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Dim, Nov
SENETOILE NEWS

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Les élections locales de juin prochain à Dakar ont tout l’air d’un duel qui opposera la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY) amputée de plusieurs de ses alliés et la coalition Taxawu Ndakaru dominée par le PS. Toutefois, ils sont nombreux les crocs-en-jambe et autres petits meurtres entre frères d'un même parti. 

 
 
Les partis et coalitions de partis avaient jusqu’à hier minuit, pour apporter des changements sur leurs listes déposées mardi denier en vue des élections locales. Une phase délicate pour les acteurs politiques puisque ces réaménagements suscitent souvent des frustrations. 
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Les complaintes des travailleurs affiliés à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal force du changement (Cnts/Fc) donnent une autre connotation à cette Fête  du travail célébrée dans l’unisson. Cette centrale, dirigée par Bakhaw Ndiongue, est restée seule dans son coin à cause d’une division qui la mine depuis plus de trois ans. D’après la secrétaire générale de la Cnts/Fc, elle est la seule centrale  syndicale à n’avoir pas une  subvention de l’Etat pour fêter le 1er mai contrairement aux 13 autres syndicats.  Selon elle, les autres centrales se  sont retrouvées avec six, sept ou huit millions.

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Aïda Ndiongue est encore attendue devant la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Le Quotidien a appris que les juges n’ont pu examiner, mercredi, le réquisitoire du procureur spécial parce que «le président de la Commission d’instruction n’était pas sur place». Elle devra donc y retourner «vendredi ou lundi prochains», apprend-on. Alioune Ndao avait reçu lundi les réponses de Mme Ndiongue à la mise en demeure qu’il lui avait servie. A l’arrivée, le procureur spécial n’a pas été convaincu par les justifications de la responsable libérale.

A la lecture des listes candidates aux Locales du 29 juin, le scrutin n’offre pas la visibilité attendue. Les alliances contre nature brouillent le jeu et l’enjeu national.

Les élections locales prévues le 29 juin prochain vont constituer un faux test ou une fausse balance pour les différentes formations politiques engagées. La configuration hétéroclite des listes, le caractère hybride ou contre nature des alliances politiques nouées rendent déjà confuses ces élections et ne permettront d’en tirer aucun enseignement politique sur la représentativité réelle de tel ou tel camp politique. Le manque de lisibilité sera d’autant plus effectif que les identités des partis politiques se sont effacées devant les ambitions, la susceptibilité ou les égos des leaders politiques locaux. En effet, au gré des circonscriptions électorales, on a pu constater des responsables de la majorité politique au pouvoir, dans une posture de rupture de ban de façon conjoncturelle, nouer des alliances politiques avec des milieux de l’opposition la plus irascible. 

Le Président de la République s'est engagé, hier jeudi, devant les centrales syndicales, à œuvrer pour la relance des entreprises nationales en difficulté pour une émergence économique du Sénégal. D'ores et déjà, le Président  Macky Sall a annoncé la reprise très bientôt des activités des entreprises de Jean Lefèvre et de la Nouvelle société textile du Sénégal (Nsts) de Thiès, tout en donnant des informations sur le dispositif de sauvetage de Sénégal Airlines et une commission sur le processus de liquidation des autres entreprises. Il s'exprimait hier, jeudi 1er mai 2014, lors de la cérémonie de remise officielle des cahiers de doléances des centrales syndicales à l'occasion de la fête Internationale du Travail.

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L’Etat et les syndicats des travailleurs ont manifesté hier le vœu de tourner définitivement la page d’un dialogue social improductif pour tendre vers celui porteur de progrès. Ils ont exprimé ce souhait hier, lors de la célébration de la fête internationale du travail, dans un grand rassemblement de la Coalition des centrales syndicales du Sénégal au stade Demba Diop.

Dès le début de cette matinée du 1er mai qui consacre la fête internationale du travail, des salariés et autres travailleurs informels de toutes couches, transportés à bord de cars « Ndiaga Ndiaye » et autres moyens de transport, ont rallié le stade Demba Diop de Dakar. 

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La fête du travail a été mouvementée à Touba et plus précisément dans les locaux de Henan Chine; une entreprise  chinoise spécialisée dans la construction de voiries et qui a installé son quartier général sur la route de Madyyana. 

Dans l’établissement se passeraient les pires maltraitances qu’un travailleur puisse connaitre selon le porte-parole du jour. Mamadou Souaré, face à la presse, parlera de licenciements abusifs sans paiement de droits, d’épée de Damoclès qui pèseraient sur les ouvriers qui manifesteraient des velléités de création de syndicat, de non-paiement des heures supplémentaires, de salaires de misères dont le montant est laissé à la seule appréciation du boss chinois, de conditions exécrables de conditions de travail etc… 

Les syndicats auront-ils besoin, à l’occasion du 1e mai, de remettre leurs cahiers de doléances au président de la République après avoir signé un pacte de stabilité sociale et d’émergence économique? En effet, les syndicalistes qui ont signé un pacte de stabilité, bénéfique certainement pour la productivité, devront être cependant plus regardants sur les droits de ceux-là qu’ils sont supposés représenter : les travailleurs! EnQuête a voulu relever quelques violations des droits des travailleurs dont les patrons se sont fait les champions.

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iGFM - (Dakar) Le bodypaiting ou autrement dit la peinture corporelle, tout le monde connaît et, grâce à cet art, on pourrait parfois penser que les modèles sont habillées et non peintes. C'est à Lille que l'artiste Marie Przybylski, diplômée de la Make up forever academy de Paris, a mis les passants à l'épreuve, une idée de deux étudiants, Sarah Baboro et David Lesageelle, plutôt originale ! En effet, Marie a peint un jean à son modèle qui, à la base, porte seulement un string, un travail plutôt bien fait puisque dans la rue pratiquement personne ne le remarque... Certains doivent penser qu'il s'agit simplement d'un jean (très) moulant !

Mathiou FallMannequin, journaliste, policier, chauffeurs de car-rapide, sage-femme…En apparence rien ne lie ces différentes activités. Mais, en réalité, ces métiers partagent bien quelque chose : le fait d’être mal aimer par la population. Si la réputation des policiers est plombée par des petites raquettes, les chauffeurs de cars rapide eux son pointés du doigt par leur indiscipline sur les routes. Les femmes ne portent pas dans leur cœur certaines sages-femmes, et le journaliste lui, pèche dans sa fonction de relayer l’information.