat. Aussi, les populations gambiennes utilisent le bois d’œuvre (meuble), le bois de service (charpente, sculpture) et le charbon de bois.

Publié dans La Une de la Presse

Le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Bâ, et le Commissaire européen en charge du Développement, Andris Piebalgs, ont signé, hier, la convention de financement du projet d’assainissement et de restructuration urbaine de Hann et Petit Mbao. Ce programme d’un montant de 12,8 milliards de FCfa va changer le visage de ces deux villages confrontés à un sérieux problème d’aménagement urbain.
Insalubrité, étroitesse des rues, promiscuité, exutoires anarchiques, plages sales, problème d’accès, inondations, absence d’infrastructures de base, d’équipements collectifs et de réseaux d’assainissement, etc. La carte postale à laquelle renvoient les villages de Hann et Petit Mbao, à travers le diaporama qu’a fait défiler le directeur technique de la Fondation Droit à la ville, Ousmane Mbodji, devant les ministres Amadou Bâ et Khoudia Mbaye, en présence de la délégation de l’Union européenne conduite par Andris Piebalgs, n’est pas belle à voir. 

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Le littoral rufisquois se retrécit comme peau de chagrin à cause de l'avancée inexorable de la mer. De Rufisque à Toubab Dialaw, en passant par Bargny, Minam et Sendou, l'océan avale chaque année des portions du continent. Aujourd'hui, selon les experts, le centre ville de Rufisque  est menacé de disparition si rien n'est fait. La digue de protection qui a été installée depuis les années 80 ne joue plus son rôle. Elle s'affaisse de plus en plus. Heureusement la nouvelle digue  réceptionnée en juillet dernier vient apaiser les craintes d'une partie des populations situées sur le littoral, dans le périmètre communal de la ville

 

La menace pèse sur Rufisque

Publié dans La Une de la Presse