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SENETOILE NEWS

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Initié par l’ambassade de Grande-Bretagne et le British council, en partenariat avec Nescafé, le programme « Great entrepreneur », sous-forme de téléréalité, met en compétition de jeunes entrepreneurs disposant d’un projet innovant mais qui n’ont pas accès au financement. Les trois finalistes vont se partager une cagnotte de 20 millions de FCfa

De jeunes entrepreneurs sénégalais ou résidant au Sénégal en mal de financement qui viennent devant le petit écran et présentent leur entreprise au grand public, lequel votera, et à un jury constitué d’un panel de personnalités du monde des affaires, c’est le concept original sur lequel repose le programme « Great entrepreneur » que l’ambassade de Grande-Bretagne au Sénégal et le British council, en partenariat avec Nescafé, ont concocté. Sous forme de téléréalité éducative sur la Rts, elle va mettre en compétition 18 jeunes entrepreneurs disposant d’un projet innovant mais n’ayant pas accès à l’investissement. A la fin des quatre émissions éliminatoires, les trois meilleurs entrepreneurs se partageront la somme de 20 millions de FCfa. Le grand gagnant, en plus de ce financement, pourra bénéficier d’un voyage en Grande-Bretagne afin de rencontrer et échanger avec un entrepreneur britannique, a indiqué, hier, Geneviève Kébé du British council. Elle s’exprimait lors de la cérémonie de lancement de l’appel à candidature de ce programme tenue à la résidence de l’ambassadeur de Grande-Bretagne.

L'OBS - C’est à partir d’un message posté sur un réseau social par une de ses collègues mannequins que tout s’est emballé. «Tu avais partagé cette photo comme une sorte de message d'au-revoir, mais je n’ai jamais su que tu mettras ça à exécution... Grande sœur, le suicide n'était pas la bonne solution... Suis très touchée, pourquoi nous avoir fait ça ?», s’est désolée Awa Ndiaye alias Eva Chon, sur Facebook. Assez pour que la presse en ligne annonce en gros titre le suicide du modèle Yacine Barre. A l’arrivée, ce n’était ni plus ni moins qu’une mauvaise blague. Quand certains parlent de buzz orchestré par la principale concernée, celle-ci monte au créneau pour démentir, ce qu’elle considère comme une machination. Révélations d’outre tombe… La revenante parle…

 

La nouvelle de votre suicide fait le buzz sur Internet, alors que vous êtes bien vivante. Qu’est-ce qui est à l’origine de cette fausse information ?

En 2009, c’était Benno siggil senegaal (Bss, originel) et les autres contre la coalition Sopi alors au pouvoir. En 2014, si la date est maintenue, les Locales opposeront Bss sortant à l’Apr. Majorité contre… majorité, aux côtés du Pds et des autres. On peut dire élections locales dans Benno bokk yaakaar.

Il y aura bataille car le scénario est partout identique. Depuis 2009, l’essentiel des grandes villes du pays est dans l’escarcelle de l’ex-opposition, au pouvoir aujourd’hui, et sous la bannière de Benno siggil senegaal. Aujourd’hui, l’adversaire commun, Abdoulaye Wade, n’est plus là. Les responsables de l’Alliance pour la Rép­ublique (Apr) et de la coalition Macky2012 veulent contrôler les collectivités locales où ils siègent en minorité aux côtés de leurs alliés maires qui militent au Parti socialiste, à l’Alliance des forces du progrès (Afp).

REVUE DU CODE ELECTORAL- PROJET DE SUPPRESSION DE LA LISTE PROPORTIONNELLE AUX ELECTIONS LOCALES - Macky Sall veut instaurer l’ère des Chambres monocolores

L'OBS - Le Pds voulait instaurer un scrutin majoritaire à un tour, le régime de Macky Sall manœuvre pour effacer l’opposition des prochains conseils départementaux et municipaux. Une proposition qui a fait suspendre, hier, les travaux du Comité technique de la revue du Code électoral.

 

En politique, Macky Sall sait cacher son jeu. Il garde toujours un croc-en-jambe capable de désarçonner n’importe quel adversaire politique. Alors que le milieu politique s’étrangle de rage devant sa volonté de supprimer les Conseils régionaux avec la réforme issue de l’Acte III de la Décentralisation, le chef de l’Etat vient d’entamer une manœuvre qui a pris de court l’opposition et les partis non alignés. 

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C’est par une correspondance datée du 4 février dernier que le Directeur général des Ics (Industries chimiques du Sénégal) s’est vu adresser par son homologue du Port autonome de Dakar, Cheikh Kanté, une mise en demeure pour, d’ici au 15 mars prochain, quitter le môle 8 désormais « taillé » pour la société Necotrans qui doit y installer ses quartiers le 1er avril prochain et ce pour 25 ans.

 

 

Le Directeur général du Port autonome de Dakar (Pad), Cheikh Kanté, ne doute plus de rien et balise résolument le môle 8 pour accueillir  la société Necotrans. En dépit du caractère éminemment nébuleux qui a entaché le processus de cession du terminal vraquier à ladite société et, nonobstant les levées de boucliers des acteurs portuaires notamment les sociétés manutentionnaires relativement à ce dossier, la société Necotrans prendra ses quartiers au môle 8, le 1er avril prochain, apprend-on de sources très introduites.

Accueilli par une marée humaine dans la région Nord, le chef de l’Etat, accompagné de Mme Dominique Dellicour, ambassadeur et chef de la Délégation de l’Union Européenne au Sénégal, et d’une dizaine de ministres, a inauguré, hier, le site de pesage de Rosso et le tronçon routier Saint-Louis/Rosso/Richard-Toll réhabilité grâce à un financement de près de 37 milliards de FCfapar l’Union Européenne. Le président Sall a insisté sur la nécessité de préserver le patrimoine routier.
Le chef de l’Etat est largement revenu sur la nécessité de préserver le patrimoine routier qui appartient à tous ces pays membres de l’Uemoa qui ont les mêmes problèmes pour développer le transport routier des marchandises.

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L'OBS - «Nous sommes des députés du peuple et pas de Bennoo bokk yaakaar. Je suis là pour le peuple, et non pour le Parti socialiste ou Bennoo. Si des Sénégalais sont dans des difficultés, nous devons les soutenir quel que soit le prix de l’Acte III de la décentralisation. On ne peut pas supprimer des régions sans concertation. Il faut des concertations sur des bases claires avec les acteurs des régions et tous les responsables. Ici, les concertations ont été faites sur des bases politiques. Le dialogue interne n’a pas été fait. On nous a juste appelés au niveau du Ps pour nous dire que le Secrétaire général (Ousmane Tanor Dieng : Ndlr) demande de voter la loi. Ce que je conteste vigoureusement. 

iGFM (Dakar) Le président Macky Sall a annoncé, mardi à Rosso (Saint-Louis), une enveloppe d’un million d’euros (650 millions de francs CFA) mobilisée grâce à l’Union européenne (UE) pour le Plan national de sécurité routière.

Le président, qui s’exprimait à l’occasion de l’inauguration du poste de pesage de Rosso, localité frontalière avec la Mauritanie, a annoncé que le souci le renouvellement du parc de gros porteurs figure parmi les 15 projets prioritaires inscrits dans le cadre de la coopération internationale.

L'OBS du 11/02/2014

TOUT SUR L’AFFAIRE DE LA SENATRICE LIBERALE

Ce que le Procureur reproche réellement à Aïda Ndiongue et Cie

C’est aujourd’hui que la Chambre d’accusation va, si l’audience n’est pas renvoyée, ouvrir les débats sur l’annulation de la procédure d’Aïda Ndiongue. A quelques heures des débats,  L’Obs vous plonge dans les dessous de cette affaire déclenchée depuis le 02 décembre 2013. 
 

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En dix ans d’existence, la loi n° 2004-13 du 1er mars 2004 relative aux contrats Construire-exploiter et transférer (Cet) n’a pas permis d’offres spontanées permettant le financement d’infrastructures structurants. Les députés ont voté, hier, le projet de loi n° 05/2014, en vue de corriger les manquements de la précédente disposition. 
Les députés ont voté, hier, le projet de loi n° 05/2014 relatif aux contrats de partenariats appelés Construire, exploiter et transférer (Cet ou Build, operate and transfer (Bot en anglais). Selon le ministre de la Promotion des investissements et des Partenariats, Diène Farba Sarr, l’Etat du Sénégal entend profiter pleinement des opportunités que présente le Partenariat public-privé (Ppp) pour attirer des investissements massifs dans les infrastructures structurantes et susceptibles de soutenir la compétitivité de l’économie nationale. Ce projet offre des possibilités d’investissement accrues au secteur privé et permet en même temps de bénéficier de nouvelles formes de savoir-faire pour l’économie locale, a-t-il poursuivi.