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SENETOILE NEWS

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Communiqué de presse

A lire dans JEUNE AFRIQUE N° double 2783 en kiosque le 11 mai 2014

 

  Mali : Ibrahim Boubacar Keïta, président de la république du Mali : « Mon honneur n'est pas à jeter aux chiens »

 

A 69 ans, l’élu des quinze millions de Maliens a pour objectif de reconstruire un état sinistré par une bonne décennie de gabegie et d’effondrement progressif, au point d’y perdre son identité, son intégrité et une part de sa légitimité. Bien qu’il ait réuni, 77% des suffrages lors d’une élection incontestable en août 2013, IBK a dû faire face aux critiques : lenteur, autosatisfaction, népotisme, voire soupçons de corruption. Après s’être longtemps recroquevillé dans sa carapace, le natif de Koutiala répond aux questions de Jeune Afrique.

Invitée dans l’émission matinale « Petit Dej » de Walf Tv, la voyante Selbé Ndom maintient toujours ses positions mystiques par rapport à la religion islamique. Elle affirme qu’être combattue par des marabouts qui s’activent à détruire toutes ses prédictions.
Vidéo: Selbé Ndom refait surface: « Je suis combattue par des marabouts qui essaient de détruire mes prédictions… » Regardez

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Dans l’émission Livres d’Or de RFI, enregistrée en septembre 2000, Abdou Diouf, l’ancien Président du Sénégal, était revenu sur la création de la Cour de Répression de l’Enrichissement illicite (CREI) et les principaux dysfonctionnements et résistances qui ont plombé sa marche. Si cette Cour n’avait pas pu mener à bien sa mission, la responsabilité en incomberait, selon l’ancien président de la République Abdou Diouf, à la magistrature, la presse, la police et certains chefs religieux… Une interview qui conforme un éditorial de notre dirpub M.O.N sur la traque des biens mal acquis. Extraits :

Le désormais ex-Dg de l’Artp, Abou Lô n’est pas encore sorti de l’auberge Au-delà de la sanction politico-administrative, Abou Lô dont le nom a été cité dans le rapt du mandataire de Benno Bokk Yaakaar, risque la prison. L’ancien ministre risque en effet une peine allant de 5 à 10 ans En titrant à sa Une du mardi: Rapt du mandataire de Benno, Ca sent le roussi pour Abou Lô, Walf Fadjri avait vu juste. Et pour cause, Abou Lô a été limogé hier, en fin de matinée, de son poste de directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications et postes (Artp). Mais au-delà de cette sanction politique et administrative, l’ancien ministre de la Communication et des Télécommunications du gouvernement de l’ancien Premier ministre Abdoul Mbaye risque gros, très gros même. Impliqué dans le kidnapping du mandataire de la coalition Benno Bokk Yaakaar, Alassane Niane, Abou Lô qui est présenté comme le commanditaire de cet enlèvement, risque des sanctions pénales au même titre que les exécutants. «Les sanctions sont lourdes, parce que c’est un acte très grave, à la limite qui frôle la criminalité», renseigne l’avocat Massokhna Kane. 

Pour une sanction, ça semble en être une. La mise hors jeu des listes de la coalition Benno Bokk Yaakaar au cœur de la cité religieuse de Touba est une petite bombe dans le monde politique sénégalais, au regard du lieu et du contexte.



La Commission électorale nationale autonome (CENA) a rejeté la liste de Benno Bokk Yaakaar (BBY) (en principe acceptée par le Khalife général) pour la commune de Touba Mosquée. Raison avancée : elle «n'a pas respecté la parité».

Dans un communiqué transmis à nos confrères de l’Agence de presse sénégalaise, la Cena qui s’appuie sur le Code électoral, s’explique : «Après avoir étudié le rapport de la Commission départementale électorale autonome (CEDA) de Mbacké et écouté le président de cette structure décentralisée ainsi que le membre de la Cena chargé de la supervision de la région de Diourbel et enfin, mené enquête, la Cena a constaté que la liste déposée n'a pas respecté la parité comme l'exige la loi.»

«Je n’ai jamais cessé de faire du mbalakh»

L'OBS - Après 4 ans d’absence de la scène musicale, Fallou Dieng signe son retour avec un album de 8 titres intitulé : «Momé vent». Avec 25 albums à son actif dont 20 nationaux et 5 internationaux, le leader du «Dakar Loisir Club» revient dans cet entretien sur les raisons de sa longue absence, la rumeur sur la dislocation du Dlc et sa parenthèse acoustique avec son album «Fallou Folk». 

 

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iGFM – (Dakar) Cheikh Amar va porter plainte contre Serigne Diagne du site web Dakaractu.com pour chantage à la suite de l’article : "Très remonté contre Cheikh Amar, un proche de Gorgui déballe : « Non seulement, il n’a pas mis les pieds chez Wade depuis Paris, mais en plus il lui doit une forte somme d’argent …»" posté ce jeudi 8 mai à la Une du dit site.
 
Joint par téléphone par iGFM, le Président directeur général de TSE a indiqué que cet article publié par Dakaractu.com «fait suite» à une requête de Serigne Diagne qui lui a «demandé, il y a quelques jours, la somme 10 millions de francs CFA».
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DAKARACTU.COM La récente sortie du Président Macky Sall dans le journal ‘’Le Monde’’ a pour le moins créé un effet collatéral, sous forme de déballage contre Cheikh Amar. Interpellé sur la récente sortie du Président qui assimilait une négociation dans le dossier de la traque des biens mal acquis à une insulte à la Justice, un proche de Me Wade a expliqué que le fait que leur mentor tente d’apaiser la tension sociale n’avait rien à voir avec des négociations.  
Mais notre question, sur la mission de bons offices du patron de TSE qui auraient abouti à cette accalmie, a eu le don de le mettre dans tous ses états. Très remonté contre Cheikh Amar, ce proche de notre Wade national s’est inscrit en faux contre de telles déclarations, allant même plus loin…peut-être même trop loin.

Si la coalition Bennoo Bokk Yaakaar ne profite pas de la période contentieuse qui prend fin aujourd’hui (vendredi) pour réajuster la liste non paritaire déposée dans la commune de Touba, sur pilotage du Khalife général des Mourides, selon certaines sources, la Cena (Commission électorale nationale autonome) entend appliquer la loi électorale dans toute sa rigueur et consécutivement invalider la liste présentée par la majorité pour l’élection municipale dans ladite commune. Telle est la décision rendue hier, jeudi, après son assemblée générale ordinaire, par l’organe de contrôle et de supervision du processus électoral dirigé par le magistrat Doudou Ndir. L’institution s’était autosaisie en effet, mardi dernier, du cas en question, à la suite de la validation par l’autorité administrative d’une liste non conforme aux injonctions paritaires de la loi électorale dans la cité religieuse.

La restauration des fonctions du Lac de Guiers a un intérêt écologique, économique et social pour le Sénégal. En plus de l’apport d’eau douce qui sera de 2,1 milliards de mètres cubes, 30.000 ha seront aménagés et les productions halieutiques passeront de 2.000 à 4.000 tonnes, entre autres. Au total plus de 3.000 emplois seront créés dans les secteurs de l’agriculture, de la pêche, de la pisciculture, de la sylviculture et du tourisme. La sauvegarde du Lac de Guiers est vitale pour l’économie sénégalaise.